[6] Un bon coup de fouet pour les taverniers

Eolia avait décidé d'étendre son influence de par le monde d'agueraton et de rallier à elle son peuple. Et quelle était la meilleur façon de faire passer un message à son peuple que par les tavernes ou tous viennent s'abreuver.
Hélas, en ces temps obscurs, les taverniers restaient encore trop honnetes et refusaient les pots de vin il fallait donc les convaincre de bien faire passer le bon message. L'hastratrice avait donc décidé d'envoyer un seigneur digne de confiance faire comprendre à ces tenanciers têtus le bien fondé de sa demande.

Juliuuuuuuuuuuuuuusssssssssssssssssssssss! Ah non mince, il est mort celui-là.

Eolia prit quelques secondes pour réfléchir puis se lança.

Aldrussssssssssss...mince, je l'ai déjà tué ou pas celui là?

Oui maitresse, vous m'avez demandé?

Ah tu es vivant! Euh, je veux dire tu es là.

Que puis-je pour vous ma dame?

As-tu bien transmis l'ordre de mission au seigneur SAD?

Oui ma dame, il m'a dit qu'il se rendait immédiatement à la taverne.

Bien bien, j'espère qu'il fera entendre raison à ces taverniers qu'il faut écouter la belle Eolia. Tu peux disposer maintenant! Ah, attend, ca fait combien de temps que tu es à mon service?

Environ 2 semaines ma dame.

Et bien, tu vas bientot battre un record. Tu peux disposer.

Eolia attendait beaucoup du seigneur SAD, car elle souhaitait que le message sur les horreurs des dirigeants en place soit divulgué à tous et que seul L'hastratrice Eolia pouvait les aider.

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Il était tard dans la journée , la nuit tombait petit a petit sur la taverne , la brume rendait la soirée tellement triste, le silence etait tombé sur la capital, plus aucun bruits ne se fessaient entendre , seule quelques jappements de chiens aux alentours se fessaient entendre, les bougies dans les quelques maisons s'allumaient comme les étoiles dans ce ciel si sombre.

Quelques coups de tonnerres se fit entendre, une légère pluie commença a tomber.

La porte de la taverne s'ouvrit, un homme de grande envergure, une grande épée rouge dépassait de son dos, vêtu uniquement de noir , d'un grand manteau de peau de démon probablement...

De l'eau dégoulinait de ses hayons , mouillé , il prit place a une table, seule auprès de la cheminée ,près du feu qu'il contemplait, après quelque minute de silence il regarda la taverniers...

Erandil était dans la taverne ce soir là, un temps de chien pourrait on dire. Le ciel était martelé par la foudre, les toits et les courageux passant par la pluie.La taverne était calme se soir là, le ménage venait d'être fait et aucun client pour le moment. Seul le tavernier était présent et il profita de ce moment de répit pour prendre un peu de bon temps et se relaxer de sa journée derrière le comptoir. Ses pensées devinrent de plus en plus légère, insouciante même. Il commençait à s'endormir tranquillement sur un fauteuil quand la porte s'ouvrit. Il sursauta non par peur, mais par le simple fait que ce client le tirait d'un doux sommeil. Il le scruta brièvement puis il se leva pour allé à sa rencontre. Une fois arrivé devant lui, il vit son épée puis déclara en soupirant :

Vous savez, les armes sont interdites en ce lieux, nous avons une loge où les entreposés et vous pourrez les récupérés en partant. Ceci sont les règles de notre chère Hangrateur.

Puis il le regarda une nouvelle fois, cette fois-ci il vit que ses vêtements étaient mouillés.

Peut être désirez vous une serviette et un alcool pour vous réchauffez ?

Il marqua un petit temps d'arrêt puis pour engagez un peu la conversation il demanda :

A ce propos, que fait un voyageur comme vous en notre bonne vieille capitale ? Vous êtes ici pour les affaires ou alors pour rencontré une personne mais encore pour tout simplement faire la guerre ? Et puis comment vous nommez vous ? Il me semble que nous nous soyons jamais rencontré enfin bon je vais arrêter avec toute mes questions déplacés et vous laissez vous reposez. A ce propos je me nomme Erandil simple tavernier en ce lieu, le reste n'est pas utile pour votre séjour. N'hésitez pas si vous voulez quelque chose !

Une fois sa phrase finit, il retourna se détendre dans son fauteuil néanmoins il ne pourra pas dormir, maudit client pensa-t-il...

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sad regarda le tavernier, d'un regard assez noir, et lui répondit.

L'épée que j'ai dans mon dos appartenais a mon maitre Cerebus autrefois, grand démon, le mal véhicule dans son alliage , elle est rouge, a cause du sang des 16 démons ancestrales de nelavilas do'so capitale du mal.

sad se leva et sorti sont épée du dos, la prenant en main

Les écriture que tu peut lire dessus sont les nom gravés avec leurs propres sangs , c'est un puissant artéfact que je n'enlèverais pas, à moins que tu veuille essayés...

Ignorant tout se que lui avait dit le tavernier jusqu'à lors, il lui dit d'un ton assez ferme et obligeant

J'ai fait une longue route jusqu'à ce lieux, dit moi connait tu une dame du nom d'éolia?

sad se rassit doucement en fixant se dénommé Erandil, la pluie tombait maintenant a flot dehors, et la porte de la taverne s'ouvrit a se moment la et deux homme, se précipitèrent a l'intérieur , se qui cassa l'ambiance maussade.

Il regarda attentivement l'épée et scruta particulièrement les écritures. Elle était écrit d'une langue inconnue de ses yeux donc il ne chercha pas plus longtemps à les décryptés. Néanmoins l'important ne résidait pas là, la dernière question que lui posait l'inconnu était pour le moins étrange. Pourquoi une telle question ? Au moment où Erandil allait répondre, des voyageurs arrivèrent. Il alla à leur rencontre pour prendre les accueillir et prendre leur commande. Une fois qu'il s'était occupés d'eux il revint près du fameux inconnue, afin de évitez de répondre à sa question sur l'hastratrice eolia.

Dîtes moi votre épée, elle à quoi en particulier ? A part le fait que de vieille superstition ou rumeur court après elle. En tout cas je n'ai jamais entendu parlé de ces fameux 16 démons ancestrales, peut être pourriez vous m'en dire un peu plus, l'étranger.

Il s'assit à coté de lui le fixant du regard. Voyant l'expression de son visage, il comprit qu'il devrait répondre à sa réponse. Il réfléchit un instant pour essayé de comprendre le vrai sens de la question. Décidément demandé à un tavernier s'il connaissait une hastratrice c'est louche. Puis il reprit la parole d'une voix qu'il voulait amicale.

Et bien, pour en revenir à cette fameuse dame éolia, oui je la connais. Bien sûr je n'ai pas eu l'occasion de la recevoir dans cette humble taverne mais il n'y a nul besoin de sa présence en ces lieux pour en connaitre long sur la personne. Les rumeurs vont bon train sur. Je pourrais vous cité des choses par exemple, enfin sa dépend de ce que vous voudrez entendre sur elle. Tenez, vous là, vous débarquez de nulle part et vous me posez cette étrange question. Je peux facilement imaginé que vous êtes en faite un de ses admirateurs secret qui l'aimerait. Bien sûr peut être n'est-ce qu'inventions de ma part mais cela alimentera le taux de potin que je connais.

Erandil se mit à rire en attendant une réponse de cette étrange personnage.

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En laissant parler le tavernier, sad regarda la salle , ces deux clients qui était assis la bas tranquillement le gênait...
La pièce était assez sombre avec plusieurs point de lumière principalement des bougies , ou des sources de feu, la porte en bois massif avait une relativement bonne isolation, les fenêtres fait de verre épais et de bois robuste.
Les murs étaient solide, et très épais fait de très anciennes pierre lourdes, personne de l'extérieur ne pouvait entendre se qui se passait a l'intérieur .

sad revint a ses esprit en regardant le taverniers parler il n'avait écouter que la moitié du discourt, et lui coupa la parole pour lui dire :

Au sujet de l'épée tu ne peut comprendre le pouvoir quelle a cela dépasse de loin se que tu imagine, tu a bien dit que beaucoup de rumeurs circulaient ici , je voudrais en savoir un peu plus sur ces rumeurs, entend tu des choses sur les hommes puissants de la société, tu doit en savoir loin , moi qui vient d'arriver , je voudrais en savoir un peu plus...
En reparlant de dame eolia, quelles sont les choses que vous avez entendus dire a son sujets?

D'un air très triste et prenant, le mal être se fessait ressentir en lui , il dit d'un ton bas

Pour finir je ne suis pas un admirateur , mon cœur est déjà prit lier aux ténèbres , englouti par une souffrance , je suis seule dans le noir.

Puis il regarda la taverniers

Va donc me chercher me un thé aux fleur d'Imortelle misér..a .. heu , petit..

Des gardes pénétrèrent dans la taverne, cinq exactement, une dizaine d'autres gardes attendaient dehors, ils n'allaient pas tous rentrer. Quatre gardes restèrent à la porte, celui qui semblait être le chef s'avança dans la taverne, salua le tavernier et les quelques personnes présentes. Ses yeux se posèrent sur l'épée... Les armes étaient interdites ici... De plus le chef de patrouille n'avait jamais vus cette homme...

Il demanda au tavernier.

"Tout vas bien ici?"

Ces yeux se posèrent sur Sad.

"Bonsoir monsieur, j'ai le regret de vous dire que vous devez déposer votre arme à l'entrée de la taverne, à l'emplacement prévu à cet effet."

Il fixait autoritairement l'inconnu.

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du nouveau etait present dans la taverne , sad , en voyant le garde s'aprocher il se dit , sa va me compliqué la tache, comptant le vite le nombre de gardes et regardant vite tout les sorties et objets qui pourraient lui servir.

il ecouta le garde faire sont discours, puis prit la parole une trentaine de seconde apres l'avoir fixé

je suis désoler mais je pense que je ne vais pouvoir accepté a votre requette, le sang de ma famille coule dans le metal elle fait partie de moi, sont puissant aura peut decupler la force de celui qui la porte autant de fois que sont ame est sombre...
soyer compréhensif et tout se passera bien, autant pour vous que pour moi aller donc boir un verre a quelque table, il fait froid dehors, et la pluie bat.

il le fixa dans les yeux

vous devriez suivre mes conseil.

Le chef de patrouille ricana... Les ordres étaient les ordres. Il reprit sur un ton autoritaire.

"J'ai des ordres...Et la pluie s'est calmé."

Son regard dégageait une haine incontrolable, le chef de patrouille le savait cet homme pouvait s'avérer violent. Il céda.

"Très bien, mais je reste ici tant que vous êtes dans la taverne!"

Il se tourna vers ses hommes;

"Caporal! Appel les autres, on reste dans la taverne."

Dix gardes investirent la taverne, poussant des cris de joie, ils s'installèrent à une grande table.

"Tavernier, quinze jus elfiques!"

Commanda un des gardes.

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content de la reponse reponse du garde, sad l'interpela et lui dit simplement

hey , sage decition!

puis il regarda le tavernier un peu confus de tout se remut menage:

tres bien, continuons si vous le voulez bien.
peu etre devriez vous, allez servir les gardes...

La porte s'ouvrit dans un fracas assourdissant. La pluie entra dans la taverne accompagnée d'une femme en larmes. Celle-ci semblait comme possédée. Elle hurlait.

"Au secours, on vient d'enlever mon enfant aidez moi! Son père est blessé, dans notre maison près du poste de garde."

Et elle s'évanouit.

Tout les gardes se levèrent, le chef de patrouille se dirigea vers la femme, elle respirait. Il lança à SAD et au tavernier.

"Occupez-vous d'elle!"

Il s'adressa à ses hommes.

"Venez vous autres, nous y allons."

Ils quittèrent la taverne.

Décidément la taverne devenait mouvementé ce soir, cela lui faisait regretté sa sieste. Voyant les gardes arrivés, il prépara les différentes commandes et avant de pouvoir les servir, ils sortirent subitement de la taverne. Rapidement à l'adresse du capitaine :

Je vous met de coté ce que vous m'avez pris, si vous ne revenez pas, je vous enverrais la facture au poste de garde !

Puis voyant que l'étranger était toujours là, il lui apporta sa commande se posant de plus en plus de question sur lui. Pourquoi ne voulait il pas lâcher son épée ? Après tout, ce n'est pas comme si elle risquait d'être détruite. Puis pourquoi il pose des questions sur l'hastratrice éolia s'il ne fait pas partie de ses admirateurs ? Toute ces question n'avaient aucune réponse pour le moment. Doucement il se dirigea vers le comptoir sans que l'étrange ne le voit et cacha un couteau dans un des replis de ses vêtements. Puis il retourna à la table de l'hôte pour en savoir un peu plus à son sujet.

Donc si vous n'êtes pas un admirateur de cette dame qui entre nous n'est pas des plus désagréable à regardée. Peut être voyez vous une possibilité d'avenir en tant que fonctionnaire à la cour où bien simple mercenaire. Ceci n'est que simple supposition bien entendu, mais avec votre étrange épée je me pose des tas de questions. Enfin bon, je suis peut être parano me direz vous...

Il attendit une réponse du seigneur, posant délicatement la main sur le manche du couteau caché comme sa au moindre mouvement d'agressivité, le tavernier pourra vite calmer l'homme. Décidément cette inconnu n'est pas de bon augure et quelque chose se tournera surement mal. Enfin bon attendons de voir ce qu'il dira, mais quelque chose est louche dans cette histoire.

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je regardais le tavernier qui c'etait raproché de moi, les paroles qu'ils me disaient, je les écoutaient mais un seule but restait en moi , luisait an fond de ma consience.
béat de la situation de la taverne qui venait de se produire , j'ai decidé de reprendre le dialogue avec lui de maniére plus relaxé et complésente.

vous vous étes encore trompé , je ne viens pas non plus pour sa , vous savez en écoutant toute la journée des histoire de par et d'autre des clans , ou de simple indépendant vous devez étre au courant de bon nombres de choses ce tramant en cette grande ville , n'est-il pas vraie ?

je regardais le table et pris une gorgée de la boisson , et je repris de plus belle

oublier cette épé, laisser la, faite tout simplement comme s'il n'existais pas .
Tant que vos projet ne reste pas de m'agresser de ne je m'en servirais pas.
mais les questions que vous vous poser sont normals, car vous ne me connaissez pas , mais je considére que tout va bien se passer entre nous si çela peut vous rassurer.

je pris mon thé en regardant le tavernier, il allait me repondre.

Erandil poussa un soupir de soulagement concernant ce que venait de lui dire l'étranger se tenant devant lui. Il relâcha également le manche de son poignard de fortune. Mais bon toute les questions n'avaient trouvés de réponses pour autant. Visiblement il c'était décidé à s'ouvrir à la discutions, c'était la meilleur occasion pour lui soutiré des informations sur sa venu mais avant tout il fallait répondre à sa question. Réfléchissant quelques secondes à ce qu'il pourrait dire il déclara après avoir pris une poignée de cacahuètes proche de lui.

Et bien oui, ceci mon chère ami l'étranger est l'avantage d'être tavernier. Ainsi on se tient au courant de tout les ragots de la capitale et je peux vous assurez que si les draps savaient parlés, on en apprendrais encore de plus belle ! Enfin malheureusement ce n'est pas le cas... Alors si vous avez besoin d'un renseignement quelconque qui n'engage ni ma place, ni ma sécurité et si ça ne présente aucun risque, je serais votre homme et pourrais vous fournir des informations.

Voilà, il avait répondu à sa première question, maintenant il pouvait enfin commencé à lui soutiré des informations.

Au fait, vous ne m'avez toujours pas dit qui vous étiez et pourquoi vous étiez là... Si cela ne vous dérange pas j'aimerais bien savoir.

Puis il le fixa attendant une réponse. Et il se souvint que l'inventaire de la réserve devait être fait et cela ne pouvait plus attendre sans subir une retenue sur son salaire. Il se leva de sa chaise.

Et bien excusez moi mais le devoir d'un tavernier m'appelle. Je dois allé me taper tout l'inventaire de la réserve pour la soirée. A bientôt !

Il se dirigea en direction de la réserve qui se situait loin de l'entrée de la taverne. Commençant à compter les nombres de futs de bières, des tonneaux de vin, etc...

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Je regardais le tavernier, l'écoutant sans trop d'importance, de mes yeux bleu comme l'océan glacé. je ressentais que le tavernier n'étais pas à l'aise. Mais il avait raison de ne pas l'être.
mais je lavais rassuré, mis en confiance une bonne chose. Je le voyais s'en aller alors je lui dit :

Hé ho , vous me laissez déjà, j'ai des questions à vous poser à vraie dire, se sera court, venez , venez.

je le regardais attentivement pour savoir quelle allait être sa réaction ou cas ou si je devait, lui mètre un coup, mais j'avais peur de le tuer car la force que j'avais acquis, dans les terres du nord, en allant chasser des dragons, des kerafs , et autres créature en montant à des glaciers seul, était bien trop forte pour un tavernier.
Le tuer ferait la polémique sur moi , et me forcerais à entrer en guerres se dont je n'avais pas envie en se moment.

Erandil se stoppa net quand le voyageur l'interpella. Se demandant quelle genre de question il pouvait bien vouloir lui posé, il se retourna lentement et fixa le visage de cette homme qui semblait perdu dans ses songes. Il remettra l'inventaire à plus tard, il sentait que quelque chose ne tournait pas rond avec cette étrange homme. En tout cas si l'homme se montrait violent, on pourra facilement le calmé en lui donnant de grand coup dans la tête.

Vous avez besoin de savoir quoi ? Non pas que vous me dérangez, presque pensa-t-il, mais vous en conviendrez qu'en tant que tavernier j'ai des obligations en ce lieu et je me dois des les remplir et c'est pour cela que je partais faire un inventaire dans la réserve. Alors tâchez d'être bref.

Attendre, il n'y avait plus que sa à faire et on saura enfin ce que veut cet homme.

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Je regardais le tavernier, il était lent, un véritable molusque, la pression montais en moi.
Il n'étais pas très réactif, en le voyant arriver devant moi, c'est à ce moment la que j'ai decidais de passer à l'action car , la scène avait trop durée.

Bon écoute, je ne vais pas perdre plus de temps avec toi.

Je me levais, et d'une bon soudain je le pris à la gorge en le levant du sol légerement.

Tu va me dire se que je veut savoir, et tu va me le dire tout de suite sinon je t'écrase la tête contre le sol.

Il avait du mal à respirer, je ne serais pas beaucoup pour faire en sorte qu'il puisse parler encore.

Erandil était là, entre les mains du visiteur qui s'était enfin dévoilé. Ainsi ses craintes s'étaient confirmés et c'est bien des intentions hostiles qu'il avait. Il sentait une pression sur sa nuque, pression trop insuffisante à son goût. L'agresseur était trop sûr de lui il n'avait même pas pris la peine de jugé les capacités du tavernier et était directement passé à l'attaque. Un rire s'empara alors de lui, pendant une trentaine de secondes il ne put s'arrêter. Une fois revenu à la raison il prit la parole.

Enfin tu arrêtes de faire perdre mon temps en me posant tes questions et en passant à l'action. Enfin si on peut ainsi les nommés. Tu veux des réponses ? Mais à propos de quoi ? De savoir si le soleil se lève à l'Ouest ou à l'Est ? Si le Doux prend son bain tout les matins ?

Puis il s'interrompit, il réfléchit une dizaine de secondes puis sans prévenir il effectua une prise rapide qui eu pour conséquence de faire lâcher l'emprise que l'autre avait sur lui. Il sortit rapidement un poignard de sa manche puis se mit en position de combat.

Si tu veux des réponses, il va te falloir posé des questions claires et précises ! Maintenant montre moi ce que tu vaux !

Il avait un léger désavantage par rapport à son adversaire, le tavernier n'avait que pour seul arme un poignard mais plusieurs restaient cachés sous ses vêtements, si la situation devenait trop périlleuse il lui lancerais plusieurs dans sa figure.

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