Un homme ou plutôt l'homme qui avait lancé toute cette révolution écrivit à la Rédaction, d'une manière bien sûr anonyme, ne voulant pas avoir des répressions :
"Chère Gazette,
J'ai été scandalisé, outré, par ce que je viens de lire. Outre les fautes qui parsèment ce torchon, j'interviendrais sur le second paragraphe.
Vous mettez la gueuse éolia au premier plan, vous la louez. Honte à vous !
Lors de cette révolte, qui permit quand même la réhabilitation méritée du sir SaYoLe, nous avons perdu cinq personnes dont deux enfants agés de moins de 10 ans, une femme enceinte, et deux hommes dans les force de l'âge. Quinze autres personnes ont été gravement touchées, et sont encore aujourd'hui dans un état critique.
Et vous appelez ça "sauveuse d'un peuple" ? Nous avons étés tiré comme des lapins, alors que nous étions désarmés.
J'ai même la preuve, que ce que nous avons subi c'est bel et bien un complot.
Et vous vous dites un journal ? Ne vous étonnez plus, si la population ne daigne plus lire vos tissus de conn*ries, remplies de fautes, et d'absurdités !
Hyandäran, vous feriez mieux de démissionner !"