Une lettre anonyme fut envoyée à la Gazette.
"Et qui nous indemnisera ? Et qui nous payera ce que nous avons perdu ?
J'ai tout perdu, ma femme, mes enfants, et ma ferme s'est faite ravagée. Et il y a encore ce gueux d'Alérandir, et je parle bien de ce qui nous sert de Trou, euh de Mou, à qui nous payons des impots !!!
Que vais je faire ? Alors au lieu d'utiliser de l'encre et du papier, de nous servir de beaux mots, donnez nous de l'argent, du grains pour nourrir ma vache, de la viande pour me nourrir !"