[A] Le rassemblement des troupes

La vie d'Eolia commençait à arriver à son terme, il était temps de lancer les derniers préparatifs avant le grand jour et pour cela, il fallait commencer à passer en revue ses forces armées et les personnages qui seraient prêt à la rejoindre pour la révolution. Elle décida donc d'envoyer une lettre à chaque seigneur et dame qui pourraient renforcer ses positions et elle fit circuler ces messages via ses réseaux d'informations afin que même les personnes qu'elle ne connaissait pas puissent lui affirmer leur allégeance à la rébellion. Ainsi, seules les personnes de confiance allaient répondre à sa demande.

Seigneurs et Dames,

L'heure de la rébellion est proche, il est temps de nous unir pour renverser le pouvoir qui nous opprime et entraine la chute de notre monde. Je vous demande de me rejoindre et de me prêter allégeance. En unissant nos forces, nous vaincrons ce tyran qu'est le doux et nous ouvrirons une nouvelle ère prospère. J'attends votre lettre me montrant votre fidélité à notre cause et votre futur engagement pour ce que l'histoire retiendra comme le début de l'age d'or d'Agueraton.

La dame de la rébellion

hrp/ La deuxième partie de la quête sur la révolution va bientôt démarrer, je voudrais donc avoir une idée du nombre de personnes prêtes à soutenir la rébellion. J'invite donc toutes ces personnes à répondre à cette lettre afin d'affirmer leur soutien. Afin de ne pas surcharger ce post, les lettres demandant une réponse l'auront par mp./hrp

Edité par l'Académie des langues

Habitué Nombre de messages : 108 Participation RP : 0 Inscription : 17/12/2008

Une douce musique venait de prendre possession du château de la régente de la rébellion, comme tous ce qui vient d’Halicarnasse ... C’était en effet, une lettre provenant de la belle cité qui venait d’arriver dans les mains de la dame... Lettre écrite d'une infinie finesse telle une symphonie...

Lettre d’Argos, citée d’Halicarnasse :

Dame de la rébellion,

Vous qui vous dîtes capable de renverser le doux et toute son institution ...
Étés-vous aussi capable de donner un élan à ma carrière ? Le poste de rédacteur en chef étant depuis longtemps abandonné je pensais...

Si vous êtes la dame capable de me donner cet « promotion »... Alors vous pouvez désormais comptez sur un appuie de mes articles, une propagande accru, un soutien militaire et bien sûr étant musicien une fanfare digne d’une future reine...

Mes armées seront prêtes dans la nuit à faire face, mais sachez que moi-même et mes capitaines sommes aussi prêt à prêter serment afin que nos vies protége la votre, ainsi nous pourront vous offrir garde rapproché dans les grands événements qui suivront votre prise de pouvoir...

Mes propositions, sont je l’espère à la hauteur de votre ambition...
En attendant une réponse de votre part pour convenir d’un entretien, voir d’un point de rendez vous des troupes de la rébellion.

Je vous adresse ma dame mes salutations les plus distinguées...
Argos d’Halicarnasse

Thorvald était tranquillement installé à son bureau dans la salle du conseil. La pièce était dans une semi pénombre, avec pour seul éclairage deux imposantes bougies et une lampe à l’huile. Elle répandait le subtil arôme des noix qui la composait. Il consultait différents documents.
Un guerrier vint frapper à sa porte.

*bam bam bam*

- ENTREZ !
- Veuillez excuser mon intrusion mais je viens d’intercepter un messager en provenance d’ Alérandir Daâh, il se trouve dans notre poste. Il était porteur d’une missive…
- Entrez donc et remettez la moi !
*lit la missive*
- Allez quérir Guenalf, il doit se trouver dans son office. Qu’il emporte plumes et parchemins.
- A vos ordres Monseigneur.

Le garde se retira pour revenir quelques instants à peine flanqué de Guenalf le vieux scribe

- Bonsoir Monseigneur, vous avez besoin de mes services ?
- Rompez et postez vous devant la porte, je ne désire être déranger en aucune manière lança-t-il au garde. Assoyez-vous mon bon ami, et transcrivez ceci je vous prie.

« Dame de la rébellion,
Ma garde a intercepté l’un de vos messagers et la missive dont il était détenteur à retenu toute mon attention.
Cependant je réserve ma réponse. Vous conviendrez en effet qu’une telle décision sera lourde de conséquence.
Il serait de bon augure également que je connaisse votre identité, je ne peux en effet pas donner allégeance à un inconnu.
Je me dois qui plus est de consulter mon vénérable conseil.

Thorvald le bon, Seigneur de Sacoridie Royaume du Grand Nord»

- Merci mon bon Guenalf, vous pouvez disposer.
- Je suis votre humble serviteur mon bon Seigneur.
- Garde !
- Monseigneur ?
- Raccompagnez Guenalf, remettez ceci au messager et laissez le poursuivre sa route.

Le garde s’exécuta, raccompagna le vieux scribe, et remit le parchemin au messager. Ce dernier saurait à qui remettre le document. Thorvald se replongea dans sa lecture interrompue quelques instants auparavant...

[HRP: Je joue le rôle d'un garde totalement indépendant de mon personnage FIN HRP ]

Depuis longtemps déjà je me sentais floué par la laxité du royaume, j'avais toujours été fidèle au doux et qu'avait il fait pour nous. Rien, des vents sur mon passé voila ce qu'il allait arriver...

Olis, garde de la capitale envoya une lettre à une certaine dame de l'ombre...

Citation :: Dame, si je vous écris ces quelques mots c'est pour vous faire part de mon éternel soutient, je vous soutiendrais dans votre lutte et vous transmettrais des informations sur les agissements de la garde. Je ferais tout pour vous aider dusse ais je vous ouvrir moi même les portes de la capitale que d'ailleurs il m'arrive de garder. Si je puis faire quoi que ce soit pour vous venir en aide contactez moi en renvoyant cet hibou, il saura me retrouver...

Olis,Garde d'Aguératon

Dans les rues le garde regarde derrière lui et laisse s'envoler son hibou qui retrouverait l'instigatrice de la rébellion grâce aux odeurs

Je m’attardais sur un dossier de la plus haute importance quand on me fit parvenir une lettre. Me tournant vers le messager, je dis :

- Tu peux disposer.

L’homme fit demi-tour sur lui-même et partit, refermant la porte derrière lui. Sur le devant de l’enveloppe, on pouvait lire l’auteur de la lettre : Eolia. Je me suis d’abord demandé pourquoi elle ne s’était pas adressée à moi en personne mais j’ai vite eut réponse à ma question en parcourant de mes yeux le parchemin tâché de sang. Je ne préfère pas dévoiler son contenu hormis qu’il parle de la révolution. Cette fameuse révolution qui fait ravage dans chacune des régions de notre monde devenu sinistre. Et pourtant, j’ai pris parti du côté d’Eolia, « la manipulatrice ». A vrai dire, je n’ai pas vraiment eut le choix. Il en allait de ma réputation. Maintenant, rien ne fera changer le cours des évènements – La prise du pouvoir – Et je serais là pour le garantir !

Dame Eolia,

J’ai pris votre parti et plus rien n’empêchera le cours de cette révolution. N’hésitez pas à faire appelle à moi. Je suis prêt et j’attends les directives. A très bientôt !

Odrouk.

Silimaure était en train de se balader dans les rues froides d'Alérandir Daâh, il s'appretait à rejoindre la prison, quand son ancien messager arriva pour lui porter une lettre...

-Et bah tiens qui voilà, désolé mais je ne suis plus sous la juridiction de mon ancien royaume.

-Non messir, le royaume à besoin de vous, voici une enveloppe, nous l'avons déjà lu, et on préfère vous laisser les commandes d'Aëroth...

Silimaure ouvrit l'enveloppe déjà abimé par le froid et la maladresse du messager...

-Nom du Doux ! C'est une occas en or de faire revivre le royaume, donne moi une plume sale chien de messager et vite !

Le messager lui donna du papier et une plume puis il se mit à genoux.

Citation :: "Dame de la rebellion, je vous remercie de m'avoir fait revenir sur le trône d'Aëroth, même si ce n'était pas intentionnel, vous aurez mon soutiens pour votre révolution.
Je viendrai à vous dès que vous le demanderez, et ceux ci gratuitement...

Seigneur Silimaure d'Aëroth"

-Transmet ce message à la Dame de la rebellion, et rejoins moi aux chateau d'Aëroth.

Le messager repartit en courant dans les chemins sombre de la capitale...

Apprenti Nombre de messages : 24 Participation RP : 2 Inscription : 27/11/2008

Des gardes se promenaient dans la ville, quand ils virent un seigneur.

"Hep vous là !

On nous a signalé que vous vouliez être en prison, alors allez- y de suite."

Les gardes avaient cernés le sir Silimaure, et en plus avaient appercut qu'un messager était vite parti.

"On vous accompagne"

Erandil était entrain de faire un inventaire dans la réserve. Tout était calme depuis que le visiteur était récemment partit. Il entendit un bruit de pas qui venait en sa direction, par réflexe il dégaina un poignard caché. L'homme qui se tenait devant lui lâcha une lettre avant de repartir sans dire un seul mot. Il attrapa le bout de papier gisant par terre et l'ouvrit pour pouvoir le lire. Une fois la lecture terminé, un sourire parcouru le visage de Erandil qui sortit de la réserve pour répondre à la lettre.

Chère dame,

Depuis la visite que j'ai reçut il y a de sa quelque temps, j'ai découvert que nous partagions plusieurs points commun. Le principale est sans doute le changement, vous comprendrez surement pourquoi et c'est avec honneur que je vous offre ma loyauté.

Erandil, régent de Valiro.

Une fois qu'il avait finit de rédigé il claqua des doigts et un homme encagoulé se dirigea vers lui, prit la lettre et s'en alla.

hrp: même si le RP avec SAD n'est pas finit je met quand même ma réponse car je ne sais pas s'il continue le RP/hrp

Silimaure était emmené en prison par les gardes...

-Si vous me laisser partir et que vous me donniez des vetements convenable je peux vous donner des informations sur le coup d'état qui ce prépare. Mais bien sûr je suis sûr que vous avez mieux à faire, c'est pas grave de perde une promotion pour avoir sauver le Doux après tout ...
Je peux tout vous dire, bien sûr.

Apprenti Nombre de messages : 24 Participation RP : 2 Inscription : 27/11/2008

Les gardes s'arrêtèrent, intrigués. Puis le chef du bataillon s'avança vers l'homme et lui répondit :

"Vous direz tout cela au Caporal Malenie. Et c'est elle qui décidera si l'on vous relâche ou pas. Mais réfléchissez bien à ce que vous allez lui dire."

Il regarda ses hommes, qui entouraient Silimaure, surtout que maintenant, ils savaient qu'il pourrait être utile.

"Allez hop, on y va !"

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