[Chapitre 1] : D'un raid éclair

Borgan :


Un pied sur la tête de dragon servant de figure de proue. L’homme, passablement obèse et torse nu, laissait les bourrasques marines le gifler de toute la force de la vitesse à laquelle son embarcation à rame avançait. De sa main droite tenant une bouteille verdâtre, il pointait la masse lumineuse qui s‘agrandissait au loin.

Son navire était à la tête d’une formation de cinq embarcations semblables à la siennes : basses, équipées de deux rangées de quinze rames et d’un court mât destiné à les aider lors de leurs fuites, le vent dans le dos. Leurs coques étaient aussi noires que l’eau des vagues qu’elles tranchaient. De la même couleur que les voile encore repliées. De la même couleur que les pavillons qui claquaient bruillament sous les assauts du vent.
Sur chacun des ponts, un homme frappait sur un lourd tambour qui faisait trembler les pirates et dictait la cadence de leurs mouvements.

Borgan, puisque c’était son nom, avait décidé d’attaquer l’un des villages perdu et sans défense de la côte îllienne. Et de le faire dans les règles de l’art. De SON art.

Quand le moment fut venu, il ordonna de faire cesser le tambour de son navire. Et un à un, ceux des autres embarcations se turent une à une. Les marins levèrent en un instant leurs lourdes rames. Les remontants et les calant à l’intérieur des bancs de galères.

Et puis ce fut le choc des proues s’écrasant contre le sable de la plage bordant le village. Et d’un coup, les trois cents pirates déboulèrent sans un bruit sur la plage. Courant pied nu vers leur cible.

Et Borgan d’hurler de toute la force de ses poumons :

« CE SOIR, NOUS PILLERONS, NOUS TUERONS, NOUS VIOLERONS. ET RIEN. NON RIEN NE RESTERA DE CE MINABLE VILLAGE. »

Les pirates, sans même stopper leurs courses, hurlèrent d’une seule voix à ces parole d’encouragement. Ils étaient préparés pour le combat. Affamé par des heures de galères et des années de disettes. Mais désormais, les dragons de Salash allaient répandre leurs noms et leurs libertés sur cette partie du monde.

Le premier pirates à atteindre le village trancha la gorge du garde alerté par les cris des pillards. Sa tête roula, l’homme s’en empara, alluma ses cheveux d’un coup de sabre sur sa pierre à feu et l’envoya sur le toit de chôme d’une bâtisse proche avant de partir d’un grand éclat de rire.

Autour de lui, ses compagnons tuaient tous les hommes, toutes les femmes et tous les enfants qui apparaissaient devant eux. Ne laissant en vie que quelques demoiselles à peine en age de se marier qu’ils trouvaient à leur goût.

Borgan lui avançait en queue de charge. Sa bouteille énorme dans la main. Au loin, il pouvait apercevoir les lumières s’allumer au rythme intimé par ses hommes. Et bientôt, il n’y avait plus que cris et feu dans ce village.
Sa petite équipée avait même engagé un semblant de combat à la sorte nord de la ville. Certains avaient sans doute espérer s’échapper de la crique de falaise, mais cette nuit, seules les cendres seraient témoins de leur cruauté.

Devant lui, un pirates menaçait une mère et sa fille. D’un geste, Borgan lui ordonna de se trouver une autre proie. Celle ci était pour lui. Son cadeau de la soirée. Et elle était parfaite. En larme, offrant son corps pour sauver sa fille. Offrant sa vie pour celle de son enfant. Borgan leva son arme de verre épais. Et d’un geste, balaya l’air de son énorme matraque verte. Provoquant un craquement sonore à l’endroit du corps de la mère qui n’était désormais plus qu’une masse inerte écrasant sa fille et l’empêchant de s’enfuir.
Le pirate sourit de toutes ses dents jaunâtres. Et, du pas le plus pataud dont il était capable, marcha sur le corps de la mère qui étouffait sa fille. Dans le bruit des poutres qui crachaient et des hommes qui hurlaient, il n’entendis qu’a peine le cris qu’il lui arracha.

Un homme tomba à genoux à la vue de la gisante et de sa progéniture bloquée sous le tas de chaire. Le capitaine le regarda, un sourire presque amical fiché sur le visage. Et d’un geste, il tira une dague et l’envoya en direction de ce qu’il pensait être le père de ses victimes.

« Mes hommes ne font parfois pas la différence entre homme et femme… Alors si tu veux crever fais le… BRAHAHAHAHAHA »

L’homme regarda la longue dague incurvée qui s’était fichée entre ses jambes repliées. Et sans surprise, s’en empara pour plonger vers Borgan.

Qui, repartant d’un rire rauque, fit pivoter son corps, rajoutant à la force de son coup la vitesse de son mouvement. L’homme fut projeté à l’intérieur d’une maison en feu qui, sous le choc, s’écroula sur lui. Le tuant par le feu alors que son dos était brisé. Borgan le regarda un moment puis pris la conque qui pendait a son flanc et souffla dedans.

Les pirates cessèrent alors leurs jeux et achevèrent tous les habitants sur qui ils n’avaient pas jeté leurs dévolus.

Et en un temps qui sembla une éternité à la vingtaine de jeune filles capturée, les pirates retournèrent à leur embarcation, les poussèrent dans l’eau, et repartirent dans la brume, toutes voiles déployées.

Dans le village, il ne restait qu’une petite fille au bras brisé par le poids du dragon de Salash.

Journal de Cyrus Morg, "Traité sur la Piraterie".

"Au cours d'un de mes nombreux voyages, il en est un qui me permit de tirer de nombreuses conclusions quant à ce que nous appelions les Loups de mer. Ce voyage me conduisit par je ne sais quel hasard sur une côte des plus triste qu'il me fût donné de voir: le ciel se déchirais entre le rouge sang du soleil et le bleu verdâtre de la mer et la végétation des plus étranges semblait avoir bue tellement de sang que son apparence s'y prêtait. Là, le long de ces côtes, la lumière changeante me permettait de voir ce lieu sous tant de forme que celle que je vous énonce n'est que le pied de sa structure au combien complexe.

Au plus profond de ces plages je pris connaissance de par l'odeur ambiante que de la chaire grillais, chaire humain de plus. Je pris donc la décision de me rendre en ces lieux....... "



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Seulement une petite fille et une femme était présente dans le village, je pris donc la décision de me tenir à distance, sans prendre soin de me dissimuler, mais en ne disant mot...

Il venait d’arrivé sur la cote de l’île. La vue qu’il avait était apocalyptique, le village n’était plus que ruine et cendre. L’odeur était presque qui arrivait au nez du sir était presque insupportable pour sont odorat très développé. Seul des personnes barbares pouvait faire des choses aussi atroces. Il se tourna vers le coté et vue plusieurs unité de Gaia fessant des rituels anciens en temps offrande à leur dieux. Il s’approcha et déclara:

Salutation, je viens ici pour découvrir les barbares qui on crée ce désastre humain. Mettons nos différents de coté je vous priez, et pourquoi pas unir nos intelligence pour trouvé l’être inhumain qui à fait ceci.

En attendant la réponse, le sir pris sont grimoire et recherche après une formule qui pourrais lui permettre d’aidé dans la recherche.

Hrp Merci Ostros hrp

N’aillant aucune réponse du coté des unités de Gaia, il décida d’inspecté lui-même les indices qu’il pourrait trouvé. En premier lieux il pouvait examiné la petite fille qui n’était plus surveillé par les membres de la tribu de Gaie.

Excusé moi jeune demoiselle, pourriez vous me raconté ce qui sais passé la nuit dernière s’il vous plait?

Elle restait bouche bé, elle était toujours sous le choc de la veille. Ses habit était toujours déchiré et froissé, ils étaient imbibé d’une matière liquide. J’approche mon nez prés de sont t-shirt et je sens une léger odeur d’alcool, seul mon odorat très développé pouvait percevoir cette odeur.

Qui ta mis se produit sur tes vêtements? Dit moi s’il te plait, je vais t’aidé à te venger.

La petite fille était étonné que le draeline avait pue percevoir cette odeur, mais sa bouche restais close.

Nous ne pourrons pas tiré quelque chose de cette petite fille. Merci à toi, tout s’oublie un jour.

Il prit un parchemin et écrivais ca découverte, il prit soins de cacheté la lettre et ordonna à sont griffon dans faire part au plus haute autorité.