Aguératon - Les Royaumes Oubliés
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 Tyksor

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Asrya
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MessageSujet: Tyksor   Tyksor Icon_minitimeMer 14 Mai - 21:33

Bon faut bien que quelqu'un ouvre le forum alors je vais commencé ceci est pour un autre jeu de rp je viens pas faire de pub voici l'histoire la rédaction est de moi.
Je veux bien des commentaires, je suis à votre écoute.
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Asrya
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MessageSujet: Re: Tyksor   Tyksor Icon_minitimeMer 14 Mai - 21:34

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Le monde fût bâtit sur les légendes et la haine, la fourberie, la violence et la conspiration. Les conteurs ont retracés l’histoire dans le livre « Le cycle épique ».

Genèse :

Le ciel était sombre, les corbeaux surveillaient avec intérêts le tableau qui se dessinait en contrebas. Les sinistres croassement, le bruit du frottement du métal, les hurlements étaient le chant produit par cet enfer. L’herbe était humide et ensanglanté.

Elle était là, souriante ravis par le spectacle près à accueillir avec hospitalité ses nouveaux hôtes. Elle regardait sa création avec des yeux émerveillés. La faucheuse était décidément heureuse par ses jours sombres et les cœurs des hommes, des elfes, des nains, des mages étaient remplient par la colère et le dégoût.

Cette ère s’achevait, les ténèbres recouvraient le monde. Les magnifiques plaines, les rivières cristallines, les immenses forêts disparaissaient pour laisser apparaître un nouveau monde édifié selon l’utopie de la légion D’Erhus kal.

L’ombre avait enveloppée la lumière quand cette légion sortit de l’enfer avait envahit le monde. Le chaos faisait rage sur les terres de Tyksor, l’espoir n’était pas éteint. Les songes et les dires d’un homme parcouraient le monde aussi vite que la brise du vent. Le soulèvement des derniers rescapés attendait son heure.


Extrait du cycle épique chapitre premier : La chute.


La légion D’Erhus Kal sentit la menace quand un éclair de lumière perça le ciel obscur. La larme futile ou l’épée D’Esynä selon le terme elfique était découverte. Une nouvelle agonie était pressentit. Les éclairs se propagèrent et se multiplièrent redonnant du courage.

La bravoure avait envahit Tyksor. Une bannière fût créée et une ville édifiée Levennyd vît le jour. Refuge de la justice et de la loyauté. Cette ville rassembla alors des croyances et des adeptes. Et l’âme de Darr apparut et s’engouffra dans un corps platonique il s’exprima alors le ciel encore obscurcit fut inonder d’étoiles représentant toutes les victimes de ce cataclysme et sa voix résonna des jours et hanta les pensées.


Le seul souverain dont on doit accepter le joug est la raison. La justice l’amour la loyauté défie cette gangrène. Que la légion tremble une nouvelle aube va apparaître. Nous pardonnerons à toutes les créatures infâmes si elle abandonne Tyksor nous défierons le reste quand le ciel sera partagé à part égale entre les ténèbres et la lumière.

Ce phénomène attendus et redouté arriva. La légion fit face à leur cauchemar. Les peuples unis se dressèrent avec fierté et l alliance de Darr levèrent les armes vers les cieux et jurèrent de repousser le chaos. La terre trembla, les flammes de l’enfer sortirent du sol tandis que le ciel grogna et les éclairs frappèrent la légion. Darr planta alors la larme futile dans le cœur D’Erhus kal. Le bruit s’estompa et le cris d’agonie d’Erhus Kal glaça Darr .Dans un dernier souffle les ténèbres mordit la lumière et le venin nébuleux prit son dû.

Les divinités moururent, les créatures chaotiques s’échappèrent dans le sol masqués par la terre elles regardèrent. Les êtres lumineux se réfugièrent dans les cieux cachés par les nuages elles s’observèrent ce grand carnage.


Extrait du cycle épique chapitre deux : L’Apothéose.


Une nouvelle aube venait de naître. La souffrance était encore en mémoire pour les survivants. Le monde était scindé entres les deux croyances. La paix était éphémère. Le corps qui avait servit de réceptacle pour le dieu de la lumière fut libéré.

L’homme qui avait trouvé la larme futile était au milieu de ce chaos. Lui la source d’espoir, le libérateur de Tyksor était vivant. Le monde fit alors un choix irréfutable, un sacrement. Le monde était maintenant gouverné par un seul homme dans le but de plus faire souffrir la civilisation.


« Tyksor a souffert, aujourd’hui les combats cessent. Je suis le messager et le protecteur de chaque race de notre monde la solution pour ne pas voir le monde périr c’est la paix. Nous devons unir nos civilisations est reconstruire notre monde. Grâce au savoir des elfes et leurs habilités nous construirons des temples, les nains trouveront des richesses en cressant des galeries, les mâges redonneront beauté dans nos contrées. Chaque race jouera son rôle dans l’édification de ce nouveau cycle. »

Des nouvelles villes étaient construites Has-Sirit, Exilia et Fenniol demeuraient maintenant des symboles emblématiques de connaissance, de paix entres les diverses races de Tyksor.

Le mal n’avait pas péris. Un désaccord demeurant présent. La soif de pouvoir pour les orcs, les anges déchus, les démons et toutes créatures ayant des croyances maléfiques qui étaient rejetés par le roi Luyoo décidèrent de réagir.

Une nouvelle guerre éclata. Les adeptes des deux croyances se battirent alors pour le trône de Tyksor. Les saisons passèrent rapidement aussi vite que l’eau qui coulait dans les rivières de Tyksor. Cette calamité s’aggrava au fil du temps. Elle prit fin après des années de souffrance à la mort de Luyoo et la disparition de la larme futile.


Extrait du cycle épique chapitre trois : Succession.

La descendante du roi était la reine Juitaa. Elle avait était spectatrice de l’échec de son père. Le trône lui revenait pourtant. La dur tâche d’unifiée le monde et d’établir une paix durable était désormais entres ses mains.

La larme demeurait toujours introuvable et Juitaa n’était pas reconnu dirigeante du peuple de Tyksor si elle ne possédait pas l’arme elfique. C’était un soir Juitaa avait disparut. Les années passèrent bien vite pendant son absence. Les habitants étaient terrifiés de revoir une guerre éclater.

Juitaa passa sa vie à chercher l’épée, tous ses efforts furent vains. Elle était revenue mourir dans son palais. Regrettant le temps perdus, se lamentant de sa vie anéanti. Consciente de ses échecs et de pas avoir eu de descendance elle décida de créer un conseil pour diriger le peuple.

Le conseil portait le nom « Les élus du peuple ». Les conseillers étaient choisis par la communauté de Tyksor. Le conseil devait diriger le peuple. Généralement les élus du peuple étaient des bons orateurs, des personnes de grandes influences, une d’une capacité militaire importante.

Le conseil avait le droit d’écrire des lois qui était rajoutés dans le livre des doctrines. Ses règles de conduite devaient permettre de maintenir la paix dans tous les royaumes. Avant de mourir Juitaa releva une catastrophe qu’elle avait découverte en cherchant l’épée. Se secret resta dissimulé à la population mais les conseillers le savent et redoute une nouvelle journée sombre.
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