Une terrible maladie

Dame Ayrwen n'en revient pas.
Après quelques espionnages, et hypothèses émisses, elle ne comprend toujours pas d'oû cette terrible maladie est arrivée.
En effet, depuis le début de la création des terres d'Aguératons, il semblerait qu'une terrible maladie s'acharne sur tous les seigneurs se trouvant dans les hautes cimes. Cette maladie serait-elle native de ce lieu? S'attaque-t-elle à tout les seigneurs? Quelles en sont les risques?...

Une multitude de questions est vite arrivée lorsque Dame Ayrwen décida d'analyser le phénomène.

Ca première analyse fut vite faite. En effet, la maladie n'avait pas l'air de toucher le seigneur Seifer, illustre générale des forces pingouinnes. Etait-ce lui le contaminé qui contaminait tout le monde? Ou, avait-il des anti-corps spéciaux. Comment en avoir aussi, afin de ne pas risquer sa vie lorsqu'on s'introduit dans les hautes cimes? A chacune de ses analyses, Ayrwen apercevait qu'une multitude d'autres questions apparaissaient. Chose très embêtante étant donné qu’ Ayrwen essayait de comprendre la maladie.

La deuxième analyse fut d'essayer de comprendre les symptômes de cette maladie. Le symptôme le plus courant était celui de la frayeur. En effet, tous les seigneurs en hautes terres, excepté le seigneur Seifer, étaient pris d'une frayeur-t-elle qu'il se mettait directement sous protection du doux ou redescendait immédiatement. Ayrwen avait constater que ce premier symptôme apparaissait en moins de 24H.

La troisième analyse fut elle aussi, facilement faite. En effet, en regardant d'un peu plus près les seigneurs touchés par la maladie, il s'avérait que s'était les seigneurs déjà touchés d'une certaine Démence qui était le plus vite malade. La démence amplifie-t-elle la frayeur? Il faut croire que oui! Car pour une grand majorité de seigneurs de toutes races, ceux-ci sont vite redescendu dans les basses terres d'Aguératon et une fois dans les basses terres, plus aucun symptômes ne leur est apparu. Seul certain seigneurs déjà touché par la démence reste en haute terre, mais sont obligé de se mettre sous protections du doux.

Le quatrième et du moins la plus alarmante, fut de constater la mort d'un seigneur qui à du contracté cette maladie à un stade bien trop avancé. En effet, le seigneur Hoseph Detastrith, qui fut le seul seigneur osant rester plus de 24 heures dans les hautes cimes sans se mettre sous la protection du doux, à disparut de toute les cartes de dame Ayrwen, celle-ci en conclue donc qu'il est mort. Paix à son âme, en espérant qu'il reste un cas isolé de cette terrible maladie.

Suite à toutes ces analyses et à l’envie de progresser, Ayrwen placarda une affiche a l'entrée de la salle qu'elle venait d'ouvrir.
On pouvait y lire:

Cherche de plus amples informations grâce à des scientifiques, paysans, cobayes qui pourraient faire avancer la recherche.

Le seigneur apparut dans la salle dans un éclat de fumée. Comment cela était possible de se déplacer sans marcher ou courir ? De la magie noire ? Peut-être, qui sait ? Non, seuls les plus faibles utilisent ce genre de magie ! Sûrement un tour que ses archimages lui avaient appris. En tout cas, Seifer était dans la salle d'enquête de Dame Ayrwen. Bizarrement cette dernière ne portait pas de blouse blanche, et il n'y avait pas non plus de tableau avec des calculs qui ressembleraient plus à des casses têtes que des mathématiques ou de la physiques. Seulement parce que seuls les fous savaient en faire.

En tout cas la question de savoir d'où venait cette maladie n'était pas la bonne, il fallait se demander si s'était bien une maladie ou de la lâcheté, une manoeuvre stratégique ou encore un acte désespérer de conserver un peu de terre pour ... d'ailleurs pour quoi faire ? il est vrai que les pingouins sont très ... protecteurs envers leur général et assoiffés de sang. Cela faisait sûrement peur aux sieurs essayant de gravir les sommet d'aguératon, mais comment savoir si ces derniers sont là pour nuire aux pingouins ou simplement pour dominer le continent ? Comment savoir si leurs intentions sont pacifiques ou maléfiques ? Comment savoir si leur paroles sont d'or ou pas ? Tant de questions qui seront sont réponses.

La "maladie" perdurera donc sans aucun doute tant que les pingouins et leurs ennemis ne sauront faire de pactes digne de ce nom. Tant qu'aucune confiance ne régnera entre Déments, Pingouins ou Marginaux (si ces derniers sont encore en course) les hautes terres seront sans aucun doute des refuges sous protection du Doux. La question entre guerre ou chaos demeure donc ...

Dame Ayrwen, surprise de voir arriver son général qui plus est, celui-ci s'emblait pensif et ne prenait pas la parole. Etait-il entrain de réfléchir aux énigmes d'Ayrwen? Sûrement! Mais qu'elle était donc son point de vue?

Intriguer elle décida de s'entretenir à l'écart avec son générale, pour essayer de savoir et de comprendre sa logique.
Etonné par l'entretient qu'elle venait d'avoir, et la logique indéniable de son général, Ayrwen décida de prendre des notes et afins que tout le monde puisse venir participer sans perdre le fil conducteur de l'analyse. Elle installa donc un tableau avec dessus, non pas des chiffres et équations farfelues mais simplement des mots clés qui peuvent être des pistes.

Elle prit donc de quoi écrire et sur un grand tableau placé sur l'estrade de la salle, elle résuma son idée et celle de son générale:

Maladie!
Causes? Conséquences? Symptômes (crainte)? Remèdes? Déments?

Pingouins!
Dominations? Peur? Déments? Confiance? Pacte ?

En mettant résumant son idée et celle du son grand général, on pouvait facilement constater que certaines similitudes apparaissaient. Mais Ayrwen, ne voulait pas se lancer trop vite. Elle désira attendre d’autre personnes, susceptibles de lui donner plus amples informations, une autre vision des choses, ou encore un appui sur sa théorie ou sur celle du seigneur Seifer.

Habitué Nombre de messages : 256 Participation RP : 0 Inscription : 11/04/2008

Stabulacum entra et voyant la pitoyable assemblée émit ce que l'on peut appeler un son.

Hein ?

Puis il quitta la pièce n'ayant rien compris.

Ayrwen couru derrière le seigneur.
En effet, même si ce seigneur venait de montrer sa faible intelligence, elle en avait besoins pour faire avancer son ' enquête'. Elle l'interpella donc avec un grand respect et un petit sourire:

Seigneur,
excusez moi de vous courir après, mais j'aurais besoins de votre analyse en ce qui concerne mon ' enquête '. En effet, vous avez pu constater qu’ une grande majorité si pas la plus part des seigneurs se mettent sous protection du doux ou redescendent au plus vite si ceux-ci dépassent un trop grand nombre d'erra de terre. Je pense que quelques amis à vous se trouvent dans ce cas. Et que vous l'aviez été également.
Pour ma part j’opterait pour une terrible maladie qui frapperait tout les seigneurs s'aventurant au de lâ des 50 000 erras de terre. Quand à mon générale, il pense que cette frayeur et ces actions sont dues à la domination pingouinne et que les pingouins font tellement peur, même à ceux qui sont dit ' fou' que les seigneurs se gèlent immédiatement.
S'il vous plait, dites moi donc ce que vous en pensez. J’aimerais avoir votre opinion la dessus afin d’avancer un maximum.

Errant sans but sur les plages désertiques de l'île, Don Juan Eternidad, le dénonciateur et chirurgien barbier amateur entra dans la salle après avoir vu sortir le seigneur Stabulacum de la Démence l'air perplexe. Curieux il s'approcha du tableau après avoir tenté de comprendre les mots élégamment dessinés au tableau. Grattant son crane de scientifique, les mots tournés dans sa tête à vitesse grand V, la présence de seifer le faisait sourire et l'empêcher de trop ce concentrer... Puis il prix une craie sous le tableau et écrivit au dessus des mêmes mots clés:

Syndrome de l'ombre.

Puis encore en dessous:

Le syndrome de l'ombre ou plus communément appelé syndrome de supériorité, elle touche en grande partie les "Grands" de notre monde qui se pavanent dans leurs royaumes immenses et sans grande animation, la moindre petite escarmouche pouvant se transformer en guerre. Ce n'est pas une tare en soit mais si on la laisse se développer elle peut atteindre le monde entier, loin de toute fourberie, elle cumuler dans les temps anciens chez une certaine confrérie. La destruction de toutes les personnes atteintes fut alors la seule solution tant le mal qui les rongeaient les avaient pourris.

Il existe des traitements à l'heure actuel, pour tous renseignements contacter la confrérie scientifique de chirurgien barbier d'Eternam.

Fier de lui, Don Juan Eternidad recula de quelques pas attendant de pouvoir palabrer avec les anxieux et les quelques personnes qui chercheront des explications sur cette curieuse maladie.

Dame Ayrwen qui était revenue dans la pièce regardant avec grande attention ce que ce nouveau seigneur venait d’écrire sur son beau tableau. Un fois qu’elle avait finit de lire elle ne pu s'empêcher d’éclater de rire.

Ha ha ha ha, Pfff hi hi hi hi.

Seigneur,
il y a bien trop d’incohérences dans vos propos. Tout d’abord vous dites que le syndrome de l’ombre est un syndrome de supériorité qui frappe tout les ‘grands’ seigneurs. Or nous constatons que le plus ‘grand’ seigneur d’après vos critères se trouvent être le seigneur Seifer générale des forces pingouinnes. Celui-ci va très bien, ne souffre d’aucun complexe que du contraire, il se sent bien supérieur à la normale et pourtant il n’est nullement une ombre étant donné qu’on l'aperçoit très bien et qu’il porte le blason des Pingouins.

De plus, il semblerait que vous essayez de vous approprié des choses qui ne vous appartient pas, ou du moins de faire croire que ses maux sont du à une certaines confréries des ombres, et si je lis bien entre les lignes de votre définition, qui essayerai de renaître aujourd’hui? Sachez que de nouvelles informations me sont apparues aujourd’hui lorsque j’ai été lire certain registres pingouins. En effet, tout les seigneurs soufrant ‘ d’infériorité ‘ et donc qui sont vite redescendu ou alors mis sous protection du doux ont reçu une rafale d’attaques pingouinnes. Ce qui veux dire qu’on tend à se rattacher à la théorie du général Seifer.

Donc ma question est la suivante: Que faites vous ici, si ce n’est essayer d’entraver mon enquête? Ou de faire de la pub pour un confrérie dont le nom et les actions qu’elle revendique jusqu’à présent sont proche du néant?

Avec un léger sourire, et un aire provocatrice Ayrwen, lieutenante pingouinne alla se placer à la droite de son général.

Un sir entra dans la salle, son apparence étrange le faisait passer pour un fou. Mais qu'est ce que la folie ? Une absence de raisonnement ou de discernement ? Faudra à l'occasion se pencher sur la question mais pour l'heure la question d'un syndrome inconnue sévissait. Son devoir était d'y résoudre quoi que cela risquerait de passer pour des inepties aux yeux des autres. Pour l'occasion Erandil avait enfilé une blouse blanche pour faire un peu plus sérieux mais visiblement sa le rendait moins crédible. Il s'approcha du tableau pour y effacer ce qui pour lui était un ramassis de prétention et d'explication farfelue et enfantin.

Bonjour, voilà ma théorie à ce sujet. Si l'on considère que le problème vient de Seifer on pourrait prétendre que le problème vient de son rythme de vie peut être l'hygiène qui fait fuir , se retourne et l'aperçoit . Bon trêve de plaisanterie si l'on considère la force de dissuasion de l'ennemie on arrive facilement à cette conclusion

Commence à dessiner un pingouin au tableau, on les prends tellement pour ce genre de bestiole qu'il faut bien mettre en avant le raisonnement des autres.

Alors le pingouin par son intelligence de l'art de taper avant de poser des questions ou de parlementer peux effectivement dégager une toxine dangereuse à tout ceux qui n'ont pas fréquenté de près les pingouins. L'origine de cette toxine peux effectivement être dégager par notre grand, merveilleux, généreux, extraordinaire, incroyable et prestigieux général. Si vous voyez pas de qui je parle, je parle évidemment de Seifer. Un autre sujet pourrait être ouvert sur lui à ce propos...

Sourit devant son raisonnement qui à ses yeux était le plus approprié mais pour les autres se serait celui d'un fou, mais qui mieux qu'un fou pouvait donner un avis impartiale sur un sujet de position ?

Aïe, piqué au vif de la bêtise humaine le seigneur Don Juan Eternidad du se rendre compte par lui même de l'étrange personnage qui lui parlait... Elle arrivait à voir entre les lignes des lignes, des choses que lui même en écrivant n'avait aucunement intention de mentionner... Mais comment faisait-elle un tel tour de passe passe? Il lui fallait en avoir le cœur nette, ainsi il s'approcha d'elle et quand il fut à distance acceptable et correcte, il examina tel un scientifique la créature qui lui parlait...

Gente dame, le syndrome que je vous est décris et celui qui frappe les pingouins, non les déments et il se trouve que c'est le même syndrome ou d'une similitude étrange que celui dont souffrait la confrérie des ombres... En parlant de ces derniers je ne fais aucune hypothèse sur un certain retour je n'en vois ni l'utilité ni la crédibilité... Je ne faisait qu'évoquer le mal qui les rongeait et dont j'ai pris le loisir de dénommait le syndrome de supériorité par le mot qui me semblait le plus approprié. Vous n'avez absolument donc rien compris à mes écris.

Sachez demoiselle que je n'essaie en rien d'entraver votre enquête j'essaie d'y apporter quelques éléments indispensables à la compréhension de la chose par d'autres seigneurs que ce de votre entourage. Voyez comment le seigneur Stabulacum fut perplexe suite à vos déclarations et moi même avoue me sentir troublez mais sans doute est-ce parce que vous êtes du sexe opposé au mien, bref arrêtons là les inepties et parlons sans ambages. Les déments ont je pense compris votre message et vous répondrons sous peut mais je maintiens quand à moi que les symptômes apparus sur les différents sujets ne sont nullement due à vos qualités d'éffroie ou un sentiment d'infériorité... En tout cas en ce qui concerne la démence, bien heureux celui qui peut rendre un Fou peureux, et quand bien même il y arriverait il déchanterait par la suite... En effet, le dément n'a nullement peur de perdre son royaume entier (sauf deux ou trois cas isolé) j'en conclu donc que le mal qui les rongent est différent de celui que vous énoncer et c'est pour cela que j'ai osez une nouvelle théorie... Que vous n'acceptez pas mais qui me parrait tellement plus sensé que vos élucubrations désastreuses...

Perplexe quand à la véracité de ses propres propos, le seigneur scientifique voulait en savoir plus sur ce qui permettait à dame Ayrwen d'élaborer de si étranges théories sur sa guilde de coeur...

Après avoir écouté, et décortiqué tout les dires du seigneur qui se présentait à elle, Dame Ayrwen décida de se rapprocher de lui et de lui expliquer son point de vue.

Seigneur,
Pourquoi n'avez vous pas pris la parole plus-tôt pour nous expliquer votre point de vue. En effet, suite à vos écrits, il ne fait aucun doute que je les ai compris de travers. C’est pour ça, que votre explication de vive voix me semble plus appropriée et plus claire. Maintenant, grâce à vous j’ai enfin compris ce dont vous vouliez parler. Et je m’excuse si je suis partie dans d’autres directions, mais pour ma part votre première intervention était tout, sauf claire. Je dis bien: pour ma part!

Maintenant,laissez moi vous dire que j’ai compris vos dires.Et donc, que je peux m’avancer près de vous et vous dire que je suis d’accord sur certains points, mais pas sur d’autres.

Cela aurait été trop beau.

En effet, je rejoins votre idée quand à la supériorité des pingouins. Mais je ne pense pas que celle-ci soit la même qu’autrefois. Pour ma part elle est bien plus puissante et bien plus terrible que le syndrome de l’ombre qui fut jadis une menace.
Néanmoins, voir comment, dans le passé, les seigneurs sont arrivés à le combattre, permettra peut être à certains d’y prendre exemple et de faire de même avec cette ‘ supériorité pingouinne’.

Maintenant lorsque vous dites que les Démends ont compris le message et vont me répondre d’ici peut, je reste perplexe. En effet, suffit de voir la réaction du seigneur Stabulacum pour avoir des doutes concernant leur capacité de compréhension.
Deuxièmement, Je pense que vous pouriez être surpris lorsque vous dites qu’un fou n’a pas peur, et encore plus lorsque vous dites qu’un fou n’a pas peur de perdre son royaume. En effet, de tout les déments que je connais, je ne peux vraiment retirer que ces deux critères la. Ayrwen eut un léger sourire Et bien entendu leur fameux plouk ‘commando’.

Quant à mes capacités pour lire entre les lignes, sachez que s’était juste une hypothèse, certes tout à fait erronée. Car j’ai eu vent que cette confrérie de l’ombre, est entrain de renaître. En effet, celle-ci à fait à mon avis, une erreur lorsqu’elle pilla les greniers d’un certain pingouins. Et qui plus est, s’en ventait et narguait ce pingouin après. J’ai donc un peut trop rapidement fait un liens entre vous et cette événement qui apparu dans la matinée. Et j'espère que vous me le pardonnerez.

Pour en conclure, je pense que nous ne somme pas d’accord avec les aptitudes des déments, mais que restons d’accord quand à la similitude des symptômes entre le symptome de l’ombre et celui-ci qui sévit actuellement.

Etrange, les pingouins n'aurait donc aucune notion de l'histoire des temps anciens pour oser dire de telles choses? Devant un seigneur qui avait eu à affronter une quantité de guerre assez incroyable et des conflits sans fins, face à une confrérie toujours à la recherche de supériorité, de pouvoir et de sang.

Certes le monde à changer et les armées continentales peuvent désormais se lancées à l'assaut des armées insulaires et inversement... Mais bien fou est celui qui prétendrais pouvoir défaire la démence, les peureux que nous sommes et les lâches qui s'abritent en notre sein sont parmi les meilleurs du monde et chaque mouvement de troupe, chaque agrandissement de terrain permet de mettre en marche le rouleau compresseur dément, celui qui une fois de plus s'imposera comme indispensable à la majorité des seigneurs et peut importe l'opinion que les autres en ont, nous savons ce que nous vallons et bientôt nous dominerons le monde.

Bref revenons à notre symptômes... Il va de soit qu'il n'est qu'au commencement des futurs ennuis que vous aurez. Vouloir briguer les places des anciens géants continentaux et bien présomptueux de la part d'une guilde aussi crainte fut-elle en ses terres insulaires. Quand à la confrérie des ombres si elle revient, il se peut que vous ne soyez plus qu'un objet sans intérêt au milieu d'un affrontement terrible pour la liberté de la folie et de la démence. Mais c'est bien connu, les déments sont des lâches et je n'ai strictement aucun intérêt à les défendre. Nous sommes détester de part le monde et jalousé de l'ancienneté de notre communauté. Prenez gare pingouins, peut de guildes peuvent se venter d'avoir survécu sans les faveurs de notre maître Gunthar, dieu des tortionnaires et torturé lui même.

Pour ma part si vous pouvez passer en mon royaume de temps en temps je me ferais une joie de vous laisser détruire mes bâtiments, je ne contrôle pas mes troupes et c'est le cas pour beaucoup de déments. La folie se répercute sur les petites gens de nos royaumes qui déferle sur les royaumes environnant sans aucune raison. Imaginez donc une armée sans chef qui ne pense qu'a jouer à la balle sur les territoires adverses! Personne n'a jamais pu trouvé de parade suffisante.

Tout ça pour dire, prenez garde mes avertissements ne sont jamais vains...

El dénonciateur avait une nouvelle fois accomplis son travail même si personne dans l'ordre le lui avait demandé. Fier de lui il mit ses mains sur ses hanches et éclata d'un rire tonitruant avant de de se calmer laissant le loisir à quicquonque de s'exprimer.

Dame Ayrwen éclata à nouveau de rire. C'était déjà la deuxième fois que le seigneur arrivait à la faire rigoler, chose rare chez elle.

Seigneur,
Je pense que nous nous sommes mit d'accord sur cette "maladie" et que nous pouvons dès à présent en tirer les conclusions. Pour cela je vous remercie car sans votre intervention je n'aurais pu y arriver toute seule.

Mais ne nous égarons pas, ne prenez pas mes hypothèses pour des dires représentant les pingouins. Ce que je dit dans cette salle et mes analyses sur la maladie ne reflètes en mon sens, que mon point de vue. Certes, point de vue sûrement partagé par d'autre seigneurs, mais je ne représente nullement les pingouins à moi seul. Seul Neydrinella notre diplomate à ce pouvoir.

Quand à votre dernière intervention, elle n'est pour moi qu'un ramassis de sottises, dites par un fou. Vous ne contrôlez pas votre armée, mais contrôlez-vous vos paroles?

Nous ne nous ventons pas. Je ne constate que ce que je vois!
Puis ne sous-estimé pas la force pingouinne. Vous dites que nous ne somme rien comparez à vous et aux ombres, pour le moment, je ne vois que la domination pingouinne et des ombres ou des fous qui se cachent.

Mais, le plus important à été réalisé dont notamment grâce à votre intervention, très logique de la part d’un démend. Je pense maintenant avoir compris la maladie. Je vais donc laisser la salle ouverte au cas ou celle-ci muterait mais pour ma part, je ne vois plus l'intérêt de m'y attarder.

Elle salua son générale ainsi que tout les seigneurs présents, et parti précipitamment.

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Stabulacum entra et murmura

Enfin la gueuze sentant la frite se tait. Quel bonheur.

Sur ce il fit un extraordinaire section demi-tour et s'en alla.

Ayant suivi de loin les débats, Scientist se permit d'intervenir pour donner son opinion. Il se tourna vers Dame Ayrwen et lui sourit.

Belle dame, vous avez vanté la supériorité des Pingouins et je vous en rends grâce. Cette supériorité existe de fait à l'heure où nous nous entretenons et pour notre plus grand bonheur. Mais ne nous en gargarisons pas trop et sachons raison garder. Oui nous avons atteint le premier de nos objectifs, oui nous dominons l'Émeraude et freinons les montées continentales ... mais saurons-nous durer ? Il faut rester modeste en toute occasion et se prémunir d'un retournement de situation. La méfiance doit être de mise, ne relâchons pas notre étreinte et notre vigilance car l'adversaire s'organise et il est valeureux. Méfiez-vous de la fourberie de ces déments qui ne sont pas si fous qu'il n'y paraît, ne faites pas l'erreur de les sous-estimer, ils n'espèrent que ça ! Pour les avoir affronté à maintes reprises par le passé, je les tiens personnellement pour des adversaires redoutables. Leur fourberie n'a d'égal que leur bravoure. Il faut savoir déchiffrer leur propos. Même s'ils paraissent parfois incohérents, on peut souvent arriver à déterminer une partie de leurs intentions.

Pivotant vers Don Juan.

Seigneur dément, votre tâche ne sera pas facile, mais je suis certain que c'est pour cela qu'elle vous sied. Je ne vous ferai pas l'affront d'une attitude hautaine car ce serait imbécile de ma part. Je vous respecte et si dans l'euphorie du moment, quelques-uns de mes Pingouins se méprennent à votre sujet, sachez que je ne ferai pas cette erreur. Vous nous avez mis en garde, j'en prends bonne note, mais peut-être de votre côté, le jugement que vous nous portez n'est pas tout à fait exact. Après tout tant mieux, car la plus grosse erreur que vous pourriez commettre serait de ne pas nous craindre.

Abasourdis de la bravoure de ces pingouins le Don se demandait réellement qu'est ce qui leur permettaient de penser une seule seconde qu'ils sont l'attraction du moment... Dame Ayrwen avait tourné le dos à la conversation et Scientist faisait preuve de courtoisie à présent. Le monde était devenu si étrange en si peut de temps? Les insulaires ne prônant à leur tour que la grandeur d'une armée?

Je me vois contraint de répondre à la dame Ayrwen même si elle me fait l'affront de ne point m'écouter déclamer à mon tour des adieux déchirants avant de me séparer de ses charmes...Et bien je parlerais dans le vide tel le fou que je suis.

Dame Ayrwen je n'ai jamais sous estimé personne et c'est bien là un défaut que je me dois de rectifier, en effet en prenant à leur juste valeur des ennemis, ils se sentent en confiance et ne donnent pas tous ce qu'ils ont sur le champs de batailles. Et voyez le résultats, complexe de supériorité, maladie incurable, destruction un jour ou l'autre. Mais les insulaires se chargeront sans conteste de votre cas sans que la démence n'est besoin d'accélérer la destruction telle qu'il est dit dans son code. Je vous prierez donc de bien vouloir accepter mes hommages les plus sincères pour le splendide phrasé dont vous avez fait preuve en ce triste lieu.

Faisant suite à une courbette digne du plus effroyable lèche-c*l des terres oubliées, le seigneur d'Eternam se retourna vers Scientist et penchant la tête pour tenter d'analyser ce seigneur un peut trop sensé à son gout il prit la parole d'une voie suave et amusé.

Je vous remercie de l'attention que vous semblez porter à ma personne et m'incline volontiers devant tant de cran. As-t-on déjà vu un être sensé parler d'égal à égal à un fou? Je pense quand à moi vous estimez à votre juste valeur et que si la perte de quelques bâtisses en royaumes déments vous permet d'espérer arriver à notre niveau, c'est sans compter sur la démence qui ronge jusqu'à la moelle le plus sain de nos sujets si sujets il y a. Mais je vous prierez de ne point m'appelez seigneur Monsieur, ce titre ne me sied point, en effet sous mes ordres les armées ce débinent et préfèrent attaquer leurs alliés plutôt que leurs ennemis. Ce serait m'insultez que de m'élever au rang de seigneur avec une si pathétique gestion de royaume. Enfin sachez que mes paroles décousues n'ont de but que de comprendre cette fascination qu'exerce sur l'ordre pingouin le contrôle des hautes terres! Je n'y vois qu'un intérêt de domination inefficace n'étant pas en plein cœur des affrontements qui pourrait secouer vos armées et vos royaumes... Il se trouve que certains déments, dans leur soif de compréhension du monde qui les entoure (oui le dément à soif de connaissance), cherche par l'éxperience à comprendre ce qui fascine tant de seigneur en hautes terres. Si vous ou l'un de vos généraux arrivez à me l'expliquer je pourrais soumettre une nouvelle théorie à mon ordre qui embélira son orgueil et sa conaissance une fois de plus.

L'air assoiffé, les yeux brillants tel un enfant en besoin de savoir, Don Juan Eternidad s'apprêtait à boire les sages paroles de ce chef froids et glaciales des pingouins dont il ne connaissait que le nom.

Invité

C'est à l'auditoire que je m'adresse plus qu'à une personne en particulier.

Quoi de plus logique que d'entendre un pingouin s'enorgueillir de l'envol de l'un des leurs ?

Plus qu'une réelle invitation à une compréhension plus profonde des lois fondamentales qui régissent notre monde, l'on a entrepris là de nous entrainer dans une valse qui se danse seul. Il n'existe pas de problèmes si à une question donnée l'on prédispose les réponses. La chose Ayrwen ne cherchait donc pas des explications mais uniquement la manière la plus intelligente d'exposer ses propres conclusions - de manière implicite ou pas, très peu m'importe...

L'abondance de forme n'a jamais masqué le manque de fond. Aucune chance de nous y tromper : elle n'avait rien et à tourné désespérément autour.

Nous nous moquons des honneurs qui nous sont rendus comme des insultes qui nous sont faites. Conspuez-nous ! Aimez-nous ! Nous ne nous en formaliserons pas. Sommes-nous des lâches dont le coeur se noie dans un océan de peur ? Oui comme non, qu'elle que soit la réponse nous ne ferons que brasser un peu plus de vent. Seule une vérité subsiste. Ce que les Pingouins tiennent pour acquis, nous sommes potentiellement en mesure de le remettre en cause. Relativiser les notions de force et de faiblesse, c'est se rendre compte du fait que tant que nous en resterons là, il n'existera pas de réciproque...

Don Juan, puisque c'est simplement ainsi que vous souhaitez qu'on vous appelle, n'est-il pas normal pour un Pingouin de distiller des paroles glaciales ? Plus sérieusement, vous me demandez quelle fascination nous pousse vers les hautes terres. D'abord vous remarquerez que nous ne sommes pas les seuls, mais il est vrai que ce n'est pas une réponse. Je crois que malheureusement ce monde est ainsi fait et que c'est dans la nature de la plupart des créatures de vouloir dominer et posséder toujours plus jusqu'à .... jusqu'à finalement tout laisser. A titre strictement personnel, sachez que je me suis affranchi de ce "besoin", que j'ai atteint la sérénité et me réalise autrement. Ceci est le fruit de l'âge et de l'expérience. Hélas ceux-ci arrivant rarement avant l'heure, il m'amuse de voir mes jeunes protégés se démener pour atteindre les sommets. Je les guide du mieux que je peux, sachant toutefois que la "vérité" est ailleurs. Mais ils l'apprendront plus tard, en temps voulu.

Kalizar, vous m'avez sans doute mal compris, je ne tiens rien pour acquis, je connais la fragilité de l'édifice et j'œuvre quotidiennement à sa consolidation. Ni je ne vous aime, ni je ne vous hais. Je ne vous prends pas non plus pour des lâches, pas plus que pour des modèles de courage. Vous "êtes" tout simplement, je vous prends en compte , comme je prends en compte tout l'environnement. Disons sans aucun aspect péjoratif, que vous faites partie du paysage ... et c'est déjà beaucoup.

Je vous salue messieurs.

Seifer, qui écoutait tout ce qui se disait sans en louper une miette, décida de prendre la parole de manière à expliquer son point de vue sur différents sujets.

Sachez, mesdames et messieurs, que nous n'avons rien acquis, et que sur les terres oubliées de ce monde, rien ne peux être considéré comme acquis. Nous constatons simplement que ce qui faisait notre force jadis face aux insulaires, fait également notre force, sans conteste, contre les continentaux. Je dis pas que nuls ne pourra venir me prendre mes biens et voler mes terres, mais simplement que faces à toutes les circonstances, nous sauront rebondir et revenir encore plus fort. Et si les déments sont également comme vous les décrivez, alors sachez que la guerre que nous engageront sera sans fins possibles. Deux forces égales se basant sur des principes plus ou moins proche de l'autre ne pourra que donner un combat interminable.

Sachez tout de même que ma position me gêne plus qu'elle me plaît, l'expérience que j'ai me permet de dire que cette place, aussi confortable soit-elle pour le moment, n'est qu'un siège éjectable, d'où la chute sera presque fatale.

Mais pour le moment, cette place me permet d'acquérir, à moi, comme à la guilde que je représente, une certaine notoriété face à certaines personnes. Bien qu'elle me créait également quelques ennemis, ce qui équilibre la balance.

Toutefois je serai ravi de voir quelqu'un d'autre occuper cette place pendant autant de temps, voir plus que moi, pour souffler un peu et m'occuper un peu plus de quelques petits détails qui me gêne.

Sur ces quelques mots, Seifer décida de rentrer à Galbadia, la nuit approchait et la garde devait être montée de plus belle[i]

» la maladie d'éolia...et la solution