Aguératon - Les Royaumes Oubliés
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 Histoire des prisonniers d'Oktarr [La première attaque]

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Hwesta
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MessageSujet: Histoire des prisonniers d'Oktarr [La première attaque]   Histoire des prisonniers d'Oktarr [La première attaque] Icon_minitimeLun 1 Déc - 5:53

Plusieurs hommes s'étaient enfuient de la Prison d'Oktarr, près d'une vingtaine, une longue marche les attendait... Déjà l'ambiance devenait insupportable, on pouvait entendre des lamentations...quelques-uns songeaient à retourner et ainsi se faire fouetter comme des chiens. Tant dit que d'autre avaient désespérément faim...Mais un seul, un , continua sa route sans dire un mot.. Il portait une chemise rouge comme le sang, de grandes bottes brunes et des pantalons usés par l'âge. Son regard était inexplicable, comment dire, sérieux et sombre. Nul ne pouvaient le regarder droit dans les yeux.
Les criminels savaient seulement qu'il était emprisonné depuis pas mal d'années. C'est à ce moment qu'un prisonniers lui barra la route..


-Haiiii toi! Tu n'as pas dit un mot depuis que nous nous sommes évadés, pourtant c'est grâce à toi que nous sommes là maintenant, libre comme un pigeon.. Parle nous un peu bon sang!

L'homme embêter lui dit..

-Je suis Hwesta, Hwesta Til'illan

- Bon j'dois te parler...Nous sommes perdues! Il faut nous aider, tu es la personne la plus compétente ici, enfin je crois. Le froid va nous glacer et la nourriture va manquer. D'ici quelques jours, personne sera en vie.

Écoute moi! Vous êtes prêt à me suivre quel que soit les raisons.

Là où nous sommes rendues, j'crois que rien nous arrêteras

D'accord!

Il se retourna d'un coup sec, il ferma les yeux.. il semblait médité quelque seconde avant son discours. Il rouvrit ses yeux et prit une bonne respiration avant de commencer.

-Cessez de vous plaindre, la plupart de vous, vous êtes des voleurs, des tueurs et qu'est-ce que je vois. Des pleurnichards! Vous ne pensez pas tenir trois jours parce que vous allez manquer de nourriture. Écoutez-moi, j'ai entendu parler d'une ville non loin d'ici, Belle-lune pour être plus clair, alors si nous nous dépêchons nous pourrons arriver d'ici avant le petit déjeuner, Autrement dit.. demain matin. Cette ville se trouve dans le sud.Une fois rendus nous pillerons des ressources, comme de la nourriture, de l'or. Nous volerons aussi des armes, mais une fois rendu sur les lieux je vous en diras plus. Vous me suivez ?

Tous les prisonniers dirent désespérément oui sans opposition !

Ils traversèrent non pas loin de cent plaines, une soif de vengeance s'était installé dans le coeur des évadés, une vengeance envers le peuple. Après toutes ces années en encabané à s'être fait torturer comme des bêtes. Maintenant le peuple devait subir le même sort, mais Hwesta avait réservé un sort bien terrible de ce que peut imaginer les gens d'Aguératon.

Deux hommes s'évanouirent par le manque de sommeil, Hwesta pensa donc nécessaire de les tuer puisque personne ne pouvait les porter sur leur épaule car tous était mort de fatigue. On put voir des cailloux lancés sur les têtes des corps à présent sans vie.

Ils continuèrent leurs trajets... Bien que la majorité soit consternée, un léger vent d'espoir se fit sentir.. Un champ agricole se trouvait directement en face d'eux. De plus le soleil venait de se lever.. Ils avaient réussi.. La ville était tout près. C'est à ce moment que Hwesta ajouta quelques mots...


-Il faut entrer le plus discrètement possible, je sais que c'est difficile parce que ça fait deux jours que nous n'avons rien mangé et pas dormi. Mais il le faut, pour notre survi! À présent je veux que tout le monde me suit!

Une fois traversée la plaine, ils virent la ville de Belle-lune. Ils se faufilèrent discrètement dans l'entrée.. Hwesta et Grohomir (un homme qu'il avait appris à connaître pendant l'aventure) prirent les armes qui se trouvaient sur deux soldats dormant et ensuite ils les tuèrent... À peine vingt minutes plus tard, les prisonniers d'Oktarr avaient déjà volés des vivres, plusieurs bouteilles de vins de qualités et quelques pièces d'argent et s'étaient armés. Ils se dirigèrent ensuite dans les écuries où ils prirent des chevaux.

Tous les prisonniers partirent à cheval vers les montagnes.
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Storba
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Storba


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MessageSujet: Re: Histoire des prisonniers d'Oktarr [La première attaque]   Histoire des prisonniers d'Oktarr [La première attaque] Icon_minitimeJeu 18 Déc - 1:20

Storba aperçut Hwesta et ces hommes, ils pillaient des ressources, volaient des chevaux et s'enfuient vers la montagne. Après un moment de réflexion, il se rappela où il avait vu Hwesta, dans la prison d'Oktarr, il décida donc de les suivre en espérant de les rattrapé. Il se disait qu'un homme seul était plus rapide qu'un groupe, il n'avait pas tort, il finit par les rattraper et se présenta.

-Je suis Storba un ancien prisonnier d'Oktarr. Avant que vous ne disiez quelque chose voici mon histoire.

Alors que je n'étais qu'un enfant, du haut de mes huit ans je vis de ma cachette mes parent mourir devant mes yeux! Une fois que les assassins de mes parents furent partis, je décida de partir a mon tour, je pris le katana de mon père, bien trop grand pour moi et je me promis de retrouver ces assassins car tant qu'ils ne sauront pas mort de mes mains et de ma lame je ne pourrais jamais oublier leurs visages!

Après un mois environs d'errance, je me fis attaqué par des voleurs, je sortis mon katana de son fourreau, me mis en position de garde, surpris de voir un enfant réagir de la sorte, ils sortirent leurs épées et m'attaquèrent! Je pris mon courage à deux mains et je repoussas assaut après assaut! Mais de nul part surgis un homme tenant fermement un katana, il régla le compte des voleurs aussi vite que le vent! Puis il se tourna vers moi et me dis qu'il était étonné de voir un enfant aussi jeune manipuler le katana de la sorte! Je lui répondis que que mon père avait commencé à m'apprendre les position de garde et une ou deux techniques pour repousser des assauts. Il me dis de rentrer chez moi et je lui répondis que je n'avais pas de chez moi. Surpris il me demanda ou étaient mes parents, dans son regard je sentis que je pouvais lui faire confiance, je lui expliquas tout! Il me proposa donc de devenir mon maître.

Pendant de nombreuses années je parcourus le monde a la recherche des tueurs de mes parents, tout en apprenant diverses techniques de mon maître. Je tuais les personnes se trouvant devant mon chemin. Puis soudain lors de l'un de mes entraînement, deux hommes nous avait attaqués, je les avais tout de suite reconnus et je leurs avait demandé de se souvenir lorsque six ans au par avant ils avaient tué mes parent. Ils mon tout de suite dis qu'ils se souvenaient très bien et qu'ils auraient dus aussi me tuer à l'époque mais qu'ils ne m'avaient pas trouvé! Avec colère, je leurs déclaras qu'il était le moment de venger ces parents et je me lanças plein de rage pour les tuer! Ils se défendent l'un après l'autre mais mon apprentissage du combat et des méthodes pour tuer me permis de les tuer plus rapidement que je n'aurai pu l'imaginer!

Il était tant pour moi de voler de mes propres ailes. Lors de mon dernier enseignement, la fureur m'envahis, je trancha la tête de mon maître et partis pour défier à mort les plus grands Seigneurs. Après un ans passé à faire coulé le sang de toutes les façons possibles et inimaginables, je me fis attrapé par la garde et mis en prison pour tous les meurtres mais étant mineur à l'époque, j'ai été libéré au bout de deux ans, c'était pendant ces deux que je j'avais vu pour la première fois Hwesta, voilà maintenant deux ans que je suis sorti de prison et j'erre de royaumes en royaumes.

Et me voici devant vous tous aujourd'hui prêt à vous apporter mon aide. Vous savez tout sur moi et mon passé. A vous de me dire si vous acceptez mon aide...


Storba leva les yeux au ciel et attendis une réponse...
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Elhandil
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Elhandil


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MessageSujet: Re: Histoire des prisonniers d'Oktarr [La première attaque]   Histoire des prisonniers d'Oktarr [La première attaque] Icon_minitimeJeu 18 Déc - 18:17

Des rumeurs, des bruits couraient que la prison d’Oktarr avait laissé évadés des prisonniers, et que deux morts étaient à déplorés à Belle-lune. On n’écoutait pas les rumeurs mais elles étaient telles que le Général de la Garde, Sir Griffon convoqua Elhandil au poste de garde dès le levée du soleil. Après qu’on lui ais remis une bague frappée d’une émeraude en forme de « G », Elhandil partit avec une troupe composé d’une dizaine d’hommes.

Ils arrivèrent en vue de la Prison d’Oktarr quand le soleil était à son zénith. Elle ressemblait à un repère d’aigle. A ce moment, une troupe de soldats surgirent devant eux l’arme au poing. Les hommes d’Elhandil se mirent en formation pour le protéger mais Elhandil cria :

- Stop ! Nous sommes des Gardes de la Capitale, arrêtez-vous !

Elhandil leva sa main et les rayons du soleil se reflétèrent sur la bague. La troupe de soldats adverse s’arrêta et tous baissèrent leurs armes. Un homme s’avança, il semblait être leur chef.

-Je me nomme Kazir Grohann, capitaine des soldats de la Prison d’Oktarr.

Il semblait attendre que ce nom impressiona les Gardes, il n’en fut rien.

-Je me nomme Elhandil, seigneur d’Asternel, Garde d’Alérandir Daâh, et envoyé de Sir Griffon, le Général de la Garde. Nous avons été envoyés, mes hommes et moi, pour enquêtez sur l’évasion des prisonniers.

Le capitaine s’inclina autant qu’il le put sur son cheval, puis se retourna et cria à ses compagnons de venir escorter les Gardes.
Lorsque nous arrivèrent à l’entrée d’Oktarr, deux soldats leur barrèrent le passage.
Sur un ordre craché de Kazir, ils abaissèrent leurs armes et les laissèrent passés.
Lorsque Elhandil rentra dans la prison, il fut étonner : c’était une immense cour, où des tours avaient été construite et où plusieurs herses étaient placés pour évité la fuite de prisonniers.
On amena les Gardes devant le Directeur de la Prison.
Elhandil lui expliqua la raison de sa venue puis lui montra la bague. Le Directeur lui apprit que seulement une vingtaine de prisonniers s’étaient échappées, l’un d’eux, Hwesta, était très dangereux. Seulement une vingtaine ? C’était tous de dangereux criminels et il osait dire seulement ? Si Elhandil n’était pas en mission, il expliquerait sa façon de penser à cet homme insouciant.


-Bien, je vous demande l’autorisation d’enquêter dans la Prison pour découvrir comment les prisonniers se sont échappés.

-Et bien, je ne crois pas que…

-Vous ne croyez pas quoi ? La voix d’Elhandil devint glaciale.

-Non rien, vous avez mon autorisation…

-C’est mieux,Elhandil se tourna vers ses hommes, Vous avez entendus ? Trouvez moi comment ces criminels ce sont évadés. Maintenant !

Ses hommes partirent à toute vitesse, en attendant, Elhandil partit de son coté sur le chemin de ronde.

-Comment diable ont-ils pus faire pour s’évader ? C’est inimaginable...

Comme pour le contredire, un de ses hommes arriva puis lui dit :

-Chef ! Nous avons trouvez un passage !

-Bien, conduis-moi là-bas puis va rassembler tout le monde !

Ils partirent donc en direction du coin le plus éloigné de l’entrée, dans une cellule ombragée.
En dessous de la paillasse il y avait de la terre fraiche.
« Un trou dans le sol ? Pathétique... »On inspecta toute les cellules vides et on y trouva le même indice.
Ils s’étaient donc évadés par un tunnel, mais celui-ci devait être immense.
Il rejoignit ses hommes puis leur dit :


-Les prisonniers se sont échappés par un tunnel, nous ne pouvons l’empruntez. Nous partons vers Belle-lune !

Ses hommes claquèrent le talon puis partirent à leurs chevaux. Elhandil salua Kazir puis lui dit :

-Surveillez mieux vos prisonniers, une telle faute est inacceptable !

Kazir se renfrogna, puis Elhandil et ses gardes partirent. La nuit arrivait à grand pas. Le Seigneur donna l’ordre de dressez le camp dans une plaine puis il forma des tours de gardes en duo. Après un repas frugal, il partit se couché.
« La nuit porte conseil »La nuit se passa sans encombre, Elhandil fut réveillé par un des ses hommes au levée du jour.

-Rangez-moi cela, nous n’avons pas de temps à perdre !

Il aida ses hommes à ranger le camp puis ils partirent de nouveau à cheval.
Ils chevauchèrent jusqu’au milieu de l’après-midi lorsqu’ils virent enfin se dresser la ville de Belle-lune.
Ils arrivèrent à temps, les portes allaient se refermés. Elhandil interpella un veilleur :


-Toi, là ! Amènes nous, moi et mes hommes, jusqu’au chef de cette ville !

Le veilleur se mit presque au garde à vous tant le ton de la voix du Garde était rude et froide.
Ils les menèrent jusqu’à une demeure situé au centre de la ville.
Il toqua timidement à la porte puis un domestique paru :


-Qu’est-ce savez à ct’ heure là ?

-Je suis un Garde d’Alérandir Daâh et je veux voir ton maitre pour une affaire de la plus grande importance.

-Jm’en vais le chercher sur ce, monseigneur !

Deux minutes plus tard un homme avec un embonpoint précoce arriva et les firent entrés.
Il leur souhaita la bienvenue puis Elhandil dit à ses hommes d’allez se reposez, il resta donc seul avec le maire de cette ville. Il leur apprit que la porte était fermée tous les soirs depuis la mort des deux hommes.
« Justement, en parlant de ces hommes »

-Monsieur, je demande la permission de voir les corps des deux malheureux défunts.

Il lâcha dans un soupir à peine dissimulé :

-Permission accordée, suivez-moi donc.

Il mena donc Elhandil en-dehors de sa demeure, il le mena dans une vieille bâtisse.
Il lui montra les formes couvertes d’un linceul blanc.


-Voila, nous nous doutions que vous voudriez jetez un coup d’œil, nous les avons gardés ici en attendant.

-Parfait, veuillez me laisser seul, maintenant !

Le maire sortit puis Elhandil s’approcha d’un des corps, il souleva le linceul puis examina le corps du malheureux défunt. Une mort indolore, puisqu’il a été tué dans son sommeil. L’autre était identiquement blessé, la gorge tranchée.
« Il faut maintenant trouver des témoins »
Il alla retrouver ses hommes et leur expliqua le topo. La mission était dorénavant de faire des recherches pour trouver un témoin pour enfin pouvoir arrêter ces bandits.
Elhandil leur dit de partir se couchez, la journée du lendemain serait rude.
Il alla donc dans le lit qui lui était réservé et réfléchi à la situation. Le sommeil le trouva enfin.
Lorsqu’il se reveilla, ses hommes étaient déjà tous partis. Il sortit à son tour, puis alla dans la ville pour trouver ne serait-ce qu’un seul temoin !
Ses hommes ainsi que lui-même revinrent sans rien d’autres qu’une fatigue.
Plusieurs jours passèrent ainsi. Un matin, alors qu’Elhandil marchait près de l’endroit où furent attaqué les soldats, il trouva une peluche par terre ; un nounours marron mouillé au niveau de la tête. Son propriétaire allait certainement venir le récupérer, et avec un peu de chance, il avait vu quelque chose. Personne ne vint durant les heures suivantes... Alors qu’Elhandil s’apprêtait à partir, un enfant d’une dizaine d’années apparu soudainement. Il semblait chercher quelque chose, Elhandil s’avança et lui montra le nounours.



-C’est cela que tu cherche ? dit-il d’une voix chaleureuse.

Le gamin répondit par un hochement de tête. Il vint près du Garde et tendit sa main. Elhandil lui donna le nounours et lui dit :

-Tu l’as retrouvé ton doudou, tu es content ? Tu veux bien m’aider ?

Le gamin le regarda longtemps puis lui répondit doucement :

-Oui je veux bien t’aider, tu es un gentil monsieur, pas comme les autres qui ont laissé mon papa par terre après avoir joué avec lui…

-Tu veux bien m’expliquer ce qui c’est passé ?

-Je veux bien mais tu me protège, hein ?

-Bien sûr, je te le promets. Suis-moi jusqu’à ma maison, d’accord ?

-Ma maman ne veut pas que je vienne chez des inconnus, elle dit qu’on peut me vouloir du mal !

Elhandil plia les genoux pour se mettre à sa taille, puis il lui montra sa bague.

-Tu vois, ça ? C’est la bague des Gardes, tu peux avoir confiance tu sais…

-D’accord, je vais avec toi !

Elhandil prit le garçon dans ses bras puis l’emmena à la demeure du maire. Il le donna à une servante qui le lava et lui donna à manger. Puis le garçon, tout propre, arriva devant lui. Elhandil lui demanda de s’assoir. Un secrétaire était à coté, près à noté.

-Écoute-moi bien, d’accord ? Tu va me dire ce que tu as vu avec tout les détails et après, je te ramène chez ta maman.

Hochement de tête, puis le gamin commença à parler :


-Mon papa était parti avec un de ses copains pour regarder dehors, à la porte. Il avait oublié son manger, donc maman m’a dit de lui amener. Mon papa et son copain dormaient mais quand je suis arrivé avec mon nounours, j’ai entendu du bruit ! Je me suis caché et j’ai vu deux hommes, il y en avait un avec des habits rouge et les deux étaient très maigres.
Il disait ça je crois :
« Grohomir, voilà ce qu’il nous faut, des armes !
-Tu es sûr Hwastata ?
-Oui, sûr et certain ! »
Après ils ont attrapés les armes de mon papa et de son copain, et ils les ont tués !!!!!!!

L’enfant commença à pleurer. Elhandil le prit dans ses bras puis lui dit :

-Ne t’inquiète pas, on va punir ceux qui ont fait du mal à ton père. Mais il faut me dire si tu as bien entendu les noms Grohomir et Hwastata ?

-Oui… Mais l’autre nom ce n’était pas Hwastata, c’était Hwe…Hwesta !

-Parfait ! Je vais dire à un de mes hommes de te ramener chez toi d’accord ?

Le garçon hocha à nouveau la tête. Un des gardes partit avec le garçon, il avait pour mission de le ramener et de rester avec lui pour le protéger, puis Elhandil regarda le secrétaire. Tout avait été écrit, Elhandil demanda un double puis écrivit une lettre à son Général :

Citation :
Seigneur Griffon,
Nous avons découverts comment Hwesta et sa suite se sont échappés de la prison : ils avaient construit un tunnel... Cela a du durer longtemps pour le construire mais dorénavant, il est bouché. De plus, nous avons un temoin, je vous envoie la déclaration faite avec un secrétaire, le témoin étant un enfant du peuple.
Je tiens à vous signalez aussi le comportement insouciant du Directeur de la Prison.
J’attends vos nouvelles directives,
Cordialement,
Sir Elhandil, Garde d’Alérandir Daâh.

Il cacheta l’enveloppe avec la bague puis plaça la déclaration du témoin avec la lettre et enfin la donna à un de ses hommes puis lui dit :

-Tu pars maintenant pour le Poste de Garde, et tu protège cette lettre au prix de ta vie !
Prend un de tes compagnons avec toi !
Maintenant !


Il ne restait plus qu’a attendre la réponse de Sir Griffon…
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Elhandil
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Elhandil


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MessageSujet: Re: Histoire des prisonniers d'Oktarr [La première attaque]   Histoire des prisonniers d'Oktarr [La première attaque] Icon_minitimeSam 20 Déc - 13:11

Elhandil repoussa une lame qui filait vers sa poitrine, il fit une parade puis désarma son adversaire. Un autre s'avança et s'élança vers le Sir. Jaillissement d'étincelles. Les lames se percutaient avec violence, l'adversaire fit une feinte et dirigea son arme vers la gorge d'Elhandil, celui-ci vit qu'il ne pouvait la contrer, il se décala d'un cran. La lame siffla à coté de lui, puis il donna un coup du plat de l'épée sur l'arme de son "ennemi". L'épée retentit lorsqu'elle toucha le sol. A ce moment, les messagers tant attendus arrivèrent... Elhandil fit un signe aux soldats avec qui il s'entrainait pour leur signifier qu'ils avaient le droit à une pause.

- Seigneur, voilà la réponse de Sir Griffon !

- Bien, vous pouvez disposer.

Le garde lui donna puis Elhandil ouvrit la lettre et la lut :

Citation :
Elhandil, beau travail. Il faut que tu mènes l'enfant au poste de garde, préviens ses parents qu'il risque de rester quelques temps à la capitale, rentre avec lui tu t'occuperas de lui pendant son séjour à Alérandir. Pour le moment je n'ai pas d'autre mission pour toi, j'ai envoyé quelqu'un espionner les évadés d'Oktarr.
Griffon

« Parfait » Elhandil alla se doucher puis se changer, enfin, il réunit ses hommes.

- Stephen et toi Manthan, allez cherchez l'enfant et votre collègue. Notre général nous demande !

Les deux hommes désignés partirent sur le champ. Elhandil prépara leur départ avec l'aide de ses hommes. Enfin, ses hommes revenaient... Mais au lieu de quatre personnes, il y en avait cinq ! Avant qu'Elhandil puisse parler, la cinquième, qui était une femme, dit d'une voix où tremblait la colère:

- Ecoutez-moi bien ! Votre grade ne vous autorise en rien à me prendre mon fils, je n'ai plus que lui ! Vous ne partirez pas avec Ismaël...

- Madame, sachez que votre fils est entre les mains des Gardiens d'Aguératon ! Il ne craint rien et puis, il est un témoin essentiel dans l'emprisonnement du meurtrier de votre mari !! Ce même homme a été emprisonné dans la Prison d'Oktarr ! Il nous faut un témoin pour l’empêcher de nuire à jamais ! S’il vous plaît, nous avons besoin de votre fils…

- Soit ! Mais sachez que si un malheur arrivait à mon fils, j’irais demander des comptes au Doux en personne !!

- J’en suis conscient... Maintenant, si vous pouviez vous en allez, cela me permettrait de préparer votre fils au voyage auquel il va participer…

- Je ne crois pas, je viens avec vous !

« Aïe ! » Elhandil n’avait pas prévu cela, son Chef ne serait pas content… mais il n’avait plus le temps de discuter, on l’avait mandé sur le champ. Il fit un signe de tête acquisiteur envers la femme, puis se retourna sans cérémonie vers Ismaël.

- Tu as entendu ce qu’il fallait entendre, tu dois venir avec moi et ta mère à la Capitale, pour témoigner... Tu es prêt ?

- Oui, mais t’oublie pas que tu dois me protéger hein ?

Pour toute réponse Elhandil fit un sourire. Il le prit avec lui pour aller le préparer. Ses gardes s’occuperaient de sa mère.
Le lendemain, après que tout soit prêt, Elhandil remercia officiellement le maire de la ville pour son accueil, et lui donna des recommandations pour la protection de Belle-lune.
Après quoi, il fit signe à ses hommes de prendre formation autour de lui, d’Ismaël et de sa mère.


- En avant, nous devons être au poste demain au levée du soleil. Vous protégerez cet enfant au pris de votre vie !

La troupe se mit en marche. Elle passa une journée sans encombre, la lune commençait à apparaître. Elhandil arrêta la marche et dit à ses hommes de monter le camp. Enfin vint le repas. La mère d’Ismaël était la… ses hommes étaient présents, sauf ceux en tour de garde, mais le petit n’était pas là !
« Mince, où est-il ? » Elhandil interrompu la discussion, et ordonna à ses hommes de ratisser le secteur. La mère devrait rester là pour attendre l’enfant.
Elhandil partit dans la direction nord, vers la lune. Il chercha pendant une bonne heure, enfin il trouva l’enfant. Il était assis sur une pierre er regardait la lune. Il la dévorait des yeux.
Elhandil prit la parole d’une voix où l’agacement se disputait à la colère.


- Ismaël ! Que fais-tu ici ? Ne devrais-tu pas être avec ta mère ? Descend de là et vient, nous sommes, tu es attendu par le Général Griffon !

Ismaël le regardait d’un air absent, puis daigna à descendre. Malheureusement, à ce moment, une branche claqua, puis un rugissement retentit. Un ours, un énorme ours se dirigeait vers l’enfant et avait l’air de vouloir en faire son repas. Elhandil dégaina son épée et courait vers un Ismaël terrifié. Il dévia les griffes de l‘ours puis trancha une patte. Hurlement de douleur, cri de colère. L’ours pivota pour tuer l’homme qui osait le blesser, mais celui-ci ne lui laissa le temps de rien faire : un sifflement d’épée, puis une tête vola.
Elhandil rengaina son épée et prit Ismaël dans ses bras. Il le ramena au camp tout en le réconfortant. Enfin il le rendit à sa mère qui le coucha. Il entendit un
« Merci ! » chuchotés, puis se dirigea vers ses hommes qui étaient tous revenus. Il en envia deux de nouveau pour les tours de garde puis alla se coucher. Il se réveilla deux heures avant le levée du jour…

Il reveilla à son tour tout le monde et sonna le départ.
Ils arrivèrent dans Alérandir Daâh alors que le soleil montrait ses timides rayons dorés.
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