La confrerie arrive à Agueraton

La Capitaine Malenie faisait son tour dans la Capitale, quand elle entendit des rumeurs qui circulaient sur un meutre dans une taverne. Elle se dirigea avec une dizaine d'hommes vers celle- ci. Elle entra eet vit d'abord le parchemin affiché. Elle le déchira et le mit dans sa poche, puis elle vit un tête sur le comptoir. Elle s'approcha et en conclut qu'il était mort.

"Vous trois, allez voir dehors, et ramener tous les témoins que vous trouverez. Toi, va me trouver le gérant de cet établissement. Une personne cherche l'identité de la personne.
Autrement vous autres. Cherchez des indices. Et aller interroger cet aveugle."

Ils se mirent tous au travail.

"Capitaine, venez voir on a trouvé quelques choses"

Malenie se dirigea vers le garde qui lui tendait un parchemin. Elle le lut vite fait.

"Allez questionner sur cette confrérie ! Il faut que j'en sache le plus possible"

Etait- ce la même personne qui commandait tous les meurtres qui s'étaient passé dans la Capitale ? Où était ce différent, cette fois- ci ? Et qu'est ce que c'était, cette Confrérie des Ombres ?

Malenie écouta le tavernier quand elle fut interrompu par une autre personne. Elle le regarda puis lui dit :

"Je ne crois pas que vous faites parti des gardes, alors je vous prierais de partir. Autrement, vous viendrez avec moi au poste de Garde."

Elle ne supportait pas qu'on intervienne comme cela. Puis elle reporta son attention vers le tavernier : " Vous avez une piste ? Et laquelle, s'il vous plait ?"

Elle le regardait sans émotion sur le visage.

Un garde entra dans la taverne, il était seul. Les autres attendaient à l'extérieur, aucune fuite n'était possible, la taverne était entourée de gardes. Il resta sur le palier de la porte et regarda le plouk.

"Personne ne sort! Hey le plouk, je fais pas cette connerie! Nous ne sommes pas la pour te causer du tors, nous voulons t'aider."

Le garde fixait le plouk avec des yeux visant à le rassurer.

"Peux-tu nous rappeler l'énigme s'il te plait plouk?"

Un bruit se fit entendre dehors, des personnes s'agitaient, elles voulaient entrer.

La capitaine Aelis, accompagnée de quelques gardes, décida finalement de renter dans la taverne intriguée par tant d'activité à l'intérieur. Sur le seuil de la porte elle vit une dame voulant sortir et lui dit d’un ton calme mais imposant à la fois.

"Tant que cette histoire de meurtre n’est intégralement réglée je vous prierais de bien resté dans l’enceinte du bâtiment. Les gardes à l’extérieur ne vous laisseront pas sortir tant qu’ils n’auront pas reçu d’ordre de ma part." Tout le monde peut se révéler suspect pour ce crime. Veuillez m’en excuser. »

La capitaine entra finalement dans la taverne et entrevit sa supérieure et se dirigea vers elle d'un pas assuré tout en surveillant des yeux les autres personnes présentes. Malenie lui chuchota quelques mots, auxquels elle répondit par un hochement de tête et Malenie partit.

Maintenant chef des opérations, Aelis regarda autour d’elle. Le plouk gisait au sol. La capitaine s’approcha de lui. Elle constata qu'il ne respirait plus.

" Quel gâchis !"

Calmement et pensive, elle fit le tour de la grande marre de sang qui envahissait le corps.
Elle avait été mise au courant de ce que le plouk avait dit avant de se donner la mort.

Elle soupçonnait déjà une organisation mais il était encore trop tôt pour l’accuser fermement. Il fallait encore trouver des preuves pour après la condamner. Elle se tourna vers le tavernier.


" Que savez vous du crime ?"

dit elle d'un ton assuré