[I-bis] Appel aux Seigneurs valeureux de l'Île (public)

Thorvald voulut absolument que son message parvienne à un maximum d'insulaires afin de mettre toutes les chances de son côté. Les messagers à cheval parcoururent donc l'Île de long en large.
Il espérait de tout coeur que de valeureux Seigneurs n'ayant pas encore perdu leur sens de l'honneur se feraient connaître rapidement.
L'Île pourrait en effet gagner son indépendance, mettre tous les belligérants hors d'état de nuire et organiser l'envoi de renforts vers le continent, et plus particulièrement la Capitale qui commençait à en avoir grandement besoin.

Le message fut donc assez rapidement placardé sur la totalité du territoire, les messagers regagnèrent Sacoridie, aucune perte ne fut à déplorer.

Citation :

Moi, Thorvald le bon, Souverain de Sacoridie, Royaume Viking sur l'Île de l'Emeraude, m'adresse à vous tous :

Dames, Seigneurs, Nobles, Gueux, Badauds, Artisans, Orcs, Nains, Elfes.

Je m'élève contre la rébellion qui fait rage et va plonger le continent dans un chaos dont le peuple Aguératonien ne peut que sortir vaincu et amoindri.

Je fais appel à votre sens de l'honneur ! Je vous demande de vous joindre à nous afin de soutenir la noble cause, la cause du Doux !

La Dame de la Rébellion a mis le feu au poudre ! La Dame de la Rébellion s'insurge contre le pouvoir en place !

Mais que vous a-t-elle promis ? Rien ! Du vent.
Quelles sont ses revendications ? Vous n'en avez certainement pas la moindre idée.

Majorité des rebelles se battent sans même en connaître la traitre raison.
Ne soyez pas cupides comme ces instigateurs, ces fauteurs de troubles qui ne peuvent que poursuivre de noirs desseins dont eux seuls seront bénéficiaires et vous serez tous les victimes consentantes !

Ils vous utilisent, ne vous laissez pas faire, relevez la tête et rejoignez nous !

Pour l'honneur du Doux, pour notre honneur !

Thorvald le bon,

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"Ensemble nous avancerons, ensemble nous vaincrons, ensemble nous bâtirons"

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/HRP Les alliés à la cause du Doux mais également des rebelles résidant sur l'Île peuvent se manifester HRP\

Une silhouette sombre s’avance sur la place, grande d’environ un mètre soixante-dix et entièrement vêtue d’une cape beige. On ne pouvait déterminer ni la race, ni l’age, ni le sexe de la silhouette. La seule chose que l’on voyer étais sa cape au grand capuchon lui cachant le visage, l’arc et le carquois passer en bandoulière, et la garde d’un fleuret orné de motifs arboricoles, mais le plus intéressant de cet étrange personnage n’étais pas le visible mais l’invisible. Car si l’on la voyer sans sa cape on découvrirai une jeune elfe a la longue chevelure rousse lui tombant jusqu’au genoux, vêtu d’une longue robe de couleur beige fendue jusqu’au milieu de la cuisse droite. Armer en plus de son arc et son fleuret d’une ceinture de dague de lancer et d’une paire de lames de coudes, arme dans le maniement de laquelle elle excellait. La partie droite du visage de l’elfe étais d’une grande beauté malheureusement la partie gauche de son visage et même de tout son corps portais les cicatrise du feu dans le quel elle étais tombais dans sa jeunesse. Plus fascinant encore que son apparence physique c’étais les yeux de l’elfe, qui suivant son humeur changer de couleur.
Passant de l’or lorsqu'elle était calme, au rouge dans sa fureur, au violet dans sa peine et au blanc dans la douleur.
(Elle n’a pas encore expérimenter les autres sentiment pour connaître la couleur de ses yeux a ce moment la)
Mais si vous pouvais voir ça c’est certainement la dernière chose que vous verrez avant qu’elle ne vous tue.
Un groupe de badaud étais en train de lire une affiche, la silhouette s’approcha et pu lire ce qui se trouver placarder au mur

« En voila un qui a du bon sens »dit un homme près d’elle

« Du bon sens tu appelle ça du bon sens de cautionner un tyran et bien pas moi la dame de la rébellion a raisons mieux vaux se battre pour un gouvernement plus juste. » la voix rauque de l’elfe correspondais plus a un homme qu’a une femme ce qui l’arranger bien car bon nombre sont les humais qui dénigre les femmes.
« Oui du bon sens le doux ne nous a jamais rien fait

-C’est ce qu’on lui reproche, répondit son voisin, il ne fait rien pour nous ni en bien ni en mal on pourrais mourir il s’en ficherais tout ce qui l’intéresse ce sont nos terre et les taxes »

Anigel s’éloigna de l’affiche tout doucement, la foule allais bientôt commencer a se battre et la rixe serais difficilement maîtrisable, elle sourie dans l’ombre de son capuchon : la révolution étais en marche !!