L'insurrection s'organise

[Hrp] Ce qui se passe dans ce RP ne peut pas être connu et utilisé dans d'autre RP, il ne concerne uniquement ceux qui se prononcent contre le Doux, si d'autres joueurs veulent participé contactez moi alors par mp.[/Hrp]

Cela faisait déjà une journée que Erandil avait lancé son ultimatum dans la capitale insulaire. Si tout se passait comme il le prévoyait, les gardes refuseront et se battront pour empêcher l'ascension au pouvoir des pingouins. Mais en faisant ça ils mourront pour une cause perdu au nom du Doux et de deux capitaines trop fière pour admettre leur défaite avant la bataille. Mais il réserve un sort différent à ces deux capitaines, ceux là connaitront les joies de la prison. Il fallait à présent réunir les révolutionnaires afin de parler de la stratégie. Une missive leur avait été envoyé afin de les rassemblés dans un lieu tenu secret par les espions du Doux. On ne sait jamais vraiment qui nous écoute et souvent les murs ont des oreilles. Prudence est mère de sureté.

Le lieu de rendez vous était dans une tente isolé dans une plaine. Plusieurs soldats patrouillaient dans les alentours avec pour ordre d'éliminer la moindre personne qui s'approcherait trop près du campement. A l'intérieur de la tente, on trouvait aucune décoration hormis une vieille table en bois. Déposée sur cette table, une carte de l'île dans ses moindres détails ainsi que les plans de la capitale insulaire. Il fallait prévoir un plan de bataille sans quoi, la victoire était compromise. L'objectif principale que visait Erandil était une prise rapide du lieu le plus important de l'île.

Il sortit rapidement de la tente afin de prendre un peu d'air frai, au loin on pouvait déjà apercevoir les premiers nuages de poussières qui s'élevaient au ciel. Les premiers pingouins arrivaient sans doute et si c'était un gêneur, paix à son âme... Un plan commençait déjà à germer dans l'esprit de Erandil mais il devra attendre les pingouins pour en parler. Après avoir profité quelques minutes de l'air frais, il retourna dans la tente et s'accouda sur la table en attendant les diverses arrivés. Un garde posté à l'extérieur aura pour rôle de s'assurer de l'identité de la personne. La réunion pouvait commencé.

Alors que les Pingouins ne voulaient entendre raison, Erandil organisa une réunion dans le plus grand secret afin de mener à bien une stratégie visant à défendre leur cailloux. En tant que Général des Pingouin Seifer avait bien évidement connaissance du lieu de déroulement de cette dernière.

Alors que la nuit se fait noir, Seifer pu enfin apercevoir la lueur des torches qui éclairait la pièce de la réunion. Seifer était venu seul, il s'agissait tout de même des ses amis qui étaient là, nul besoins de venir en force. Un garde se tenait devant la porte. Lorsqu'il vu le Général Pingouin arrivé il s'écarta sur le coté pour le laisser entrer. Mais quelle fut pas sa stupéfaction lorsqu'il vit sur son épaule, non pas le blason des Pingouins mais celui de la garde d'Alérandir Daäh. Mais il était trop tard, Seifer était déjà rentré.

Une fois à l'intérieur personne n'était encore présent, et Seifer tenait à être le premier, après Erandil bien évidement !

La porte claqua, et Erandil se tourna. Il se trouvait désormais face à moi. Mon visage laisser apparaître un sentiment de désarroi.

Erandil ! dis-je d'une voix grave.

Contre toute attente je viens d'être recruté à la garde d'Alérandir Daäh.

La Stupeur envahit l'interlocuteur de Seifer.

Je sais à quoi tu peux penser, mais je te rassure, nul garde n'est au courant du lieu ou se tient ta réunion, et j'ai veillé personnellement à ce que personne me suive. Saches tout de même que je dois désormais protéger les inetrêt du Doux, et veiller à ce que la paix règne sur les plaines d'Aguératon.

Pendant longtemps les Pingouins ont été laissés pour comptes sur leur cailloux. Nous nous sommes vu méprisés de la population, et de ses régents. Et voilà qu'aujourd'hui la deuxième personne la plus gradé des Pingouins peut avoir le mérite de prétendre à une place au sein de la Garde.

Il est temps pour moi de donner la vraie image que son les Pingouins. Non pas celle qu'ils ont acquis pendant toutes ces années. Cette image de tyrans, sans scrupules, qui ne pensent qu'a eux ! Tout cela doit changer, nous devons montrer aux gens que nous voulons le bien de l'île, de ses habitants, et pour une fois cela ne peut passer par la guerre. C'est pourquoi je te demanderai de partir. De bien vouloir annuler la réunion. Il faut qu'avant le levé du jour tu sois parti d'ici, ou je reviendrai avec la garde te mettre aux arrêts.

Je suis désolé mon ami ... mais tu dois t'exécuter !

Erandil regarda Seifer avec une expression de tristesse sur son visage. Son général le trahissait en quelque sorte mais il agissait de cette manière car on le forçait, du moins c'est ce que Erandil préférait pensé. Le garde à l'extérieur savait ce que Erandil allait faire, il fit signe à plusieurs soldats qui patrouillaient dans les parages de se diriger près du lieu de la réunion. Ils entourèrent à présent l'endroit et n'attendaient que une sorte d'ordre de la part de leur chef afin d'intervenir. Erandil fixait son général droit dans les yeux, il ne prenait pas le chose si mal que ça mais le fait qu'il soit devenu garde faisait qu'un moment où un autre il serait obligé de prendre les armes contre un pingouin et personne de cette guilde souhaiterais un tel événement.

Non mon général ce n'est pas à vous de vous excusez...

Erandil soupira et sans prévenir il dégaina son épée et la plaça au niveau de la gorge de Seifer. Les soldats à l'extérieur pénétrèrent à l'intérieur et imitèrent le geste de leur chef en plaçant leur épée près de la gorge de Seifer qui ne pouvait plus rien faire.

Désolé mon général, mais nous sommes si prêt du but. Rien ni personne ne m'empêchera à finaliser mon plan. Vous êtes à présent en état d'arrestation. Bien sûr je ne vous ferais pas subir la torture ou autre commodité dans le genre... Non, un bateau partira dès ce soir et vous avertirez la garde du continent de ce qui se passe ici car tel est votre rôle à présent non ? Je comprends votre geste mais ce n'est pas pour autant que je l'approuve. Qu'on lui passe les fers !

Les gardes s'exécutèrent et firent en sorte que le général pingouin ne pouvait plus rien faire. Erandil savait que ce geste pouvait passé pour de la haute trahison au sein de l'ordre pingouin mais il était prêt à subir le châtiment.

Je regrette d'agir de la sorte mais je suis bien trop impliqué dans cette histoire pour tout faire échouer. Soldat, escortez le au port et embarquez le direction le continent. Vous l'amènerez jusqu'à la capitale et vous reviendrez aussitôt ici.

Les soldats approuvèrent les ordres de leurs chefs en exécutant le salut militaire de Valiro. Erandil prit un bout de parchemin et une plume qui trainait sur la table il y inscrivit les mots suivant :

Cher Général de la garde ou intendant,

Cette missive porté par votre nouveau garde, anciennement mon prisonnier sur mon bon vouloir vous annonce que l'île n'appartiendra surement plus pour longtemps au Doux. Sachez que même si Seifer est mon général, j'ai refusé son ordre de stoppé cette insurrection. Rien ni personne ne pourra me faire renoncer à mes projets.

Cordialement Erandil.

Il glissa le parchemin dans une des poches de Seifer. Il regarda une dernière fois son visage, une certaine tristesse se lisait dans les yeux de Erandil. Il n'aimait pas ce qu'il faisait mais il le devait.

Soldat, rompez ! Amenez notre prisonnier à bon port !

La réunion pouvait à présent continué même si personne d'autre n'était encore arrivé.

Ah ah !

Laquatus arriva sur les lieux de la réunion entourés de deux zombies qui peinaient à marcher droit. Le reste de ses troupes campait plus loin et bizarrement, tous ne paraissaient pas être morts-vivants, et ils étaient étrangement nombreux. La nuit noire donnait des teintes sombres à cette ténébreuse arrivée. Le mort-vivant exhibait exagérément ses canines en formant un large sourire, qu'il offrit à son général, pour peu qu'il le considérait encore ainsi.

Mon cher général, en vous dégradant au rôle de garde, vous avez fait un premier pas vers la mort. Mieux que quiconque, vous devriez connaître nos lois, nos principes et... nos sanctions.

Ses canines brillaient étrangement sous les lueurs lunaires.

Les traîtres meurent. Vous avez trahi la cause des insulaires, trahi la cause des Pingouins. Et vous vous êtes trahi vous-même.

Il afficha un air moqueur à Seifer.

Je pense qu'on pourrait même se permettre de vous pendre deux fois, mon général... Mais vous allez vivre, pour que la rébellion fasse l'écho qu'elle mérite ! Pour que la liberté franchisse les frontières insulaires, et que le continent se dise : nous l'avons rêvé mais eux sont entrain de le faire.
Mais ne vous faites pas de soucis, vous paierez ce crime bientôt.

Il s'écarta du chemin de Seifer, fit une courbette et indiqua la direction.

Allez-y ! Allez répandre votre nouvelle au sein du Continent. Allez lèchez les bottes de votre nouveau patron !

Ah ah ah !

Puis il se tourna vers Erandil sans dire un mot, il paraissait très joyeux malgré les circonstances. La vue du général malmené l'avait mis dans un état de grâce, vraisemblablement. Il entra dans la tente, se pencha sur la carte dessina quelques ronds et flèches en vue de l'arrivée des autres et d'une futur discussion stratégiques. Il déposa une bouteille de "Debout les Morts" sur la table, la déboucha et s'en servit un verre. L'odeur fortement éthanolée se propagea dans la tente, accompagnée d'une légère odeur de cadavre.

Nous voila enfin compagnon

Kouriam arriva avec sont bras, ils étaient tout les deux en armure et leurs meilleurs armes dans leurs bourreaux. Ils étaient prêt à entré dans la tente.

Surveillant de la tante: Excusé moi, qui été vous ?

Je suis le seigneur Kouriam , nouveau venu des terres perdues, j’ai longuement parlé avec Erandil. Regardé votre liste, je suis invité par votre chef.

Le surveillant regarda ca liste. Sans un mot le soldat se recula et laissa place à Kouriam et sont ami.

Je suis venu avec toi cher compagnon car je te fais confiance. Ne me déçois pas.

Kouriam entra dans la tante et dé pausa une grand feuille de papier avec plusieurs inscription et des dessins montrant tout le territoire Est.

Voila ma stratégie pour défendre le coté Est de l’île, je vous en fait part pour que vous puissiez voir se que mes troupes sont capable de faire. Je vous ai apporté avec moi, mon général de mes armés, c’est un grand stratège et si vous le voulez bien il saura peut-être utile lors des combats.

Alors que la réunion devait faire salle comble, Seifer se retrouvait là, sur cette embarcation de misère, accompagné de soldats alcooliques. Seifer n'avait pas peur de grand chose, mais à voir l'état pitoyable des membres d'équipages il ne savait si il allait réellement arriver sur le continent, enfin du moins en vie, de préférence.

Finalement, sans trop de mal, l'équipe qui retenait Seifer le débarqua à terre, et lui enleva les fers. Le plus surprenant fut le salut militaire, avec tout le respect qui va avec, que les soldats de Valiro firent à Seifer. Étrange tout de même ...

L'heure n'était pas à la réflexion, mais à l'action, le récent garde prit le chemin du poste de la garde, afin de prévenir son Général des agissements des Pingouins. Mais comment Odrouk pourrait-il bien croire que Seifer est perdu le contrôle de sa guilde ... même Seifer lui même ne le croyait pas.

Ayrwen ne put s'empècher d'arriver en retard, apprennant sur le tas la désition de son générale, celle-ci fut fortement décue mais avait décidé de ne faire aucuns commentaires à ce sujet pour rester focaliser sur les objectifs primordiaux à atteindre.

En rentrant dans le petit lieu qui fesait office de répère elle s'excusa d'entré.

Excusez-moi mes compagnons, je n'ai aucunes excuses pour mon retard si ce n'est se bougre d'incapable à l'entrée qui m'a demandé mon idententé. Je lui est tranché la goerge...Après tout il avait qu' à savoir mon nom...

Laissant échaper un petit rire satanique, ayrwen se plaça sur le coté prète pour recevoir de nouvelles informations.

L'homme qui arriva derrière, le fit à cheval...
Un cheval noir, harnaché au minimum.
L'homme en lui même portait une armure légère noire, un casque peint en noir, qui lui laissait le visage à découvert... Mais ce visage était recouvert d'un morion de cuir noir, ne présentant pas de traits précis, il ne faisait que cacher ceux de l'être.
Du reste, il n'était vêtu que de noir, et de cuir ou de métal.
Il ne portait, de plus, pas de blason ni de couleurs.
Il était là en anonyme.
Pour entrer, il présenta une missive, qui lui avait été remise, et envoyée par l'organisateur de la réunion.
Suite à quoi les soldats le laissèrent passer.
Il ne portait pas vraiment d'armes, juste une dague, au côté droit, une autre sur la cuisse gauche.
En entrant dans la tente, il ne se découvrit pas plus, gardant jusqu'au morion de cuir.

"Messieurs... Madame..."

Il s'inclina avec déférence.
Puis il chercha du regard Erandil.
Une fois qu'il l'eut vu, il le regarda un instant, l'air intrigué, puis s'adressa à lui.

"Messire Erandil.
Mon seigneur vous avait contacté il y a peu pour joindre vos forces.
Il s'excuse de ne pouvoir venir en personne, occupé de ses affaires, mais me délègue auprès de vous."

Il mit genoux en terre, et inclina le chef, attendant un mot d'approbation pour se relever, et poursuivre..

.
.

Un nuage vertdatre semblait rester immobile au dessu
de la tente ou c'était déjà réunie plusieurs personnes . De se nuage se dégage comme l'oeil d'un cyclone qui scrute avec attention le moindre mouvement . C'est grasse à cette fenêtre sur se monde qu'un être millénaire observait d'un aire désinvolte se qui se passait en bas .

Ces dans une pièce sans limite que Cyclamen étendu dans un trône respirait sans bruit le silence ;
La lassitude l'avais amener à s'intéresser à se monde , et part hasard à cette endroit précis
ou l'attente de quelque chose semblait proche .
Sans le moindre battement de cils ,Cyclamen louvoyait à travers le miroir sans que personne ne puisse la voire .

C'est bon vous pouvez vous relevez...

Dit il en s'adressant à l'intermédiaire qu'un des seigneurs avaient envoyés. Après l'arrestation de Seifer, Laquatus fit son entrée. Apparemment cette arrestation l'amusait, étrange comme réaction pensa-t-il. Enfin bon, Seifer le nouveau garde était écarté loin de l'île, à cette heure il devait sans doute être arrivé sur le continent afin de raconter tout ce qui se passe ici et aura surement indiqué le lieu de réunion des insurgés. Mais cela n'aura que peu d'importance car à l'heure où les continentaux se bougeront le derrière, l'île sera déjà libérée du Doux. Il regarda rapidement la salle, Laquatus avait prit place autour de la table avec une bouteille à l'odeur plus ou moins étrange. Ayrwen venait d'arrivée, Kouriam était arrivée peu de temps avant et le dernier était l'intermédiaire. Erandil décida de prendre enfin la parole.

Bon maintenant que nous sommes au complet, nous pouvons commencé cette réunion.

Il invita tout les seigneurs à s'approcher de la table, ce qu'ils firent bien entendus. Il prit plusieurs objets sur la table, chacun représentait un des seigneurs présents et son armée.

Venons en directement au fait, le but de la réunion n'est pas de faire de longues et belles phrases. Mais parlons à présent stratégie. Ayrwen, on va devoir s'attendre à ce que ces abrutis du continent réagissent tôt ou tard, même si ce sera plutôt tard... Donc vous et votre armée prendrez positions au Nord, vous ferez le nécessaire afin de rendre difficile n'importe quel débarquement ennemis, hésite pas à piéger la plage si possible. Kouriam vous vous occuperez de l'Est, même consigne que précédemment, vous empêcherez tout débarquement. Vous l'intermédiaire, le Sud même enjeux empêchez tout renfort. Et enfin Laquatus, vous prendrez l'Ouest. Quand à moi j'ai gagné l'opinion de la population dans la capitale insulaire, il est de mon devoir de la prendre d'assaut et de faire prisonnier la garde. Je prendrai une partie des hommes de Galbadia si on me le permet bien sur...

Le plan venait d'être annoncer, les personnes présentes regardaient la carte et devaient surement réfléchir à comment défendre leurs positions. Il reprit la parole brièvement.

Bon, si vous voyez le moindre renfort du continent, un lieu qui vous sera communiqué servira de quartier général et vous y enverrez un messager pour alerter leur arrivé. Nous devons changer car celui là est surement connu... Bon des questions ? Remarques ? Suggestions ? Autre plan peut être ?

Il regarda le visage de chacun un à un. Puis se souvint du problème épineux de la garde.

Au fait, quand vous apercevez un garde, neutraliser le de la manière qu'il convient.

Cette ordre voulait tout dire et rien dire à la fois. Les pingouins comprendront que derrière cela se cache un "tuez les jusqu'au dernier" mais pour les deux autres, l'enfermement sera aussi bien en attente de l'exécution. Il attendait à présent une quelconque intervention. Erandil sentait une présence étrange roder dans les parages mais ne savait pas trop quoi

"Messire"

"L'intermédiaire" s'était relevé, sur sa demande, et le regardait, la tête sur le côté...
Sans son morion, on aurait pu lui voir une vague moue de mépris, tandis qu'il avait dors et déjà, pour sa part, jugé l'homme qui menait l'insurection.
Un grand seigneur... avec ce que ça impliquait, de qualités, et surtout de défauts.
Oh, non que lui même en soit dépourvus, de défauts.
Mais il suivait les ordres.

"Nous désirons lutter pour votre cause.
Malheureusement..
Nous ne disposons que d'une petite centaine d'hommes, et bien qu'ils soient des vétérans chevronnés..."

Il fit une pause, secoua négligeament la tête, en se frottant le menton...

"J'ai peur que nous ne puissions pas tenir un pan entier de côte..."

Avec quelques centaines d'hommes?
Même les plus fourbes stratagèmes échoueraient, si une armée complète débarquait par là bas.
Oh ils pourraient ralentir l'ennemi.
Mais pas réellement longtemps.
Par contre, il aurait été intéressant de voir si l'équipe pouvait, à défault se charger de l'élimination des officiers ennemis.
Mais il y avait un autre souci.

"La moitié de ces hommes se trouvent dans la capitale de l'île.
Organiser une évacuation aussi massive, sans perturber quiconque... ne sera pas chose aisée.
Mais ils pourraient aider à la prise de la ville.
Après tout, nous ne sommes pas dévoilés."

C'était une proposition, il en ferait ce qu'il voudrait.
Mais il était hors de question de quitter maintenant la ville.
Ils avaient leurs intérêts à préserver, sur place.
Et l'échiquier n'était pas encore en place.
Quelques pions encore à bouger, par ci par là.

"Au fait, vous pouvez m'appeler Soizïc..."

C'était, évidemment, un test...

Comment avoir confiance en cet homme qui se tenait devant lui ? Erandil savait très bien que donné trop facilement la confiance à quelqu'un est souvent un acte désespéré qui mène indubitablement à l'échec. Soizïc comme il prétendait se nommer voulait conserver des intérêts, c'était évident car vouloir laisser qu'une poignée d'homme est insuffisant pour une attaque. Mais rien ne prouve qu'il n'était pas de bonne foi. Il faudra se méfier de lui à l'avenir. Il prit la parole, un autre plan germant dans son esprit. Mais il préféra commencé par Soizïc.

Et bien, vos hommes à l'intérieur de la ville ne nous serviront à rien. Pensez vous que nous avons déjà pas placé plusieurs de nos hommes à l'intérieur ? Si vous ne pouvez pas défendre un pan de côte, vous la surveillerez. Je mettrais quelques uns de mes hommes à votre disposition. Ils vous obéiront jusqu'à une certaine limite. Mais soyez sûr d'une chose, ils se sacrifieront pour vous... En attendant vos hommes auront qu'a sortir de la ville et devront vous rejoindre.

Erandil obligeait la personne devant lui à définitivement choisir son camp, de plus mettre des soldats de Valiro à ses cotés lui garantira qu'il ne fera rien allant à l'encontre de cette prise de pouvoir.

En y repensant bien, je crois que le plus intelligent à faire est de seulement mettre deux seigneurs sur les côtes. Des navires traversant la mer se verront de loin et nous auront le temps d'envoyer les renforts nécessaires. Donc cette tâche sera pour vous Kouriam ainsi que vous Soizïc. Bien sur Ayrwen et Laquatus, vous enverrez quelques uns de vos hommes et officiers surveillés les côtes. En cas de renfort, vous alerterez le quartier général que nous bâtirons en incendiant un des moyens d'alerte que je me sers dans mon royaume. Pour les autres, nous prendrons d'assaut la capitale. Je ne pense pas que la garde sera seul... Puis les pingouins apparaitront comme les sauveurs d'une population.

Il se tût réfléchissant rapidement aux nombres d'homme qu'il mettrait en place. La guerre contre les démons avait affaiblis le royaume et les hommes qui avait combattus devaient se reposer. Néanmoins il avait prévu la suite, il mobiliserait huit mille hommes, cette fois mage, machine de guerre et unité aérienne s'en iront au combat.

En attendant vous autres, veillez m'indiquer sur un morceau de parchemin combien d'homme vous pensez mobilisé. Si je prend cette précaution c'est pour être sur que nous ne sommes pas écouté par de mauvaises oreilles... Bon, à présent je tiens à obtenir votre avis sur le plan et nous pourrons conclure sur cette réunion et passé au stade suivant qui n'est autre que la délivrance de ces terres.

Il attendait une réaction ou une approbation. La guerre approchait de plus en plus et seul les gardes s'étaient manifesté contre la liberté insulaire. Ces derniers croient encore au Doux, que c'est touchant mais cela ne leur apportera rien de bien...

Kouriam et sont ami avait entendu le discourt de Erandil. Le deux homme se chuchotais quelque mots. Kouriam se leva d’un air sur et parla clairement.

Je suis d’accord pour votre plan, mais je suis dans l’obligation de refuse votre offre d’aide. Je ne compte dans mon armé que les gens de mon peuple et mes amis les plus cher. Je confierais ma vie à chacun d’entre eux. Je pourrais assumé mon coté de l’île. Que dieu m’en sois témoin.

Kouriam retourna près de sont ami puis attendu une réponce.

Soizïc avait hoché la tête...
Evidemment, qu'il s'en doutait.
Les indépendantistes n'étaient pas stupides, sinon, on ne lui aurait pas demandé de les contacter.
Mais il ne pouvait dire mot sur ce qui se tramait, de son propre côté.
Toutefois, son interlocuteur n'était pas réaliste...

"Quitter la ville?
Comme vous voudrez... Quand elle sera entre nos mains.
Avant, point de possibilité.
Ce serait prendre le risque de se dévoiler."

Une troupe de cinquante hommes, qui quittent une ville en état de guerre, précipitemment, juste avant le siège... Alors que les paysans venaient se réfugier à l'intérieur, ou avaient quitté la région depuis longtemps.
Ce n'était que le moyen de se faire prendre, et après... La mort, ou pire, la capture... et ce qui s'ensuit, la question.
Il y avait deux possibilités.
Pas une de plus, pas une de moins.

"Vous avez le choix.
Ou nos hommes se terreront dans les quartiers qu'ils occupent.
Ou ils peuvent se trouver sur les murs lors de l'assault.
Cinquante hommes, ça ne fait pas une victoire, mais ça fait moins de morts.
Pensez-y."

Sous entendu, nous pouvons aisément vous assurer de tenir une portion de mur, au moment de la bataille.
Ou presque.
Mais cela restait à lui de choisir, en connaissance de cause.
Pour le reste...
Pour le reste, la proposition lui convenait, il l'agréa...
Toutefois, le Vieux serait intéressé de savoir à l'avance sur quoi il pouvait compter.
Il pourrait ainsi penser stratégie rapidement...

"Sur combien de soldats pourrions nous compter?
Avec un millier, nous tiendrions la côte contre l'incursion de toute l'armée du Doux en personne..."

Il se permit un léger rire...
C'était délibérément exagéré, mais... on fait toujours mieux lorsqu'on est persuadé de le pouvoir, n'est-ce pas?
Et puis, il était par contre persuadé qu'un millier de soldats leur aurait permis de tenir contre une armée entière.
La position, le temps, la préparation, la motivation, le moral, même, des soldats, l'approvisionnement, compteraient pour eux...

Erandil poussa un soupir, il est clair qu'on lui cachait quelque chose. Cinquante hommes sont extrêmement facile à déplacés, il était à présent évident que Soizïc avait d'autre projet. S'il refusait dès le départ de les bougés c'est qu'il avait déjà reçut des ordres clairs et précis. Il faudra surement l'appréhender pour éviter tout ébruitement de la stratégie de l'insurrection. Seifer avait déjà été appréhender et maintenant ce serait au tour de Soizïc ? Il fallait le tester une dernière fois avant de prendre quelconque décision. Erandil se tourna vers lui le fixant droit dans les yeux. L'agacement pouvait se lire dans son regard.

Vous refusez de bouger une poignée d'homme au nombre de cinquante si je comprend bien... Je crois que nous allons tout les deux évités de perdre trop de temps. Allons droit au but et dîtes moi ce que vous attendez de nous. Ne nous prenez pas pour des idiots née de la dernière pluie. Il est clair que vous agissez soit pour vos intérêts soit pour nous trahir plus facilement. Maintenant répondez moi, mais sachez que je n'aurais aucune hésitation si je devait vous jeter au trou le temps que notre stratégie est aboutie à la libération.

Erandil détourna son regard pour se tourner vers Kouriam.

Très bien, de toute façon ce n'est que de la surveillance. C'est uniquement dans le cas où les renforts arriveraient que mes hommes vous rejoindront.

Il se tourna vers se deux confrères pingouins.

Et vous que pensez vous du plan ? Trop nous séparé nous mènerais droit à l'échec et cela est inconcevable. En arrêtant Seifer je suis devenus le chef de l'insurrection mais aussi celui qui prendra tout les chefs d'accusation si on me met la main dessus. Donc vous tous, vous n'aurez qu'a prétendre que je vous ais manipulés, cela vous évitera surement la peine de mort mais pas la prison

Il dit ces derniers moment avec un certain sourire sur les lèvres comme si cette situation l'amusait. Pour le moment tout se passait comme un jeu d'échec, Erandil avançait ces pions et bientôt il mettra en échec le doux sur l'île. Le continent n'était pas une préoccupation puis de toute façon ce n'est pas à des insulaires d'aller se révolter là bas. Il rapporta à nouveau son attention sur Soizïc.

J'attends toujours votre réponse et vous avez intérêt de me convaincre...

Doucement il déposa sa main sur la garde de son épée au cas où la réponse serait celle d'un traitre qu'il tenterait quelque chose d'idiot.

La Garde avait été mise au courant de cette réunion ainsi que de son emplacement. D'ailleurs, cette réunion se tirait en longueur .. Pourquoi ? Il y avait-il tant de Rebelles à l'intérieur ? Ca, la garde l'ignorait mais leur fallait-il le savoir pour vaincre quelques Iliens... Et leurs armées.

Une petite légion se tenait à distance, observant les entrées et sortit du bâtiment. Elle attendait patiemment la fin de cette concertation, sans intervenir, sage. Pourquoi ? Rien de bien important en soi. Juste pour arrêter un Homme, coupable d'assassinat dans un lieu public, la Taverne.

Cette Homme, c'est un Ilien et même mieux ! C'est un Rebelle. C'est toujours un Homme de moins qui se positionnera Contre le Doux et donc, la Garde. Le moment était venu pour l'arrêter et l'envoyer en Prison. La légion avait été avertis du caractère de la Personne, de son mode vestimentaire et de ses caractéristiques physiques, plutôt peu commune. Un avantage pour la Garde qui n'attendait que la fin de la Réunion pour effectuer leur coup en douce.

A force d'écouter les autres sans rien dire, Laquatus venait de terminer son verre. Jugeant le moment opportun pour se manifester, il s'adressa à l'intermédiaire en secouant la tête.

Cinquante hommes pour surveiller toute une côte ? Nous ne sommes pas ici pour blaguer Soizïc.
Les troupes de Galbadia sont désormais à mes ordres, grâce à la trahison de Seifer. Ils garderont la côte Sud, le problème est donc réglé.

Les littoraux doivent être imperméables, aucun messager, aucun marchant ne doit pouvoir passer en cette époque de crise. Les deux gardes de l'île, seuls, ne nous résisteront pas longtemps donc en empêchant tout renfort du continent de débarquer, nous nous offrons tout simplement la victoire.

Le brouillard et la météo tendancieuse nous aideront à repousser toute invasion. Nous connaissons mieux notre île que les continentaux, nous pourrons donc leur réserver des surprises et des pièges dont ils nous donneront des nouvelles. La nature elle-même nous aidera.

Il se leva rapidement.

Bon, il est temps d'agir, je vais m'occuper dès maintenant des côtes Ouest et Sud, tenez moi au courant via messager.

Il sortit de la tente d'un pas nonchalant. Une fois dehors, une impression étrange le força à se retourner. Il afficha un air méfiant en voyant un nuage verdâtre qui stagnait au-dessus de la tente. Laquatus avait toujours détesté la magie, il s'éloigna donc sans chercher à comprendre. Il rejoignit ses troupes qui campaient dans une vallée toute proche de la tente. Après la trahison de Seifer, il était désormais le plus haut personnage hiérarchique des Pingouins, en somme : le chef. Ses troupes, mêlées à celles de Seifer, formaient une bonne petite armée de plusieurs centaines de soldats.

Il balança ses ordres et les groupements de soldats commencèrent à bouger. Les morts-vivants de Tatalia partaient pour la côte Ouest, et les guerriers de Galbadia se dirigeaient vers le Sud.

Alors que Laquatus marchait au côté de ses vampires, goules et autres monstruosités en tous genres, il flaira quelque chose. S'il y bien un sens qui ne trompe pas les prédateurs, c'est bien le flair. Cette odeur n'était pas Pingouine, pas rebelle, même pas insulaire. Il en était certain : ça sentait la Garde à plein nez ! Comment la Garde avait-elle arriver aussi vite sur l'Île alors que l'insurrection n'avait pas encore commencé ? Il l'ignorait, mais il comptait bien éliminer la question.

Il prit avec lui une cinquantaine de vampires. La nuit noire les dissimulait facilement alors qu'eux n'étaient aveuglés que par les veines palpitantes de leur ennemi. Suivant l'odeur nauséabonde, Laquatus courait dans la nuit avec ses suceurs de sang. Ils se mouvaient sous les rayons lunaires, bavant à la perspective de leur futur déjeuner.
La Garde n'aurait jamais dû venir en territoire ennemi...

Ayrwen jubilait, son sang ne faisait que de bouillir de plus en plus. En effet, elle s’avait que les choses sérieuses étant sur le point de commencer, elle vit également quelques de ses compagnons entrain de se préparer. Cela lui mit directement l’eau à la bouche, et sans plus attendre elle décida d’aller quérir l’élite de ses guerriers afin de les mettre à disposition du seigneur Erandil, quand à la masse de ses guerrier réputé pour leur grand puissance, Ayrwen décida de les placer au nord.

Elle ne savait pas encore qu’elle quantité exactement elle allait utiliser, quelle stratagème elle allait utiliser pour contrer les invasions. Pour ce décider la dessus, elle devait se rendre sur le lieu dont elle avait la responsabilité pour enfin analyser qu’elle technique sera la plus adéquates pour le terrain.

Mes amis, je vais m’organiser sur le champ. Je posterai mes hommes au Nord comme prévus et vous pouvez compter sur moi pour ne laisser passer personne. Mais pour ce faire je dois me rendre au plus vite sur le lieu du futur combat afin d’y quérir un maximum d’information.

S’adressant ensuite au seigneur Erandil,

Mon amis, je te ferai parvenir l’élite de mes meilleurs hommes, je pense que tu en aura bien besoins, ils seront sous tes ordres et je suis sur que tu en fera bon usage.

Sur ce mes compagnons, que les meilleurs gagne et à bien vite j'espère.

Ayrwen quitta la petit tante plus motivée que jamais.

Décidément...
Têtu comme une mûle, celui là...
Il allait devoir piocher dans son sac à explications...

"Une bonne partie de ces hommes sont des repris de justice, des bandits, des brigands."

Ce qui était vrai, par ailleurs.
Presque n'importe qui pouvait demander à intégrer la troupe.
Néanmoins, peu étaient ceux qui restaient suffisament longtemps pour s'intégrer.
Quand la troupe recrutait à tour de bras.
En d'autres temps, il n'y avait simplement quasiment pas de demande.
Malgré tout, les repris de justice venaient toujours.
On leur offrait une chance de fuir leur ancienne vie, d'échapper à la justice.
Intéressant non?

"A sortir de la ville, ou ils risquent d'être mis aux arrêts, ou bien, il leur faudrait le temps, et les moyens, de préparer une sortie discrète."

Il leva les mains en l'air, pour signifier qu'il n'avait pas plus à dire sur ce sujet.
La réflexion de Laquatus l'avait fait tiquer, et même presque vexé...
Mais au final, il pouvait le comprendre, ils n'étaient pas connus.
Pas encore.
Et si ça se trouve, ils ne le seraient jamais à leur juste valeur, mais qu'importe.
Ils auraient pu le faire, ils ne le feraient pas.

"Puisque votre ami désire prendre notre place sur la côte, avez vous une autre mission pour nous?
Nous pouvons harceler l'ennemi, l'espionner, battre la campagne..
Choisissez..."

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............l'atmosphère étais lourde, déjà l'agitation régnais autour de cette réunion qui semblait s'éterniser. Que se passait-il donc, des désaccords un manque d'effectif ? Le plus simple étais d'aller voir ce qui se tramais à l'intérieur.

Irina avait entendu parler de cette insurrection, elle avait mis sur pied son armée d'elfs des nuages spécialiser dans les l'attaques aérienne de nuits dans le cas de renfort, et comme le temps c'était écoulé et que rien de concret ne s'était encore déroulé elle décida d'aller elle même constatée ou en étais les préparatifs. Elle s'avança vers le tente dans sa tenue de combat au complet ; soit : ses aiguilles qui était dissimuler dans sa coiffe, sa fiers épée d'un noir d'encre se tenais sur sa hanche, et sont armure aussi blanche que sont manteaux qui la recouvrait.

Lentement, sans la moindre agitation elle passa sous la tente, un froid momentané parcourue l'air ambiant, elle lue l'étonnement de certain dans leurs souffles. Elle les fixa tous de ses yeux noirs en ne bougent que sa tête de gauche à droite.

Sans un mot, et toujours avec le pas lent et assurer elle se joint au autres seigneurs autour de la table, sans les quitter des yeux.

Sachant que le sir Seifer, son fiancer avait été renvoyé sur le continent pour des raisons politiques, on se demandait ce qu'elle pouvait bien faire ici. Elle ne prie à aucun instant la parole et se contentait d'écouter.

Deux pingouins étaient déjà sortis de la tente. Laquatus s'occupait des côtes de l'Ouest et du Sud. Ayrwen décida de prendre le Nord et Kouriam l'Est. A présent que toute les armées seraient bientôt stationnés sur les côtes insulaires, il sera impossible pour de simple renfort de gagner les terres insulaires. Plus d'échange, plus de mouvement de troupe, plus de messager, plus rien au sujet de l'île ne quittera ces terres sans avoir d'autorisation spécial. Erandil savait que la liberté s'approchait de plus en plus. Il avait regardé ses confrères pingouins sortirent puis il se tourna vers Soizic.

Maintenant que le problème des côtes est réglé, vous m'accompagnerez sur le champ de bataille. Bien sûr il faudra organiser l'extraction de vos soldats de la ville. Quand nous nous approcherons de cette dernière, ils pourront sortir à tout moment. Même si je ne suis pas très convaincu de l'efficacité d'une poignée d'homme sur le terrain... Enfin vous en savez trop sur ce que nous faisons, si je vous jetais en prison je prendrais aucun risque, mais si vous combattez avec mon armée, vous ne pourriez rien faire à part tuez l'ennemi. Si vous participez avec nous vous aurez tant à gagner donc ne vous avisez pas de me trahir, vous perdriez tellement... Soyez-sur d'une chose, la gloire nous attend.

Il dit ces dernières paroles en affichant un large sourire. Erandil croyait en la cause qu'il défendait à savoir la liberté du peuple insulaire. Il ne vit pas pénétrer à l'intérieur de la tente un autre pingouin, il ne l'avait pas remarquer quand il parlait à Soizic mais après avoir finit de lui parler il remarqua celle qui s'était jointe à la table. Il la regarda, un sourire de satisfaction sur ces lèvres en voyant une nouvelle personne.

Et bien, c'est un réel plaisir de vous avoir parmi nous Irina. Peut être attendez vous des explications pour votre fiancé Seifer ? Si cela peut vous rassurez, on ne lui a rien fait... Je me suis juste contenté de l'envoyer sur le continent afin d'être sur que son nouveau poste de garde ne trahisse pas nos projets.

Il inclina légèrement la tête comme s'il avait honte de cette arrestation. A l'inverse de la réjouissance de Laquatus, il n'aimait pas ce qu'il avait dû faire. Mais il était obligé de le faire. Il releva la tête et regarda Irina. Elle était en tenu de combat, donc tout laissait présager qu'elle venait rejoindre pour la lutte.

Bon petit résumé de la situation, Laquatus, Ayrwen et un jeune seigneur du nom de Kouriam ont décidés de défendre les côtes contre d'éventuel renfort. Mon rôle consistera à prendre le pouvoir des mains de la garde qui à présent constitue le dernier rempart à notre libération de l'île. Désirez vous joindre à moi sur le champ de bataille ?

Il n'attendait plus que la réponse de cette dernière, il espérait une réponse positive mais l'arrestation de Seifer pouvait également la faire changer d'avis et de n'accorder aucun soutient à l'insurrection.

"Je mettrais une partie de mon armée en défense de la côte et je sécuriserai les portes dimensionnelles postées ici et là par le Doux pour accéder à la taverne."

La voix était reconnaissable entre toute, douce, mais ferme. Imposant son opinion, plutôt que demandant l'avis des autres. Neydrinella venait d'entrer dans la salle où l'insurrection s'organisait. Elle parcouru la salle du regard et pendant un instant aurait aimé avoir la possibilité de lire dans les âmes comme Queltosh, car elle était sûre que parmi les inconnus qui se trouvaient là, se cachait un espion. Elle avait bien réussi à infiltrer un espion chez les continentaux, pourquoi eux n'auraient pas fait la même chose ?

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..........Irina écouta le seigneur Erandil lui dire tout ce qu'il savais à propos de Seifer, des positions de l'armée pingouine et autre indépendants. Quand celui-ci eu finit, elle le regarda droit dans les yeux, le regard grave, le visage de glace et sans plus attendre lui dit :

-Je vais venir avec vous, ne doutant pas de l'efficacité de votre plan, je chevaucherai avec vous dans cette campagne contre le Mou. Juste le temps d'envoyer un signale à mes troupes pour qu'elle viennes gonfler les vôtres.

Irina acceptait de suivre Erandil sur le champ de bataille. Même si ce n'est que deux royaumes contre trois, les troupes adverses ne seront composé que de royaume affaiblie, d'une garde affaiblie et d'un continental venu avec peu d'armée, du moins c'était ce que les espions installés en ville avait pût voir. Erandil esquissa un sourire de satisfaction. Son plan se déroulait comme prévu, sans aucune fausse note. L'étape suivante pouvait à présent démarrer. A cet heure-ci les soldats pingouins devaient être entrain de bâtir les barricades. Un rempart contre la menace continental. Le Doux ne récupérera pas sans peine l'île. Erandil s'éclaircissait la voix, il commençait à ressentir une certaine fatigue dû à la stratégie et au simple fait qu'il avait fait les préparatifs de cette réunion sans prendre la peine de se reposer un moment.

A présent que l'île est sécurisé nous pouvons lancé la prochaine étape. Neydrinella, je vous souhaite bonne chance pour la défense de cette porte. Irina, Soizïc, je vous donne rendez vous demain matin à cette position.

Il désigna à l'aide de son doigt un endroit sur la carte, cet endroit était proche de la capitale. Il ne faudrait que quatre heures de marche afin de rejoindre la capitale insulaire et de lancer l'assaut.

Nous verrons une fois là bas comment nous prendrons la citée. Simple ordre afin de ne pas faire d'erreur. Les gardes Shaoran et Elhandil doive être neutralisé, ne les tués pas. Nous en auront surement besoin afin d'intimider le continent. A présent que tout est réglé, je vous annonce que cette réunion est terminé. Bonne chance.

Erandil sortit de la tente après avoir salué les personnes présentes, une fois à l'extérieur il fit signe à plusieurs de ses hommes d'élites de suivre discrètement Soizïc afin de s'assurer de sa loyauté. La bataille approchait, bientôt le destin de l'île se jouera.

Mordred suivait Sieur Erandil et ces complices discrètement depuis le départ. Il s'était caché dans des fourrées à coté de leur poste avancé afin de comprendre leur opération. Le nain s'assura que personne le suive puis sortit des buissons. Il s'approcha d'Erandil quand ce dernier sortit de la tente et prit la parole.

Bonjour Sieur, Je vous prie de m'excuser de ma présence en ces lieux, mais je me suis dis qu'une personne en plus dans votre camp ne serait pas de refus. Bien sur c'est à vous de décidé en étant juste qu'un guerrier je ne peux prendre de décisions.

Le nain vit Erandil s'écarter de la tente après qu'il est accepté sa proposition d'aide par un hochement de tête, puis il rentra à l'intérieur quand il vit que ce dernier retournait à son royaume. Puis Mordred rentra et vit les parchemins sur lesquels il était écrit l'opération à suivre. le nain prit la parole.

Salutation à vous, je me nomme Sieur Mordred je viens du royaume Ghomos. je suis un simple insulaire parmi tant d'autre. Je suis venu ici afin de déclarer que je voudrais me joindre à vous pour l'indépendance de la Presqu'île de l'Emeraude, mes armées seront entièrement à votre disposition pour cette quête.

Mordred sortit de la tente afin de préparer ses armées pour la guerre qui s'annonçait comme imminente..