Entre le continent et l'île.

Une ambiance sinistre s'était installé sur les bateau. Peu de chevaliers appréciait la mer, la plupart était accrochés au bord du bateau à rendre chaque miettes de leur repas. Les paladins un peu moin atteint par le houlement des vagues, n'étaient guère rassurer d'aller à la guerre. Surtout une guerre de mauvaise hospice. Les rumeurs allaient de bon train parmis eux mettant leurs nerfs a rude épreuve.
Mais la tension la plus palpable se logeait chez les seigneurs...

Je n'avais plus dit un mot depuis que j'avais quitté le champs de bataille. La présence d'Andromède et le fait que ce soit ma soeur, me calait. Je n'étais pas en rogne et en même j'étais très en colère.
J'ai vécu toute ses années loin de l'amour fraternel qui nou aurait liés, mais maintenant tout ce que j'ai bati pour Tonandra risquait de s'éffondrer comme un château de carte. Mon Royaume était désormais son Royaume, mon titre était le sien, mais la malédiction restait mienne.
Si elle aurait été la, ce serait elle la maudite et non moi ...

de gauche à droite ma tête me ramenait à la réalité. Comment pouvais je espèrer que ma soeur soit maudite. Comment toi Aanltey pouvais tu penser comme cela ? C'est le plus grand des honneurs que de se sacrifier pour sa soeur.
Mais maintenant elle avait interêt à être heureuse. Et j'allais y veiller. J'agirais en frère protecteur, je surveillerais ses amants, la protegerait, mais en même je ne peux pas lui montrer tout cet amour que j'ai pour elle...

Fatalité quand tu nous tiens...

Elle se trouvait sur le pont accompagné de ce seigneur qui avait détruit la pierre de Jyugdall. Ils semblaient s'entendre, bien s'entendre, trop bien s'entendre ...
Je me dirigeais vers eux muni de l'arme la plus mortelle chez les seigneurs, j'ai nommé une amphore de vin.

Vous êtes trop belle pour être ma soeur ...

J'avais repris sa phrasse, et je lui avais asssèner mon premier sourire. Mince n'en faisais je pas de trop ? Elle allait peut être se sentir ma à l'aise ou bien elle allait le prendre comme de l'hypocrisie ... J'ai jamais appris à gèrer une soeur moi ! C'est pas facile ! C'est nouveau ! Déesse ! Aide moi !
Devais je la laisser seul ? Entre eux ? Mince l'amphore...

Une petite goutte de vin pour surmonté le mal de mer ?

Le mal de mer ... Ils roucoulait et moi je parlais du mal de mer je devais vraiment être ridicule...

Androméde discutait avec Archangel de ce qu'il fallait faire pour remonter le moral des troupes. Ils en étaient venue à la conclusion que Aantley, chef des troupes après tout, devait leur tenir un petit discourt afin de les galvaniser pour le combat et de les aider à surmonter cette traversée difficile.

Androméde appréhendait de lui exposer cette conclusion, elle avait très peur de froisser son frère et de saborder ses chances d'établir un bon contact avec lui. Elle ne voulait pas qu'il prenne ça pour une critique négative et ne savait donc pas comment aborder le sujet. D'autant plus qu'il l'avait comme évité depuis l'appareillage, restant muré dans le silence.

Elle le vit soudain sur le pont une amphore de vin à la main.
Il souriait ! Le premier sourire qu'elle lui voyait. C'était un sourire encore hésitant, promesse engageante d'un rapprochement possible.
Elle lui sourit également heureuse de le voir ainsi s'illuminer.

Vous êtes trop belle pour être ma sœur... lui dit-il.

Elle rougit sous le coup du compliment, enchantée d'un si bon début.

Il avait l'air mal à l'aise et sembla comme se rappeler qu'il avait cette amphore de vin à la main.
Il lui proposa :

Une petite goutte de vin pour surmonter le mal de mer ?

Je ne souffre pas du mal de mer, mais une goutte de vin, voire un peu plus, ne serait pas de refu.

Un éclat particulier brillait maintenant dans ses yeux. Pourquoi le moindre alcool avait-il cette effet sur elle ? Elle empoigna la jarre et but goulûment trois longue gorgées sous les yeux surpris d'aantley et d'Archangel.
Impossible de résister, elle buvait toujours plus que de raison. L'usage n'améliorait malheureusement pas sa résistance aux effets de l'alcool. Ses joues gardèrent une teinte légèrement rose.
Tandis qu'elle se résignait à proposer l'amphore à Archangel en la lui tendant du geste, elle tenta de se concentrer sur son frére, négligeant un instant l'ange.

L'alcool aidant elle lui demanda franchement :

Qu'est-ce qui te mets si mal à l'aise ? Est-ce moi ? Parce que dans ce cas rassures toi je ne suis pas très à l'aise non plus. J'ai très peur de te froisser par une parole maladroite et de rompre à jamais mes chances de te plaire en tant que soeur.

Oups ! Elle n'avait jamais eu l'intention d'en dire autant. Zut ! Qu'allait-il penser d'elle à présent ? Serait-il faché ? Aucune idée. Il fallait attendre qu'il parle.

Foutu alcool !
De petites étoiles dansaient dans ses yeux.