[Oriflamme Nébuleuse : Partie Annexe] Echanges Epistolaires

Une fine plume d'argent, ornée de motifs elfiques se planta dans le papier. Elle bougea rapidement et les mots s'amoncelaient.
Le Pourpremire devait se hâter, quelques seigneurs indépendants et d'autres venant de guildes, qu'elles fussent amies ou ennemies, étaient prêt à en découdre pour l'intégrité du monde tout entier. Il savait parfaitement qui étaient ces seigneurs. Il leur écrivit un par un. C'était une lettre, une missive, une seule, un appel.

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[Oriflamme Nébuleuse : Partie Annexe] Echanges Epistolaires Sanstitre2fs

Une silhouette parcourait le chemin qui remontait jusqu'au chateau du seigneur d'Asternel, messager d'une prochaine quête dont l'aboutissmeent serait d'une importance capitale pour la survie et la liberté de nombreuses races..
Le messager donna la lettre à un serviteur, et attendit comme une réponse, qui ne tarderait pas. Le Seigneur Elhandil était entrain de prendre encore quelques dispositions et de donner des directives à son conseil, lors de son absencelorsqu'il fut interrompu par son serviteur, qui lui lança un regarde pressé, et profondement désolé. Elhandil ne dit rien, lui faisant simplement un signe de la main, pour qu'il lui donne la missive. Une fois qu'il l'eut en main, il brisa le sceau, et lut le contenu de cette missive. Au fur et à mesure de sa lecture, un sourire s'étira sur ses lèvres. Puis, lorsqu'il eut terminé sa lecture, il leva la main, stoppant nette les questions qui allaient fusé. Il prit la parole d'une voix grave, avec un soupçon d'excitation dans la voix:

- Conseillers, cette lettre est celle que j'attendais depuis plusieurs lunes déjà. Je vous quitte donc maintenant, vous avez les informations ainsi que la préparation pour gérer le royaume pendant une assez longue durée.
A bientôt, et toi, Huël, n'oublie pas que le chef de ce conseil, mon remplaçant, c'est toi. Que la lune te donne de bons conseils, et que le vent t'apporte les murmures nécessaires pour ta tache. A bientôt, mes amis.

Après quoi, il prit congé de ses conseillers, et ceux-ci lui souhaitèrent bonne chance. Tâche superflue qui ne servirait à rien, mais qui semblait les rassurés. Après quoi, il prit sans attendre la direction de son appartement. Il prit une plume, un parchemin vierge, et écrivit une réponse:

Citation :

Messire Thanator de Pourpremire,
Voter lettre, je l'ai attendue impatiemment, et c'est donc dans l'heure que part vers notre lieu de rendez-vous. Votre missive est révélatrice, et les conséquences qui imcomberont de l'echec de notre mission seraient terribles. C'est pour cela que je vous repète mon engagement dans la quête qui est devenue notre.
Votre idée est intéressante, mais téméraire. La discretion sera de mise, et la construction du navire que vous envisagez (car les plans n'auront que ce but je pense) sera ardu, mais notre détérmination sera le secret de notre réussite. Nous pourrons parler de cela bientôt face à face. Tout autre mot serait superflu,
Je nous souhaite réussite dans notre entreprise, et que la lune guide notre esprit.
Elhandil, Seigneur d'Asternel.
Pour le bien des Terres Oubliées.

Après avoir scellé et demandé à ce que cette lettre soit donner au messager, qui partit immédiatement, il se changea, après une courte toilette. Il se vêtu d'une combinaison de cuir, une burre brune à capuche elfique. Après quoi, il se ceigna de son ceinturon d'Arfalt, possédant des ressources inconnues, et lassa ses bottes. Il était prêt, habillé pour sa quête. Il prit ses armes, son épée Logoisa, qu'il ceigna, et son arc long elfique qu'il plaça dans son dos, avec le carquois rempli de flèches. Puis, pour terminer son arsenal, il plaça quelques poignards dans des endroits stratégiques, puis se releva. Plaçant sa burre autour de lui, de telle sorte qu'elle cachait son épée, il ressemblait désormais à un rôdeur. Seul le bracelet argenté à son poignet témoignait de sa noblesse. La besace qu'il prit contenait divers éléments essentiels pour la quête, dont son grimoire.

Après quoi, il alla aux cuisines, et prit de la viande sechée, une gourde d'eau, du pain, et une petite amphore de vin. Il prit un sac et descendit les escaliers qui menaient à l'écurie.
Elhandil harnacha un étalon d'un noir de jais, vérifiant bien la selle et les rênes, et plaça les sacs sur les cotés de la croupe du cheval, comme un long voyage. Mais cette fois, c'était un long voayge, dont il ne savait pas la date de retour. Il accrocha son arc, le plaça dans un sac, de telle façon qu'il pouvait et dégainer son épée facilement, et prendre son arc aussi facilement. Puis, alors qu'il mit sauta pour ainsi dire sur son cheval, Huël vint le voir, et lui prit la main, et la serra. Il lui souhaita encore bonne chance. Elhandil lui rendit une poigéne de main, et lui offrit un sourire. Le Seigneur était prêt à se render à l'aventure, avec d'autres seigneurs, d'autres hommes, pour le bien de la terre, pour le bien des Terres Oubliées... Alors, sans prévenir, il lança son cheval au peitt galop, et se dirigea vers le lieu de rendez-vous, la bibliothèque d'Alérandir Daâh.. Pour la première étape, pour le début de lâ quête.

Lorsque Neydrinella reçut la lettre comme tant d'autres seigneurs des royaumes oubliés, elle se précipita vers la bibliothèque de son manoir pour y faire quelques recherches. Au bout d'une heure, elle trouva enfin ce qu'elle cherchait.

*Il me semblait bien que Queltosh avait travailler à l'élaboration du Navire des Cieux.*

pensa t'elle en découvrant les notes de son ancien époux. Elle profita d'être à la bibliothèque pour dicter la missive suivante à l'intention de Thanator

Cher Thanator, j'ai à ma disposition les notes de Queltosh quant à la réalisation magique du Navire des Cieux, je suis prête à vous laisser les recopier pour le bien de tous. Je vous retrouverais sur le chemin menant à la Bibliothèque d'Alerandir

Apprenti Nombre de messages : 95 Participation RP : 10 Inscription : 13/04/2008

Le calme et la tranquillité du royaume de Rutiana à demie en ruine, le tout baignant dans la glace. Voilà ce à quoi le pauvre messager était confronté, hélas depuis quelques jours déjà la danse du sommeil avait été entonnée. Devant un tel spectacle le plus grand nombre aurait laissé tomber. Le messager ne savait que faire, restant figé sur le parvis l'air hébété.

Il cherchait un moyen de pénétrer à l'intérieur, mais à ce jour personne ne savait comment rompre ce sortilège du dehors. Quand il se mit à rebrousser chemin, on entendit un l'écho d'une voix de femme :

- qui va là ?

D'abord surpris, il se retourna lentement et aperçu une silhouette de petite taille qui le surplombait du haut des remparts. Pour bien se faire entendre , il cria

-IL S'AGIT D'UN MESSAGE POUR VOTRE MAÎTRESSE .

A ces mots la forme lui fit signe d'attendre,et s'empressa de quitter le pas de ronde pour en référé à la princesse . Arriver devant sa chambre et avent même qu'elle ne puisse toquer à la porte , on entendit la voix amical de la maîtresse de maison :

-Qu'est se que c'est ? qui ose me dérange alors que je ne suis pas occupée ?

Habituée à cette voix accueillante, la conversation s'enchaina rapidement.

-Votre altesse,il s'agit d'un message.......
-Sa ne m'interesse pas !
-.... son porteur semble venir de l'autre rive.

-Ha ........dans se cas que l'on m'apporte se message.

-..........

- Trouvez un moyen pour que le message traverse le mure de glace, je me fiche de savoir comment.

Quelques instants plus tard la lettre était lue et finit dans les braises rougeoyantes qui frémissaient dans l'âtre. Irina eut un instant de réflexion, .........'' Qu'elle est donc encore que cette invention, construire un deuxième navire des cieux pour défendre ce monde à la dérive, il fallait bien être parmi ces fous pour avoir une telle idée ''

- Bon, et bien soit je m'ennuie tellement en ce moment avec ces petites guerres sans envergure entre seigneurs de ces nouvelles guildes assoiffée de pouvoir . Que l'on se prépare au dégel, je m'en vais guerroyer au coter de la guilde des fous courageux, ça risque d'être intéressants, je ne veux pas manquer ça. Il s'agit surement de ce que ma chère amie Neydrinella ma prédit comme présages. J'espère qu'elle sera aussi de la partie, j'aime bien rencontrer des gens que je connais.

En route, faites ce qu'il faut quand je serai partie.

-Il sera fait selon vos ordres votre altesse

- Bien, et n'oubliez pas de faire comme si je n'étais jamais partie

Le Sultan Ostros, flânait dans les jardins d'Azalis, chaque pas était d'une lenteur extrême, profitant d'un moment de répis à travers le chaos qui commençait à se lever sur aguératon. Il observait, sentait, écoutait tout ce qui se trouvait autour de lui, appréciant chaque couleur, chaque fragrance, chaque chant.

Porté par ce spectacle de tous les sens, il n'aperçut que tardivement le messager qui attendait que son attention se porte sur lui.

Le Feled sourit :

« Bonjour. Qu'avez-vous donc pour moi? »

L'homme lui tendit un parchemin, qu'il ouvrit rapidement, après une première lecture rapide, il demanda à l'un de ses protecteurs de conduire le porteur du message à l'intérieur du palais pour qu'il puisse se reposer. Il se fit aussi amener un parchemin, une plume et de l'encre.
S'asseyant à l'ombre d'un dattier, il prit le temps de rédiger une réponse.

Citation :: « Sieur Thanator, mes respects.

Je suis dans le regret de vous dire, que je ne pourrais pas vous aider dans vos premières entreprises. En effet, j'ai actuellement nombre d'occupation lié aux événements récents qui se produisent aux alentours de la mer d'Os-Swuirland.

Par contre, je peux vous offrir un base d'opération au sein des terres inconnues avec la sécurité relatives du royaume de Feledor. Je vous rejoindrai au plus vite, et joindrai mes ressources aux efforts pour la mise en place et la construction du navire, car je pense deviner que si vous désirez les plans, vous comptez vous en servir.

Tenez moi au courant dans la mesure de vos possibilités, j'espère pouvoir vous aider au plus vite.

Sultan Ostros du Royaume de Feledor.
Régent d'Azalis. »

Une fois sa plume rangée, il se porta à la rencontre du messager, quittant les jardins pour entrer dans le palais, guidé par un de ses feleds jusqu'à l'homme. Il lui tendit le parchemin cachetait de son sceau.

« Porte le, à ton maître. »

Se détournant alors, il quitta la salle.

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