De la suite des jours nouveaux,
Le roi passa son temps sans laisser de louveteaux.
Repu de son pouvoir il fut,
En Léon il trouva le descendant voulut.
Franche confiance accordée,
Alors, la déception il fallut récolté.
Une à une, ce fut chacune,
De nos lois, tour à tour établis en lacunes.
Dame Herpé ; déprisée, bafouée.
Et l’honneur, nos seigneurs s’en servaient à moucher.
Mais était-ce seul leur ego ?
Certain se plaisent à dire qu’aucun n’y gagna gros !
Tant va le seau, qu’il perd sa anse.
Et ils durent assumer l’élégance de l’errance.
Puis vint, le temps du jugement,
Et Hagen ce gueux, trahie son Ordre aimant.
Comment le bougre n’avait vu ?
Tout fier qu’il était de son pseudo statut.
Qu’alors un royaume naissant,
Avait sut perdurer les valeurs de son clan.
Terre emplie de trésors qui l’orne,
Les hommes l’appelaient la passe de Kaad Norn.
A sa tête un démon régnait,
Dont le cœur et l’épée, étaient d’acier trempé !
Appelé Marduk des Limbes,
Et malgré sa bravoure, on le savait tout humble.
Rude. Le ton dure, mais sans haine,
Il reprit donc les rennes et ceci non sans peine.
Il exécuta les traîtres,
Fit couler de sang, plus qu’il put y paraître.
Mais jamais pour autant ne fit.
De l’honneur et la gloire misérable profit.
Chant de l’Ordre Nouveau, par le Barde Silfnidas de Kaer Morhen