recherche d'une guilde

Je me nomme Kerran fils de Lynn et de Kran,. Je viens d'une contrée baptisé Rysisthan par nos ancêtres,mon peuple compte une centaine de fermiers et autant de chasseurs, éparpillés sur une centaine d'hectares. Nous vivons d'amour, de chasse et d'eau fraîche. Nos prairies sont parsemés de millier d'espèces de fleurs que l'on ne peut trouver nulle part ailleur..
Notre peuple ne connait ni la haine, ni la vengeance, nous vivons dans un calme parfait abrité de toute menaces externes.

J'étais un chasseur, à la différence des autres je n'avais ni femme ni enfant. J'avais soif d'aventure, je s'avais manier autant l'arc que l'épée.
Aprés avoir murment réfléchit je me décidais à faire mon pactage ( chose que peut d'entre nous faisaient) les anciens nous disaient parfois l'herbes n'est pas plus verte ailleur.. mais qu'importe le besoin de décvouvrir et d'apprendre était plus important pour moi.

Après quelques mois de voyage j'arrivais dans ce royaume que je ne connaissait pas. Une porte gigantesque me laissa sans voix quand soudain :

messir on vient!

Je suis Kerran du royaume de leguérond, je me présente à vous, et vous offres mon arc, mon épée pour vous servir.
Accepter moi au sein de votre confrérie et vous ne serait point déçu..

Un elfe arriva après quelque heure de marche. Venant des terres d'Orion, dont celles-ci n'était point a coter.

Mes salutations, cher seigneur Kerran.
Je me présent, Accolon de Broceliande primarque des compagnons d'Orion.

En effet si celui-ci avait fait autant de marche pour venir ici, c'est qu'il avait prit part d'une annonce dans la presse qui s'en doute pourrait l'intéresser.

C'est dans la paix la plus total que je viens a vous.
Je vous invite donc, a venir dans notre capitale voir si notre charte vous convient. Nous y seront un peu plus au calme que ne ces lieu, et pour y en discuter plus tranquillement.


Le primarque s'approcha du seigneur présent, et lui donna un pare-chemin, où y était inscrit l'adresse ainsi qu'une carte pour s'y rente. Il avait prit soin d'y mettre la route la plus coute mais aussi la plus sur, afin que Kerran ne se fasse point agresser.

Je vous laisse, dès a présent a votre libre choix de venir nous rendre visite en notre capitale. Sachez que vous y serez bien accueillie.

Lui laissa son pare-chemin et reprit son petit sac en direction de sa capitale.