Convocation des Compagnons d'Orion

S'adressant à un Everlord dans toute sa splendeur:

Katrah_ Qui est donc votre compagnon qui nous casse tant de bâtisses? D'après les écrits historiques, pas un seul de vous n'a cassé de bâtisses étrange non?

Il riat aux éclats et rétorqua à l'elfe puéril.

_D'ailleurs mon petit, tu t'adresses à Lucretia, comme si il était jeune et sans expérience? Mais sais tu au moins qu'il a aidé à bâtir les terres que tu foules? Ici dans ce palais? Tu n'es qu'un pleutre qui détient ses pouvoirs par descendance, et excuse moi de te le dire mais t'as ni l'étoffe d'un chef, ni celle d'un homme, va te couper ce que tu possède, ou pas? entre les jambes. Ca t'évitera de reproduire l'erreur de ton père: Procréer la misère linguistique Aguératonienne par le biais de l'utérus de ta mère.

Le Sultan Ostros avançait dans les rues de la capitale, il était arrivé il y a peu par navire, le temps de transmettre la gestion de Feledor à ses généraux et frères d'armes.
Flânant dans les ruelles, l'air perdu, il travaillait son discours, cherchant des arguments pour appuyer ses propos. Il avait déjà eu une virulente discussion avec le chef des Orions, pour savoir ce qu'il fallait faire, désormais il s'agissait de s'adresser aux Justes.

A ses cotés, deux humains, un de chaque sexe, liés par leur serment au Sultan, serment qu'ils avaient prit sans inquiétudes et qui faisait d'eux les êtres les plus importants de Feledor.
Ovick, un grand homme à la peau halée, portant une tunique sans manche, de couleur rouge, descendant jusqu'à ces genoux et fendu en deux endroits : à l'avant et à l'arrière. Ses jambes sont quant à elles couvertes de bandes couvrant la totalité de sa chair. Il tient de ses bras musclés une lance qui le dépasse de deux bons pieds.
Li Mia, jeune femme au teint pâle, vêtu d'une robe orientale, de couleur noire, qui monte et encercle son cou. Portant dessous un pantalon serré, de la même couleur, il lui permet de se mouvoir avec légèreté. Ses cheveux blonds tombent en une longue tresse sur son dos et présentent deux mèches totalement noires sur la partie gauche de sa chevelure. Sur sa hanche droite, accrochées à son ceinturon, pendent deux lames dans leurs fourreaux.
C'est escorté de la sorte que le Sultan Ostros, vêtu comme à son habitude, pénètre dans la salle, où le débat avec les Justes est censé se produire.

Interpellant le scribe qui est chargé de la retranscription de tout ce qui se passe en ces lieux par écrit, il se tient au courant de ce qu'il s'est passé dans cette salle.
*Eh bien!... Ce ne fut pas de tout repos...*
Il prend un instant de repos, fermant son esprit à tous et à tout ce qui l'entoure, puis il s'avance au centre de la petite pièce, les deux Protecteurs ayant quant à eux prit appuie sur un mur, l'air négligents mais veillant sur la vie de leur sultan.

Se raclant la gorge, pour fluidifier sa voix, il prit la parole:

« Bonjour à tous, Sires et Dames. Je me présente à vous en tant que porte-parole des compagnons.
Désigné en tant que tel, j'ai pris au plus vite la route de ces lieux, intrigué par la simple indication que cet salle était ouverte à l'occasion d'une convocation des Orions. » Il haussa les épaules, en écartant les bras, marque d'hésitation et de surprise.
« Comment voulez-vous qu'une discussion s'installe convenablement alors que le premier mot qui percute notre esprit en venant ici n'est autre que le terme convocation. Que vous soyez, sois-disant, des anciens, ne vous donne pas le droit de vous adresser à nous comme si nous n'étions que des enfants. Il me semblait que votre ordre appréciez les belles paroles et surtout vantez les mérites de la diplomatie, que dire si ce n'est que vous avez à plusieurs reprises prouvé le contraire en ces lieux, vous avez appliqué vos préceptes à d'autres instants, mais votre inconstance dans ce domaine à l'heure actuelle n'est pas à votre honneur. »

Il prit une brève inspiration, remplissant ses poumons pour poursuivre :
« Comprenez bien, qu'en agissant ainsi, les Compagnons se sont de suite offusqués, nul n'aime être traité comme un enfant, et surtout de la sorte. Votre ancienneté n'est pas une excuse en cet situation, surtout quand je vois que certain de ceux qui se disent ancien, n'ont pas plus de passé dans les relevés du Doux que ma simple personne. Que vos terres soient anciennes, que vos empires soient anciens, que vos aïeuls soient anciens, que vous soyez anciens dans un autre monde, un autre continent, cela ne vous donne droit à aucun crédit dans vos déclarations d'ancienneté. » Il marqua une pause et offrit un visage impassible à tous alors qu'il semblait réfléchir à la suite.

« Enfin! Je me laisse emporter par ce qui a été dit plutôt dans le débat. Si je suis venu ici, en plus de vous offrir un vis à vis officiel pour ce qui est des discussions, pour vous parler de cette guerre.
Les Orions estiment qu'il est encore temps d'arrêter les dégâts, que ce soit d'un coté comme de l'autre. C'est ainsi que je viens ici pour vous proposer une cessation des hostilités. Que chacun retourne sur ses terres, que les griefs du passé et de l'émotion soient effacés. Nous avons lancé l'assaut sur Elenna en premier certes, mais les mots que vous avez employé pour ouvrir le débat, la façon dont vous avez traité ceux d'entre nous qui ont tenté de s'exprimer, malgré leur état novice en matière de rhétorique pour certains. Nous avons tous une fierté, ce n'est pas en nous dénigrant de la sorte que la diplomatie s'instaurera.
Nos terres traversent une période chaotique, ne renforçons pas celle-ci par une disparition du respect et de l'honneur. La guerre n'est pas nécessaire entre nous, arrêtons la, maintenant avant que le mal fait ne soit encore plus grand. »

Il ouvrit les bras et inclina légérement la tête avant de reculer, invitant les Justes à répondre. Il se retira auprès de ses protecteurs et but une longue gorgée d'eau fraiche dans une gourde tendu par Li Mia.

Rahtka_ Mais cette convocation sir, comme son nom l'indique est le résultat d'attaques sur notre pilier après messager vous offrant un pacte, qui a été envoyé à toutes les guildes afin de leur promettre une sécurité en cas d'infériorité numérique.

Mais comble de l'histoire nous sommes nous même en sous effectif: Une guilde contre trois, dont une plus officielle.

Même si nous n'avons aucun mal avec ces trois guildes, le fait est que la guerre contre vous n'est en aucun une difficulté, que la guerre s'arretera sur notre victoire et non pas un accord à l'amiable, et que si cela continue ce n'est pas nous que ça dérangera.

Quant à nos manières d'avoir traité vos semblables, elles sont le résultat d'actes puérils de la part de votre chef et de ses plus fidèles larbins.

Je mis longtemps avant de me décider d'agir mais les discours qu'offraient mes compagnons comme mes ennemis ne portaient nul soucis.. Enfin le Sieur Ostros se présenta et offrit la paix, je mis alors en chemin pour l'estrade des orateurs, je pris place à côté de ce dernier pour lui souffler à quel point ses paroles m'avaient touchaient, m'avançant d'un pas je sourit vicieusement à la pensée de ce je pourrais offrir comme paroles.

" Mes chers amis, mes chers ennemis et tous ceux dont l'amitié et la haine m'échappent ainsi que ce qui n'ont conscience de ma personne je me présente à vous ainsi: je suis le Sieur Orc Cyrus, mon passé ne me permit pas d'avoir le respect que j'attendais mais pourtant je me permet de prononcer ici mes pensées "

Confiant de ce que j'allait avancer, je pris la peine de montrer mon visage fort travaillé par les marques de nombreuses guerres, celles si m'apportaient dégoût et fièrté. Ayant constater que ma présentation avait rendu la salle calme et prête à l'écoute j'entamais un discour bref mais direct.

" Notre chef actuel à juger bon de nous faire combattre contre vous et je lui donne toute ma confiance, pourtant il est certes un doute qui persiste en moi, ne serait-ce par maladresse que votre guilde c'est retrouvé si mal accompagné ou vous comptez vous jouer de nous les utilisant pour nous attaquer oralement de toutes les façons imaginables, le Sieur Everlord se permet de prononcer ce qu'il ne peut entendre et reproche des insultes qu'il redistribue du suite et je pense que chez vous il n'est pas le seul à agir de la sorte, pour ma part, même si le conflit me paraît flou, j'ai cru comprendre que vous êtiez en guerre contre les Valinors, hors je ne vois point dans le comptes du Doux la marque de votre guerre, si guerre il y a faites là officiellement que nous puissions user de notre rôle, qui est je le rappel, aider les faibles. Ensuite, en nous accordant la parole que vos hommes ne viendrons plus nous visiter je ferais de mon possible pour que la paix soit, que soit avec vous ou avec les valinors.

Pour le point précédent que je ne peux approfondir à cause de mon manque de savoir en la matière vous m'avez surement bien compris et ainsi je me permet de vous dire que tant que tiendrais vos hommes, nul d'entre eux ne sera ma cible, pourtant dés lors qu'un seul d'entre eux se verra prendre de l'empleure et approcher en superficie les terres de mon bon ami dont vous connaissez l'identitée il sera la cible de mon armée.

Chaque Juste à sa parole, la mienne et que si vous vous retirez entièrement vous n'aurez rien à cainre de moi et surement du reste de mes compagnons, avouez vous en tord et l'ordre reviendra"

Un messager rentra dans la salle et cria:

_A l'attention des Justes, les Orions ne sont plus, leurs piliers si faible en bâtisses et d'esprit, s'est suicidé hier pour ne pas mourir par votre main.

Le messager partit dehors et laissa la parole à Rahtka.

Rahtka_ Comme nous l'avions prévu, la guerre contre les Orions fût facile, rapide et pratiquement sans pertes dans nos royaumes, l'affaire Orion est classée.

Rahtka fit un signe à Celah et elle se mit à distribuer des pièces aux Orions présent dans la salle, pour la reconstruction.

Rahtka_Puisse ses pièces vous aider à vous acheter de nouveaux habits, les anciens ont du être taillés en pièces.

Pauvres Orions... Une fois de plus leurs stupidités avaient été révélés au yeux de tous... Encore une fois le sir Everlord avait été un bien piètre adversaire.. Pourquoi laisser t'on encore son royaume entre les mains d'un pareil empoté?

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