Cellule de Sir Arthur Pendragon

C'est après avoir descendu les longues marches menant aux cachots que je jetais le corps toujours sans conscience de pendragon dans la première cellule, la plus petite et la plus étroite, celle réservée aux crimes les plus ignobles.

Je pris soin de refermer la serrure et griffonnai un petit mot que lirait l'infâme lorsqu'il reviendrait à lui.

Citation :: « Sir Pendragon,

Vous êtes accusés des faits suivants: Trahison et tentative de complot envers messire l'Hangrateur ainsi qu'outrage aux agents Hangratials.

Vous pouvez demander à présenter d'éventuelles preuves de votre innocence devant le jury que constitue la Garde au complet. »

Invité

Vous... Vous...

N'avez rien à faire là ? Ne disposez d'aucune emprise légale sur la prison ? Ne savez pas écrire correctement de la main gauche ? Êtes né de l'union d'un homme et d'une femme ? Oui, merci, je sais tous cela.

Et dire que je n'ai même pas encore franchit le seuil de la prison.

Vous retenez un homme avec qui je suis tenu de parler. Je me retourne vers la rue et hurle bien fort. Je suis KALIZAR, HASTRATEUR D'AGUERATON ! Puis je m'adresse de nouveau au garde en affichant un sourire amusé. Je n'ai donc aucune intention de faire évader quelqu'un et me contente uniquement d'accomplir mon devoir : aller interroger un prisonnier.

Et bien je...

Dois en référer à ma hiérarchie ? T'es un bon petit soldat. Et bien ? Qu'attends-tu ?

Il semble hésiter quelques secondes puis me salue et commence à s'éloigner.

Hep ! Je ne compte pas me farcir cette discussion dès que je croise quelqu'un à l'intérieur ! dis-je en montrant du doigt la prison. Tu m'accompagnes jusqu'à la geôle.

C'est que...

Si tu veux que je te laisse une chance de finir une phrase, tentes d'être un peu moins formaté... On y va ensemble, puis tu cours jusqu'au poste de Garde alerter tes officiers qu'un hastrateur tente de faire son boulot. C'est bon ?

Il ne répond pas immédiatement, je sais alors que j'ai obtenu gain de cause. Il nous faut alors moins d'une dizaine de minutes - et un registre à signer - pour arriver jusqu'à la cellule du Sire Pendragon. L'homme semble toujours évanoui. Je m'adosse donc contre un mur et me laisse tomber nonchalamment sur le sol. J'entends derrière moi le garde qui s'éloigne promptement.

Le dit traitre s'éveillait peu à peu dans sa nouvelle demeure. La lumière du soleil ne lui avait jamais parue aussi sombre.
L'odeur de du sel marin ne traversait plus ses narines, l'homme se sentait dénudé de liberté, perdu derrière sa maison aux poutres de fer.

Les yeux bien écarquillés, il aperçu au sol un parchemin dont l'encre était encore fraiche...

Le remue ménage qui régnait à l'extérieur des cachots était semblable à la panique des jours de guerre...
Ne savant quel était la cause, il s'en retourna et si dit qu'il aurait bien le temps de réfléchir à tout ca plus tard.

Il ne savait pas depuis combien de temps il était inconscient mais il était certain qu'une demi journée s'était déjà écoulée.

Alors qu'il s'allongea, il entendit un homme d'une voix rauque traiter un des hommes de la garde comme son domestique. Il ne compris pas bien quel en était l'enjeu mais il se releva afin d'entendre plus distinctement ces paroles.

Le bruit se tut, ne laissant place qu'au brouhaha extérieur, Pendragon s'assit donc sur le lit avant d'entendre l'armure d'un homme frotter le mur qui le devançait.
Le traitre se retourna,et dans la pénombre, ne sut reconnaitre à qui cherchait s'affairer à lui...

Il décida d'entamer la conversation avant même de crier à l'injustice...

Qui me fait donc la faveur de me rendre une visite aux aurores de mon arrivée dans ces cachots?

Il laissa le silence s'installer afin d'attendre la réponse du dit chevalier.

Invité

Je laisse le silence s'installer. Puis, sans un mot, je fouille dans ma poche pour en extraire une petite pierre bleue. Je l'a secoue vivement et ... il ne se passe rien. Saloperie de ... dis-je en chahutant le minerai frénétiquement. Soudainement, il s'illumine et une faible lueur azure envahit la cellule. Ha ! Sans perdre plus de temps, je m'approche du prisonnier et lui tends le caillou ainsi qu'un morceau de parchemin, une plume et un encrier.

Citation :: Pas d'armée, pas de preuve, pas de morts...
Les mots mentent, pas les écrits.
Donnez-vous une chance.

Je suis Kalizar, Hastrateur d'Aguératon. Je vous offre une chance et des outils. Donnez-moi les coordonnées exactes de vos armées et sans doute les Gardes en tiendront-ils compte lors de votre procès.

Il regarda le seigneur présent avec étonnement mais il n'avait en aucun cas l'air d'un homme de conscience.
Cette armée, dont il parlait, est plus gigantesque que sa moindre pensée est pu l'imaginer.
La garde pouvait à son nombre maintenir très justement ces hommes, ce qui expliquait cette tentative de corruption, mais dans un cours instant il se rappela

qu'il dut répondre à l'Hangrateur qui s'était présenté à lui

Kalizar, de son nom, la fourberie en ressors de votre réputation et la démence n'est que la lumière de votre blason.
Vos outils ont une valeur mais une valeur qui ne m'acquittera pas, et aucune preuve n'est en votre possession et aucun des hommes contre qui vous pourrez vous battre n'osera dire qu'il s'est battu en mon nom. La seule chose qui fait que je suis dans cette demeure est ma simple altercation avec le gueux Soontthaam.

De son silence, le garde créait une certaine animosité dans la tête du pirate... Le bruit au dessus de lui, attira son attention. Quelqu'un était venu au poste de garde mais à la tonalité du garde une fois la porte close, il n'y avait rien qui puisse mettre la garde sur le qui-vive... L'homme réfléchissait à la meilleure façon de se sortir de ce pétrin mais les jours se faisaient longs et le jour clé s'approchait de plus en plus.

Le garde avait attendu ce moment.
Enfin le nouveau prisonnier étais seul. L'Hangrateur étais absent pour il ne savait qu'elle raison, mais il était bel et bien absent. Maintenant c'était a son tour d'aller interroger le prisonnier.
Il descendit donc les marches menant aux cachots de la capitale d'un air amusé, sadique et amusé.
Il ne croisa personne. Tan mieux, il l'aurais pour lui tout seul et personne ne pourrais le déranger en ce moment.
Que comptait-il lui faire...? Et bien il ne savais pas exactement encore, mais il comptais bien lui soutirer une quelconque information.
Le peuple d'Aguératon ne semblait pas assez attaché à leur Doux pour se soucier de la menace qui l'entourait, enfin pas assez du moins pour venir relater au poste de garde un quelconque fait en rapport avec cette trahison.
Ou alors ce maudit maraud de Pendragon avait si bien préparé son coup qu'aucun indice n'était laissé...?
Mmmm, pourquoi pensait-il à cela. Pour le moment seule l'interrogation qu'il avait en tête comptais.
Pourquoi?
Comment?
Ou?
Moyens?
Personnes impliquées?
...
Toutes ces questions fusaient dans le crâne du jeune garde. Il traversa bon nombre de couloirs, emplis d'odeurs nauséabondes de transpiration, de saleté et d'urine, composés chacun de complexes de cellules, vides pour la plus part. Enfin vides de toute âme qui vive du moins...
Il arriva enfin devant la cellule qu'il cherchait. La cellule la plus étroite et la plus horrible de toute la prison: la cellule du sieur Pendragon. Il semblait dormir.
Le garde eut un rictus malsain au coins des lèvres et tapa violemment sur les barreaux de la cellule afin de réveiller la personne qui s'intéressait.

-Vous voila traitre!
Enfin seuls...
J'ai quelques questions à vous soumettre gueux!
Et je compte bien en recevoir les réponses...

Il rit sans cacher ses intentions machiavéliques.
Il frottait sadiquement un bâton qu'il avais pris soin de prendre avant de descendre en ce lieu infecte, on ne sait jamais!
Puis il pensait déjà à utiliser le matériel tout neuf de torture que le cher Doux en question avais mis à la dispositions des gardes dans une salle des cachots.

Les bruits de pas du garde s'intensifiait de plus en plus dans l'écho de sa cellule. Le prisonnier qui semblait dormir sur le sol, attendait l'intervention du garde avant de manifester quelque signe de vie. Le garde frappa quelques coups sur les barreaux de la cage dans laquelle Pendragon était enfermé.
Voilà quelques temps qu'il n'avait pas mangé et ces forces régressent. Les coups sur le barreau l'ont presque surpris dans son attente.
Des sons sortaient de la bouche du garde mais le pirate ne semblait pas vouloir l'écouter de cette oreille.
Soudain il se retourna et attrapa le garde de son armure à travers les barreaux, le menaçant d'une pierre finement tailladées grâce aux défauts de lissage des barreaux. D'un regard de haine, il énonça ces quelques mots :

Si vous voulez des réponses, garde!
Il va falloir me parler sur un autre ton et faire preuve de diplomatie, car ce n'est pas de cette manière que vous soutirerez quoi que ce soit aux types de mon espèce.

Il relacha l'étreinte de son adversaire afin de le laisser reprendre ses esprits...

Le garde surpris avec par les actions du prisonnier eut un sursaut. Vite contrôlé, celui ci ne se fit voir qu'un léger instant sur le visage du garde, il avait, semblait-il, eut peur l'instant de quelques fractions de secondes.
Alors comme ça le mécréant ne voulais pas livrer ses informations si on lui parlais pas comme sa tendre mère...
Comme c'est touchant.
Le garde esquissa de nouveau un sourire au coin de ses lèvres et reprit la parole.

-Vous ne vous facilitez pas la tâche mon cher. Je vous assure que au plus vite vous me parlerez au plus vite vous sortirez de ce trou!

Encore un mensonge du garde... A croire que ce métier induisait la fonction de menteur. Il n'avais pas pas vraiment l'intention de le laisser partir comme ça simplement en échangeant des informations contre la liberté du sieur.
Et il en coutait d'une tentative de meurtre, et de corruption par la même occasion!
Enfin bref. Il ne voulais donc pas coopérer... Bien!
Le garde reprit d'un ton posé, mais qui se voulais autoritaire.

-Très cher, si c'est ce que vous voulez entendre, si vous rechignez à parler, sachez que personne n'est là, et qu'une salle spécialement conçue pour, comment dirais-je? Les détenus récalcitrants à donner toute information?
Moui cela me semble le terme correct.
Enfin bref, pour en revenir à votre cas, je disait donc, plus vite vous cracherez le morceau, plus vite vous sortirez, et sans aucune séquelle, ce que je ne peut vous assurer si vous rechignez à coopérer.
La balle est en ce moment même dans votre camps.
D'une part vous répondez à mes questions, et je vous fait libérer le plus rapidement possible.
De l'autre vous restez ici, pour une durée indéterminée, a subir des interrogatoires, les miens ou ceux des autres gardes qui ne tarderons surement pas... Et croyez moi, si j'était vous la solution que je choisirais est évidente...
Je ne compte pas non plus passer ma soirée à épiloguer avec vous ici, alors ou vous répondez gentillement à mes questions ici même, ou je vous emmène faire u tour dans une autre salle, ou j'aurais tout le loisir de vous faire parler!

Sur les derniers mots le garde paru peut être hausser la voix et paraître quelques peu menaçant à son insu.
Puis il se recula légèrement historie d'être hors d'atteinte du prisonnier... Ce serait trop bête de crever sous un coup de pierre taillée mal placé...

I'homme fut étonné de voir un sourire si cupide sur le visage de son adversaire. Sont rare les hommes qui n'éprouves pas un sentiment de peur à la menace de la mort. Cet homme a un fond de dément, il fallait s'en méfier. La liberté était un mot qui sonnait faux au son de voix de pucelle. L'homme avait quelques difficultés à cacher ses paroles mais le traitre se prêta au jeu de cette soit dites salle "de torture" présumas t'il. Il s'annonça donc de vouloir faire perdre le temps au garde.

Cette salle en question doit avoir de bien plus jolies couleurs que cette geôle à pisse. Je vous explique une seconde fois, je ne parlemente pas aux gens qui me prennent de haut.

Afin que le garde s'exerce, il lâcha la pierre finement taillée sur les pierres difformes du cachot puis recula au fond de sa cellule.

La colère du garde commençait à grandir, quel était cet étrange personnage, qui ne se laissait pas démoraliser à l'entente de tortures en prônant quelques principes bien superflus en ces terres?
Ce calme et ces convictions avaient le don d'énerver le garde.
Il se força tout de même à garder son calme. Il savait bien que sans autorisation il ne pouvais infliger aucune souffrance physique sur le prisonnier, il lui fallait l'accord de son supérieur.
Sa technique semblait tomber à l'eau, décidément il n'en apprendrais pas plus sur cette affaire. Mais bon Dieu! Que pouvais bien craindre ce seigneur? Apparemment rien si il s'étais lancé dans une si grande aventure et si périlleuse, il devait avoir réfléchis plus d'une fois à cette situation, lui enfermé et interrogé pour ses actes.
Il se dit alors qu'il ne lui restait plus qu'à le cuisiner un peu plus et peut être aurais-t-il ses réponses.

-Et bien mon cher, vous prenez de bien mauvaises décisions. Vous pensez que je vaut autant que vous? Vous n'avez surement pas tord, la seule différence est que vous êtes le prisonnier et moi le geôlier...
A partir de là, je réfléchirais bien à votre place. Je vous offre une opportunité, sachez que vous avez une chance, prenez là.
Il vous suffit de répondre à quelques questions et s'en sera fini de votre enfermement.

Décidément, il y arrivait de mieux en mieux. Inventer de tels mensonges avec autant d'assurance... Le garde s'impressionnait lui même, ce qui lui fît presque oublier sa colère contre le prisonnier.

-Je vous laisse un moment de réflexion mon cher.
A vous de voir. Si vous attendez quelque chose de moi, dites toujours, si sa peut vous aider à me répondre, je peut peut être faire n effort...

Il recula de nouveau, lissant son bâton sur le mur pour patienter...
Il attendit ainsi jusqu'à ce que le prisonnier daigne lui répondre.

Le garde mentait, il en était certain, jamais il ne prendrait la responsabilité d'ouvrir la cage. Imaginer donc les problèmes que lui apporterait le capitaine au simple son de la clé dans la serrure. Il avait pourtant l'air valeureux, mais un valeureux menteur... Le pirate n'avait rien à dire aux gens qui le nommait coupable mais trop fier pour prôner son innocence auprès de la garde, on le prendrait en pitié, il continua donc le même discours.

Je pense que Monsieur ne m'emmènera nul part, monsieur a trop peur de moi et de ces supérieurs pour ne tourner ne serait-ce qu'un tour de clef dans cette serrure.

L'homme d'un air défiant s'approcha des barreaux...

Wilwarin fut surpris par les paroles de ce traître.
Il pensait donc que je ne pouvais pas ouvrir cette porte?
Il esquissa un léger sourire et sortit son trousseau de clefs pour l'agiter d'un air hautin devant le prisonnier.

-Et bien, et bien très cher, vous voulez donc me pousser à ces extrémités...?
Mmmm j'aurais aimé ne pas en arriver là, mais pour la dernière fois!
Parlez, assurez moi que vous répondrez à mes questions, ou il en sera que coûteux pour vous!

Il le regarda, il voyait une certain intelligence dans son regard, il avait surement compris qu'il n'allais surement pas le laisser partir quoi qu'il arrive.
Ce qu'il ne savait pas c'est qu'il pouvait en effet transférer un prisonnier à la salle des tortures sans l'accord de ses supérieurs, à l'unique condition que le détenu se trouve dans sa cellule avant et après les interrogatoires, et surtout qu'il s'y trouve en vie!
Il décida tout de même de laisser une dernière chance à ce pauvre homme. Il était dur avec les traitres, mais pas au point de ne pas les laisser parler et ainsi échapper à la torture.

-Pour une dernière fois, répondez à mes questions!

Il dit ces mots d'un ton posé et assuré. Pour qui se prenait-il, même enfermé il gardait les valeurs qu'on ces nobles seigneurs...
Pffff, mais ou va le monde!

L'homme n'eut juste qu'à poser le dos contre le mur et attendre. Deux minutes durant, il ne décocha mot. Mais en vain, il défia son interlocuteur.

J'aime cette petite brise qui traverse les cachots comme un fantôme traversant vos entrailles. Pour un réveil d'une douce nuit n'est pas agréable Monseigneur?
Ce qui est dommage avec le vent, c'est qu'il emporte vos paroles où personne ne les écoutera.

Le sourire au coin des lèvres, l'homme se préparait psychologiquement à subir son triste sort et les tortures qui pourront lui être données ne seront que justice que L'Hangrateur lui rendra à bien...

Cette fois c'en étais trop!
Non mai pour qui se prenait ce personnage.
Il était en prison, lui essayait de l'interroger et encore il trouvais le moyen de se foutre de lui?!
Ca ne se passerait pas comme ça!
Il allais lui montrer de quel bois il se chauffait. Pffff, lui qui lui laissait une chance de répondre sans subir de tortures...
Mmmm au moins il allais pouvoir se défouler sans trop de remord sur ce pauvre homme...

-Tourne toi et tend moi tes mains derrière ton dos!

Aboya le garde au prisonnier. Il se saisit de chaînes accrochées au mur d'en face et se prépara à lier le prisonnier. Mieux valais être prudent avec cet énergumène.
Il s'affaira donc à l'enchaîner, prenant soin de bien garder la cellule close le temps de lui enfiler ses liens.
Une fois l'opération effectuée il ouvrit la cellule, dégainant son épée.
Il la lui mit entre les deux omoplates et força le prisonnier à avancer le long de plusieurs couloirs en direction de la salle des tortures.
Il allait passer un sale quart d'heure, oui, très sale!

L'homme voyait là une opportunité de se retrouver seul en compagnie du garde, et il redoutait ce moment car, il ne voulait pas seulement dire une occasion de régler des différents et une porte vers la sortie, mais avant tout un aller simple vers la salle de torture. Le pirate remua dans les couloirs afin d'essayer de se détacher de son prédécesseur mais la pointe de l'épée du garde rentrait dans le vif de sa peau et la douleur en était que plus forte.
Ils arrivèrent tout deux à une porte de bois couverte de barreaux de consolidations en métal noir, ils franchirent la porte et la couleur de la porte s'apparentait au style de la salle. Des objets de tortures en métal d'un noir des plus sombres.

Quelques uns était rouillés par les particules de sueurs et de sang que les prisonniers laissaient sur place.
L'homme sans aucune peur prononça ces quelques mots.

C'est donc cela que vous me réserviez? Et bien c'est digne de la Garde Hangratrice dites moi.
Que ferez vous lorsque l'on me retrouvera dehors et qu'on apprendre que VOUS avez employé des manières douteuses à mon égard afin de me faire avouer quelques mensonges qui vous tiennent à coeur.

Je ne pense guère que le Doux vous tiennent dans son coeur suite à cette malencontreuse histoire.
Vous m'avez fait sortir de ma cellule avec une crainte si énorme que je m'échappe que votre sueur empestait plus que la pisse qui hante les couloirs de ces geôles.
Geôlier ça? Laissez moi rire, vous n'êtes qu'un garde qui cherche à se prouver à lui même qu'il est capable de faire du bon boulot...
Votre comportement en dit long sur vous, vous ne garderez pas longtemps votre tête à l'ombre de ce blason, croyez moi.

Un sourire s'afficha au coin de ses lèvres afin de cacher le sensation de peu qui se cachait en lui à la vue de ces objets tranchants contre lesquels, il n'aurait pas moyen de se défendre

Alors je prenais un malin plaisir à brutaliser légèrement mon prisonnier, un messager arriva, un peu perdu.
Il me tendit une lettre et repartit aussi tôt.
Je lis donc la lettre, et quoi?
Non, horreur, on allais m'enlever mon jouet de quelques heures pour le faire passer devant un tribunal!
Raaa, encore un coup de ce maudit sort!
Je dévisageait le prisonnier en face de moi et essayais d'imaginer son discours absurde devant cette nouvelle...

Oh et puis non, la lettre m'est parvenue après que j'ai un peu torturé le pauvre homme et qu'il soit tombé inconscient...
Moui c'est ce qui c'est passé!
Je le torturais donc durant quelques instants, insistant fortement sur les partie douloureuses du coup humain.
Il ne tarda pas à succomber, et à perdre connaissance.

Oh non, j'avais pas pensé que j'étais seul, bon dieu! il va falloir que je me trimbale cet énergumène jusqu'à sa cellule!
Décidément le prisonnier en avait pas fini d 'embêter le pauvre garde...
Il le traina donc au travers des divers couloirs menant à sa cellule et une fois sur place il le jeta du plus violament qu'il pu contre la paroi de cette même cellule...

-Et j'esspère que tu ne te réveillera pas de ci tôt!

Lui aboya le garde furieux de ne pas avoir pu profiter pleinement de ce 'jouet'.
Le garde remit un peu d'ordre dans ses affaires essuya le sang qui avait éclaboussé sur son armure et repartit vers son bureau, en prenant soin de ne croiser personne. Il ne ferais pas bon temps si quelqu'un se rendait compte qu'il avait torturé le prisonnier avant son jugement.