À la recherche de la lame de Silgenius

[hrp]Quête que je fais avec Edwin, vous referez à lui si vous voulez embarquer [/hrp]

Il était un temps où le monde était régis par de grand empereur, ayant des territoires immenses couvrant les grandes régions actuels, un temps révolu. Désormais plusieurs seigneur ce battait pour ce monde, déchirer par le fer et le sang. Il n'était pas rares de voir de majestueuses armées à ce temps, s'affronter pour le contrôle de quelques kilomètre de terre supplémentaire, quelques lieu. Mais de ce temps où les humains dominait sans vergogne, où des despotes tyrannisaient les populations, certaines légendes s'animèrent, d'abord une flamme, puis une lumière étincelante qui aujourd'hui est sur le point de vaciller ou de devenir réalité. L'un d'entre elle, propre au grand nord et aux elfes de ces régions est la légende de l'épée de Silgenius:

Il est dit que la seul pensé de cet homme, animé par son épée suffisait pour conquérir le monde. La lame aurait été forgé il y a plusieurs siècles de cela par les maitres nains déjà excellent artisans. Silgenius aurait apparemment conquis le grand Nord grâce à cet épée avant de mourir du sort d'un sombre magicien. L'épée serait resté dans la famille pour un peu plus de 10 ans avant de disparaitre dans la nature. Nombre d'aventurier on tenté de la retrouver, nombre d'elfe conte qu'elle n'est qu'un mythe stupide et nombre d'autre conte qu'elle fut détruite.


La plume laissa couler un peu d'encre sur le dernier point, Labreck, encapuchonné de son sombre manteau noire ne laissant pas transparaitre sa côte de maille brillante lui cachait les yeux mais pas ses oreilles pointus, ôta la plume et remit le bouchon de l'encrier avant de se lever et de remettre une buche dans un petit foyer à l'air miteux. Lorsqu'il se releva ses yeux vert étincelèrent pendant une fraction de seconde avant d'être enterré par la capuche d'un noir nuit. Se replaçant de nouveau sur le petit tabouret mal dégrossis son épée battant son flanc releva sa pointe courbé distinctif de celle de son royaume. La petite bicoque où il était devait combattre le vent et le froid à longueur d'année et c'était un miracle si elle était encore là après autant de temps d'abandon, mais il l'avait choisie du fait qu'elle était proches des forêts de Lirlandaïs, premier lieu qu'il fouillerait, car les indices se faisait avares pour cet légende.

Le froid s'insinuait partout dans la petite maison délabré d'apparence et attaquait l'elfe de deux mètre sans vergogne. Que faisait-il là? Il attendait tout simplement, qui, seul lui et la personne le savait. Labreck relis ce qu'il venait d'écrire, concernant la légende de Silgenius, son aide se faisait attendre, chose normale dans ce désert de froid, qui lui faisait regretté la quiétude des forêts natals. Son arc et le carquois sur le flanc de la table laissait voir une parfaite maitrise de cet art qu'est leur fabrication. Cependant, Labreck s'impatientait un peu plus chaque minute et avait finalement décidé d'écrire ses connaissances sur ce bout de parchemin. Il commença à dessiner à coup de trait fin d'encre une carte des lieux et des environs, avec en marge des notes sur les climats et les allégeances politique. Le vent soufflait toujours un peu plus fort transportant leur flocons argenté, encore un autre point en faveur du retard du contact.

Ce fut seulement une heure plus tard qu'il entendit des pas dans la neiges, ses oreilles tressaillirent, indiquant son soulagement ou sa nervosité. Il regarda par une fissure du mur du cadre de porte pour apercevoir un homme marchant seul dans la neige. Il porta par réflexe sa main sur la poignée de l'épée avant d'aller se planter sur le bord de la porte de façon à surprendre tout mécréant lorsque l'on frappa un ou deux coup sur le bois qui faillit tomber sous la force du coup. Labreck tira silencieusement son épée de son fourreau avant de la lever par dessus sa tête, l'individu à l,extérieur semble-t-il insatisfait frappa quelques coups supplémentaire qui firent tomber la clenche retenant la porte, tellement qu'elle était vieille et accroché au bois trop sec. Finalement un autre coup fut perceptible des oreilles de l'elfe, coup qui ferait ouvrir la porte à coup sûre.

[hrp]Voilà edwin tu peux reprendre un peu avant si tu veux.[/hrp]