Peuples d'Aguératon, résistez ! Des tyrans sont à nos portes...

Aëwë n'avait toujours pas eu la réponse qu'il attendait:

-Pourquoi ouvrir une salle pour une guilde qui ne fait rien, qui ne sert à rien, qui ne fait de mal à personne, qui n'attaque personne et surtout incompétente? Laissons les s'auto-détruire ils n'ont pas besoin de nous pour leur propres pertes ils y arrivent bien tous seul...

Aëwë regarda le sir qui avait ouvert la salle encore une fois et lui dit:

-Lâche prise, laisse les croire qu'ils sont tous puissant et tu verras qu'ils ne feront de mal à personne, au fond c'est juste des incapables.. Alors laisse les tranquille tu trouble leurs plans démoniaques qu'ils mettent en place depuis si longtemps, attaquer la taverne et prendre la caisse.

Il se releva et alla se chercher quelque chose à manger accompagné de ses pünks afin de ne pas se faire virer du palais hangratial par la peau du cul.

Apprenti Nombre de messages : 82 Participation RP : 0 Inscription : 18/04/2008

Le seigneur rigola face aux déclarations de Laquatus...

Je te conseille vivement de demander à tes amis de calculer le nombre de ressources pillées par moi ou mes compères, et de calculer aussi le nombre de ressources qu'ils nous ont pillé ! Est-ce insignifiant ? Des membres d'une guilde qui croie régner sur l'ile mais qui ne riposte pas après des pillages incessants tous les jours ?
Laissez moi rire...

Griffon effectuait sa ronde dans la cour du Doux quand il arriva devant une salle avait été ouverte il y a pet par un seigneur inconnue. Stupide pensait-il, on laisse entrer ici une personne qu'on a jamais vue... Un attroupement de seigneurs se tenait devant l'estrade sur laquelle il y avait ce mystérieux inconnu. Griffon le reconnue aussi tôt pour avoir reçut un message insultant de la part de ce seigneur, erreur de la part de mon scribe, s'était-il justifié... Il devait parler ici du même sujet que sur la missive, la lutte contre les pingus... Rester ou ne pas rester, après tout les pingus n'embêtaient pas le Sieur Griffon, et Griffon n'embêtait pas les pingus. Arf, il faut bien surveiller qu'il n y est pas de débordement. Le garde s'adossa à un mur au fond de la salle, et il inspectait méticuleusement des yeux chaque seigneur présent. Il en reconnue quelques-uns mais il ne se fit pas connaitre, il interviendrait en cas de besoin. Il se contenta de se taire et de poser la main sur son épée d'argent.

Rester en retrait il put apercevoir le garde entrer, gardant la main sur le pommeau de son épée. Un écart de plus et on se fait tous virer de ces lieux à coups de pique... Mieux vaux ne pas déraper en disant les vérités que chacun mérite, même si certain dont le talent réside dans leur rapidité à revenir aussi vite qu'il parte à dos de cheval par exemple. Pour ce qu'il s'agit du pünk et de son ramassis de "soldats" sa le faisait rire de le voir, peut être sa venait de sa démarche ou alors tout simplement de son vocabulaire. En tout cas il le faisait rire, même si d'autres seigneurs l'avait déjà fait auparavant. Il écouta la dernière prise de parole. Comme par hasard c'était toujours le même qui osait se la ramener.

Pourquoi aimez vous passez pour l'idiot du village devant tout le monde ? Je vais vous le répéter encore une nouvelle fois vu que sa a tendance à ressortir plus vite que votre retour après votre départ précipité en votre royaume... Il est parfois compliquer pour certains membres de la pseudo résistance de comprendre que les attaques que vous avez subit ne sont en quelque sorte que des avertissements à une probabilité de guerre qu'un jour vous oseriez nous déclarez...
Si je puis me permettre une chose ne me prenez pas pour n'importe qui ou comme vous devez aimez y penser à un abruti de pingouins, renseignez vous sur moi et vous saurez que par le passé j'organisais avec l'aide de certains seigneurs ici présent se que les pingouins d'avant appelais les rebelles et je me permet de vous dires que la difficulté de les avoirs était mille fois plus difficile que maintenant !
Maintenant remballez votre humour et réfléchissez soigneusement à se que vous allez me répondre puisque j'imagine que vous ne pourrez vous en empêchez...

Il le fixa droit dans les yeux attendant impatiemment se qu'il allait osez lui dire en absurdité.

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Il vit que c'était toujours le même seigneur qui se sentait visé par ces paroles... Vu les conversations qu'ils avaient pû avoir auparavant via leurs messagers, il se dit qu'il ne vallait mieux pas répondre ou le débat durerait des centaines de lunes...

Elias était resté pendant tout ce temps en retrait, derrière la masse de badauds et de seigneurs pour la plupart inconnus à ses yeux. Il venait de remarquer que lentement le ton avait monté, passant du fou rire d'Erandil à une pseudo-joute verbale. Cela devenait intéressant. Avec un peu de chance ces opposants sortiraient leurs lames afin de continuer le débat d'une autre manière. Le seigneur se devait d'avoir une place au premier rang, il passa donc à travers les rangs par la force de ses coudes et de ses épaules et se trouva une place assise parfaite. Il sortit une poignée de biscuits émiettés de sa poche en goba quelques-uns et en proposa à son plus proche voisin. Il ne lui restait plus qu'à croisait les doigts, un débordement était si vite arrivée et une tête pouvait rouler encore plus rapidement.

La capitale me semblait bien calme depuis plusieurs lunes... bercé par cette douce opalescence ambrée, j'avais passé mes nuits les yeux plongé dans l'océan d'encre sablé. Sans rien à dire, sans rien à faire. La dernière allocution de la dame pingouine ayant anéantis mes espoir... Rien ne pouvait ni ne devait bouger. Et cette soif inextinguible qu'était ma vie ne serait jamais assouvie. Les mots, les phrases, tout cela était vain face au armes de ces geux n'ayant pour seul vocable la litanie harassante des ordres intimé à leurs sous fifres. Pourtant... Un gnôme était venu me trouver... Eux qui ne désiraient que me voir parler devant une cour... Eux qui avaient accepté leur sort et dévoué leur pathétique existence à la mienne qui ne l'était que plus. Eux qui avaient dénicher une information susceptible de m'intéresser... de me ressuciter.

La bas... au centre de cette ville gangrénée par la couardise, l'agitation renaissait peut être. Je secouai la tête. Ramenant en moi toutes les parcelles de mon esprit, éparpillée dans une danse sans coordination. Me relevant brusquement, mes jambe eurent du mal à supporter mon poids après tant de temps passé couché sur le dos. Je vacillait vers l'avant, rapidement rattrapé par l'un de mes gnômes assujettis. Devant moi, l'une des entrée de la ville me dominait de toute sa hauteur. A nouveau j'allais y entrer. Et peut être rallumerais-je la flamme qui tentait de me consumer corps et âme.

Sans un mot, j'entrai dans la salle et pris place dans l'un des gradin. Il y avait de nombreux pingouin... peut être m'amuserais-je plus que la fois précédente. Mais pas encore... pas tout de suite. Je ne voudrais pas gâcher mon plaisir à une chose qui n'en vaudrait pas la peine. Je devais commencer par observer. S'ils avaient appris à parler, je devais au moins leur faire cet insigne honneur...

Cyrus débarquant dans la salle vit tout un troupeau de seigneur dit vils babouins et décida de simplement et honnêtement de lâche un gaz comme il en avait le secret depuis sa plus tendre enfance, il remua ensuite sa main de maniére frénétique pour bien diffuser l'odeur épicé de ce met des plus raffiné et puis s'en alla en chantant une comptine orc qu'il avait traduit en elf puis en humain puis en gnome puis en arbre et fini sa comptine par un magnifique poéme Troll:

"Bluark groom gram tadiim, Grâm grâm TROG"

La braise commençait déjà à s'éteindre alors qu'Elias ne commençait seulement qu'à prendre goût à cet échange. Le seul moyen était de relancer le débat. Le seigneur se leva de sa chaise comme un plongeur prêt à sauter à l'eau et interpella le seigneur Erandil juste après avoir fourré ses biscuits dans sa poche.

Seigneur Erandil. Même si je pense que dans votre esprit ceci doit être extrêmement clair je me dois de vous demander quelques explications. Au commencement de cet échange vous avez répondu au seigneur silitruc que, vous êtes fier de passer pour un crétin fini à ses yeux, au moins vous ne vous attirerez pas la sympathie de n'importe qui en ces lieux. Et maintenant vous lancez à Raim qu'il ne devrait pas vous prendre pour n'importe qui ou comme il devrait aimer le penser à un abruti de pingouins. Avez vous vraiment toute votre tête? Es ce le froid qui vous a ainsi déréglé ou devons nous, moi-même et le reste de cet assemblée constituait essentiellement de curieux, vous prendre pour une personne atteinte d'un dédoublement de personnalité incapable de prendre une décision ferme et définitive aussi claire que pourrait l'être celle-ci. Si c'est le cas je préférerais que la personnalité la plus calme me réponde je n'ai que faire de hurlements incompréhensibles quand j'attends une réponse.

Le seigneur ressortit quelques biscuits de sa poche toujours plus émiettés et en goba la plupart.

Erandil sourit devant la remarque du sir, à force de trop vouloir parler vite il en était devenue légèrement incompris. Il ordonna rapidement ses idées dans sa tête afin d'éviter à nouveau une situation identique.

Et bien déjà je ne pense pas souffrir de dédoublement de personnalité, fin je l'espère pour moi même. Ensuite comment vous expliquez ? Car j'avoue être moi même embrouillé là... Alors passez pour un crétin fini dans le choix de ma guilde et ne pas avoir la sympathie de ceux qui se permettent de critiquer et de se pavaner devant nous. Ensuite ne pas me prendre pour n'importe qui à l'autre c'est euhhh... au niveau militaire et par mes actions passé que n'importe quel pingouins pourra témoigner. En espérant avoir éclairci votre lanterne.

Il regarda le seigneur, puis le vit sortir un paquet de biscuit, ce débat l'avait un peu affamé. Sans trop savoir pourquoi il ajouta :

Je peux avoir un biscuit pour tuer le temps ? Depuis le temps que je suis ici je commence un peu à avoir faim...

Même si la réponse était quelque peu confuse Elias comprenait la nuance. Mais plus qu'imprévu ses biscuits n'avaient pas qu'attiré l'attention de quelques affamés ou mal nourris, ils allaient transformé ces échanges en salon de thé.

Oui. Je pense comprendre.

Le seigneur interpella un larbin non loin de lui et lui tendit le paquet de biscuit après en avoir reprit quelques-uns.

Hé toi, oui toi celui qui tourne la tête faisant mine de n'avoir rien vu. Va porter ce paquet au seigneur Erandil. J'aurais très bien pu le faire moi-même mais ma fainéantise se doit d'être entretenu. Allez dépêche toi!

Elias redirigea son attention vers l'autre seigneur.

J'espère qu'ils vous plairons, ils viennent tout droit des meilleurs cuisines d'Inelion.

Il soupira quelque peu puis reprit.

C'est vrai que ça creuse d'entendre des seigneurs parler de tyrannie et appeler à l'aide. La prochaine fois ils devront prévoir un buffet.

Seifer quitta la salle. il avait autres choses à faire aujourd'hui que de rester ici a regarder les quelques gueux qui peuplaient la salle parler, parler, parler, ... mais sans agir pour autant. De grandes gueules qui n'ont rien de plus dans le pantalon, qu'une dame. Seifer se leva, bousculant tout le monde sur son passage, main sur le foureau puis quitta la salle sans dire mot.

Les portes s'ouvrirent en grand coup de vent, un vent chaud pénétra dans la pièce, des hommes entrèrent, ils étaient en armure et tenaient un arc à la main avec un carquois dans le dos, les hommes se placèrent en ligne droite se regardant les uns en face des autres. Tout le monde avait les yeux fixés sur la porte, et tout à coup, apparut un Elf, sans doûte le chef, traversant sa lignée d'homme. Il était lui aussi en armure de combat, mais une meilleure armure que ses hommes, et dessus, on pouvait reconnaître le symbole des Adeptes de la déesse Sylvia.

"Je vous salue, Peuples d'Aguératon, et si je reviens ici, c'est uniquement pour dire quelque chose qui me tient à coeur. VOUS, Pingouins, oui VOUS ! vous m'avez pris pour un rigolo, vous moquant de moi ouvertement, et m'attaquant par en dessous comme des lâches ! Vous avez mis une semaine voire plus pour me détruire presque tous mes bâtiments, mais moi, je suis resté bas, et je suis revenu... pour vos plus grands ennuis ! Sâchez que quand je dis quelque chose, je le fais, et étant bas, j'attaquais souvent les petits pingouins ( en plus leur viande est excellente vous savez ? ), et maintenant, je suis revenu en force, avec plusieurs alliés, et maintenant, votre règne de terreur est fini ! je vous l'avais promis, je tiens et tiendrai parole ! Quant à vos menaces, les voici."

Scientist vous a écrit :

Bonjour,

Je viens de découvrir ceci :

Alliance de Sylvia D 0 0 0 -2871.82
Alliance de Sylvia D 0 0 0 -2981.19
Alliance de Sylvia) D 1 0 0 0

Si vous ne voulez pas que votre guilde ne dure que quelques jours, vous feriez bien de cesser toute attaque sur mes Pingouins. Dans le cas contraire je m'engage à faire disparaître votre blason dans les meilleurs délais. Nous sommes des experts pour cela, nous l'avons déjà fait à 9 reprises. Le travail est toujours soigné et vous ne vous en plaindrez pas.

Cordialement,

Scientist - Empereur Pingouin

"De toute façon, je n'ai rien à faire de vos menaces, tenez-le vous pour dit ! vous voulez jouer aux tyrans, vous allez le faire jusqu'au bout, jusqu'à ce que tous les peuples d'Aguératon vous chasse, où qu'ils soient, quoi qu'ils fassent, qu'ils vous chassent parce qu'ils en ont marre, ou qu'ils rigolent et vous attaquent parce qu'il y a beaucoup à piller chez vous... Oui les pingouins, vous ne m'avez pas crû, vous avez joué au plus fin, maintenant, vous allez assumer vos erreurs, et payer les pots cassés..."

Edit éolia : On reste dans un theme rp meme pour les rapports d'attaques, les dates de nos jours n'ont pas cours en agueraton et on évite également de mettre les noms de seigneurs meme si là c'est moins important puisque c'est votre propre nom.

Scientist regarda cet être bizarre en train de gesticuler.

"Tiens, se dit-il, un nouveau bouffon pour le Doux ! Il est pas terrible celui-là, la qualité baisse."

Les pingouins parlent, les pingouins agissent, les pingouins sont et resteront incompétent au niveau militaire.
Votre seul mérite c'est que votre gros lard de Seifer soit dopé, c'est votre unique mérite, le reste est faible, et quand votre Ordre tombera, vous resterez longtemps par terre à recevoir des coups de pieds...

Ne continuez pas à nous traiter de bouffons, nos raids, et vos battisses anéantis prouve bien que vous êtes faible.
Si je devais parler de vos raids, si ils existent, je parlerai sans doute des dégâts minimum et de petit pillage.

*Le Maître pingouins Kentetsu était présent depuis le début auprès de scientist mais sont rôle étant la protection de son empereur, il n'intervenait pas dans ce débat. Mais après l'intervention du seigneur Silimaure il ne put se retenir et parla à voix haute sans même prendre la peine de se présenter*

Les révolutionnaires parlent, les révolutionnaires agissent, les révolutionnaires on certes cassés quelques bâtisses, mais le plus important, les révolutionnaire obéissent à l'ordre.

Notre seul mérite et que notre général soit à l'abri, et bien faites de même si cela est si simple. Notre ordre tombera?? Et bien j'aimerais être là pour voir cela.

Vos raids et nos bâtisses anéantis prouvent que nous sommes faibles?? Je dirais quel prouve simplement qu'enfin vous vous réveiller et que les pingouins vont pouvoir s'amuser.

*Apres son intervention il se replaça aux coté de son chef sans dire un mot*

Habitué Nombre de messages : 151 Participation RP : 0 Inscription : 16/04/2008

*Sortie de l’ombre*

Vous allez pouvoir vous amuser ? Mais c’est ce que vous dites depuis le début mais nous n’avons rien vu pour le moment, les pingouins serait-il lent pour s’organiser ? Où attendraient-ils la présence de membres révolutionnaires en hautes terres pour faire un seul coup d’éclat qui leur vaudrait toute la gloire ?
Non je pense que vous êtes dépassé par la situation …
Les révolutionnaires n’obéissent en aucuns cas à l’ordre, nous sommes dirigés par une seule voix, celle de la liberté !

*il alla se reposer dans le coin sombre*

le messager de Legendarius qui été présent venez de recevoir une lettre de son seigneur il la lissât donc a haute voix :

d'après mes sources : De plus en plus de seigneur et de peuples qui viennent de toutes les contrées du continent accepte de faire partit de la rébellions et leurs hommes sont tous prêt a ce battre! le nombres d’allier grandit chaque jours je pense que l’ennemi sur l’île doit s’inquiété de plus en plus de se qui se prépare sur le continent et qui c'est peut être que bientôt les peuple de l'ile viendront eux aussi a se joindre a notre cause et gagner la liberté dans tous Agueraton!

Le messager avait finit son message il se rassit donc et écoutât la suite...

Eclate de rire

Oula, voila les révolutionnaires! Chouette je vais encore bien rigoler!

S’adressant directement à ce qui ressemblait être le responsable de la troupe de bouffons.

Vous faites deux raids sur des seigneurs entre 9 et 14k de terre, vous pétez uniquement 1 battisse en 2 attaques de moyenne et cela à l'aire de vous rendre extraordinairement satisfait!
Franchement je suis déçut si vous pensez que deux petits raids sur quelques pingus nous déstabilise et ben vous êtes franchement plus marrant que je ne le pensais.

Si nous n'avons pas encore pris la peine d'intervenir c'est peut être tout simplement car vous n'en valez pas la peine. De plus comme de jolis révolutionnaire vous battant pour la liberté vous respecté casi à la lettre nos directives alors pourquoi donc bouger? Si même la rébellion se plie à nos ordres.

Par contre, nous contrairement à vous, je pense que si nous décidons de bouger sachez que cela sera bien plus efficace et bien plus sanglant que vos misérables petites attaques!!

Sur ce Ayrwen se mit à coté de son ami Atchoum.

Habitué Nombre de messages : 151 Participation RP : 0 Inscription : 16/04/2008

*ressorti de l’ombre pour s’entretenir avec dame Ayrwen*

Ma chère, chacun ce doit de ce battre sur sont propre terrain.
Les nombreux membres de la rébellion ne sont pas tous aussi expérimentés que vous ou moi mais ils ont la rage au cœur est c’est tout ce qui compte…
Si nous ne valons point la peine d’intervenir pourquoi tan de raffut de votre par ? Si nous respectons si bien cette dictature ne devriez vous pas nous léser en paix ?
Alors veuillez arrêter de parler de nous sur ce ton et de cette manière si vous n’avez pas de raisons.

*attendit une réponse *

Mouahahaha
Et c'est une pingouine qui se cache dans sa banquise qui nous dit ça haha !

Mais vous entendez, une des rares femelles pingouines qui passe son temps à faire des pop-corn qui rend nos adversaire (extrêmement) plus minable qui ne le sont qui prétend que nous, qui sommes fort et nombreux n'avons aucune chance... héhé

Et bah voilà ce que je te propose ma ptite dame, sort de ta banquise, et subis les assauts de nos troupes, et là tu pourra ravaler ta sale petite fierté inutile quand tes faibles soldats tomberont et que ton château s'écroulera, et qu'il ne restera plus rien pour combattre, et à ce moment là, tu te rendra compte que tu as mal choisis tes coqs.

Le débat devenait de plus en plus long, ironique cette situation, en effet si les pingouins étaient si horrible que ce qu'ils disent et aussi sans importance pourquoi on ne fait que parler d'eux ? Il faudra méditer de sa plus tard, pour l'heure on va remettre quelque chose au point... Erandil s'avança et vit plusieurs de ses supérieurs qui avaient fait l'effort de se déplacer. Il décida de commencer par un certain Maximus, sois disant leader d'une révolte anti pingouin.

Étrangement les résistants sont heureux de remporter des victoires sur une guerre alors que le problème dans l'histoire c'est que nous pingouins n'avons prit aucune initiative pour vous contrer. Intriguant n'est ce pas ? Pourquoi ne prendrons nous pas les armes alors que vous, vous l'avez déjà fait ? Et bien la raison est très simple, nous n'en avons tout simplement rien à faire de vous. Mais malheureusement quelqu'un ici va un jour payer un lourd tribu pour avoir menacer ouvertement l'Ordre je vous laisse imaginer qui cela pourrait être. Ensuite, qui vous dit que nous cherchons la gloire ? On fait notre éloge aux quatre coins de la capitale. Vous nous haïssez mais pourtant vous ne pouvez vous empêcher de parler de nous, de plus si nous n'étions pas là pour jouer le rôle de tyrans que vous nous attribuer, vous ne pourrez pas jouez le rôle de héros que vous vous êtes auto proclamé. Mais pour l'heure, qu'avez vous fait ? Notre régime est toujours en place, donc vous êtes au point mort. J'en ais fini avec vous, pour le moment...

Attentif aux autres réactions un nouveau seigneur c'était avancé pour prendre la parole. Il avait coutumes de le voir dans ce genre de débat pour remuer du vent. Il s'empressa de lui répondre même si c'était assez humiliant de s'abaisser à un tel niveau... Enfin bon quand faut y aller, faut y aller.

Vous trouvez vos allier chez les plouks et les illettrés ? Je vous le demande car votre prestation est pour le moins incompréhensible, mais j'ai vais faire l'effort de vous répondre de manière civilisé. Vous vous vantez encore une fois mais de quoi ? Tout simplement de votre incompétence et de votre lâcheté. Vous prétendez être nombreux à nous combattre hors aucun d'entre vous n'a dès lors reçut l'honneur de figurer parmi nos plus redoutables adversaires. Ralliez les insulaires à votre cause, mais qu'adviendra le jour où les continentaux qui aurait réussis, attention je dit aurais ce n'est qu'une probabilité alors ne montez pas sur vos grand chevaux, attaquerons impunément les insulaires, les brimant de toute liberté ? Alors que nous, ne commençons les hostilités qu'une fois le seuil des 20000 erras franchis.

Voilà j'ai dit se que j'avais à dire maintenant, faites l'effort de trouver des arguments nouveaux sur lequel nous pourrions débattre plus sérieusement car en ce moment nous ne faisons que répétez tout ce qu'il se dit depuis maintenant une bonne semaine...

Erandil resta là où il était car il savait que quelqu'un allait s'empresser de lui répondre et qu'il avait la flemme de retourner à sa place. Enfin bon espérons que cette fois il fasse l'effort d'au moins de développer leur réponse se sera toujours sa de gagner...

Le messager de legend' sur ordre d'un nouveau message se leva est dit :

A quoi bon monterions nous au de-là de la limite fixé puisque presque tous les membre de votre guilde se trouve en dessous....Nous allons vous exterminer par la force du nombres, un par un et a la fin il n'en restera qu'un vous savez de qui je parle bien sur....et de la ou il est il ne pourra rien faire pour vous défendre votre meilleur force de combat et bloqué en haute terre et ne pourras rien faire a part regarder les membres de sa guilde périr l'un après l'autre...et enfin viendras son tour...

Se rassit et écoutât la suite...

Il regarda le sir, pourquoi il parlait sans savoir ? Qu'en savait il d'abord de la capacité de chacun ? Ce débat est amusant quand même, on a toujours affaire des personnes qui parlent beaucoup mais les agissement ne suivent jamais. En effet il avait raison. Raison d'être resté là où il était sur l'estrade, un aller retour de gagner pensa il. Bon qu'allons nous lui répondre sans êtres trop méchant ? Sa y est trouvé !

Toi, là ! Va quérir ton seigneur, dit lui que je n'ai pas à répondre à un misérable messager. S'il veux des réponses qu'il viennent les chercher ici. Je n'ai pas à répondre à des servants pour ci peu ! Enfin si dite lui juste ceci : ne sous estimez pas un pingouins.

Il resta encore une fois espérant que le sir se déplace.

Neydrinella avait attendu un moment silencieusement parmi les rangs des Pingouins, mais il était temps pour elle de prendre la parole.

"J'aimerais bien savoir comment vous comptez vous y prendre pour me détruire. Je suis déjà morte depuis plus de 150 ans, je vois mal comment vous pourriez me nuire. Continuez à espérer nous détruire par de petite escarmouche, mais soyez sûrs que dès que vous dépasserez la limite autorisée nous nous interesserons de près à vous. Pour le moment vous n'avez aucun argument pour nous mettre en péril, donc continuez à déblatérer inutilement, vous ne faites que creuser votre tombe et celle de la rebellion."

Neydrinella rajusta sa robe avant de se rassoir auprès de ses compatriotes

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