Peuples d'Aguératon, résistez ! Des tyrans sont à nos portes...

Dame Ayrwen qui était restée dans la pièce. Attendant que le temps s'améliore pour rejoindre son royaume, ne put s'empècher d'éclater de rire fasse au discoure du plus grand geux d'aguératon.

Hahahahahah!!!

Puis avant, d'en avoir assez d'écouter des innepties déblatérées par des geux, elle mis son capuchon et partit en direction de son royaume tout en se disant que décidément, un boule-haie restera toujours un bole-haie.

Ils ne doivent pas savoirlire, ni écouter et encore moins comprendre! Par contre, il se vente énormément de choses qu'ils n'ont jamais faites et qu'ils n'y arriveront jamais!!

Si ils savaient comme leurs attaques n'étaient que d'insignifiantes picures de moustiques à nos yeux!

hahahahah

Puis sortit.

"Bravo, bis, encore, encore..."

Les vivats venaient du fond de la salle...

"Magnifique, sensass, du grand art..."

L'origine des acclamations se rapprochait...

"Dans le genre bouffon prétentieux, vous êtes passé maitre à ce discours..."

Le Fou, sourire aux lèvres, cadavre de canard rose maléfique à la main, retenait visiblement à grand peine une hilarité que nous qualifierons de gigantesque...

"Vous allez me faire croire que vous, pitoyable petit chef d'une guilde mort-née, avez pu faire trembler rien qu'une fois les Pingouins? Non, ce n'est pas possible, vous devez faire ceci dans le but d'un spectacle comique..."

Aëraël avait accompagné ses derniers mots d'un sourire bienveillant qui s'effaça bien vite devant l'attitude toujours aussi fière du cul-terreux de Sylvia, lui donnant le panache d'une canard col-vert, voire du démon-canard qu'il tenait dans sa main...

"Allons, vous n'allez pas me faire croire qu'un seigneur qui est à la tête d'une guilde de bouffons sous protection du Doux, dont les membres eux même sont quasiment tous sous cette même protection, mais individuelle cette fois-ci, ai pu faire trembler les membres de l'Ordre du Caillou..."

L'attitude résolument hautaine et dégoulinant d'un héroïsme feint du crétin des arbres si enfoncé dans ses convictions désola alors le Fou qui, secouant négligemment la tête déclara :

"Avant de vous targuer d'avoir supprimé une organisation telle que celle des pingouins, commencez par vous regarder vous même, et posez vous des questions quant à votre viabilité en tant que chef de guilde, votre capacité à comprendre le monde qui vous entoure et puis tout simplement, votre santé mentale... Les Pingouins, même si je ne les porte pas dans mon coeur, n'ont eu rien à craindre de vous et de votre risible résistance... Leur suppression n'est en aucun cas de votre fait, mais uniquement de leur propre volonté... Renseignez vous mon pauvre bucheron, tout est expliqué à la Cour et dans la gazette... Renseignez vous, et revenez ici quand vous aurez un peu moins de déjection à la place du cerveau, vous paraitrez sans doute moins ridicule, quoi que je pense que votre réputation est déjà faite et vous suivra longtemps..."

Repartant avec le sourire, le Lord-Empereur retourna à sa place, où il entreprit de plumer son canard...

Erandil était toujours là, chose étrange vu que cette discutions n'avait réussi pour le moment qu'a prouvé que la majorité des opposants n'étaient que de sombres idiots. Il aurait mieux fait de sortir au lieu de resté sa lui aurait fait surement gagné du temps. Il se décida enfin à partir quand tout à coup celui qui avait tenté d'exterminer les pingouins était revenu. Bien sur il a tenté de les détruire avec sa guilde n'est qu'un cimetière ambulant et à sa position hautement stratégique. Étrangement il ouvrit encore une fois sa bouche pour sortir un semblant de discours. Un sourire étira les lèvres du sir, cette fois il avait encore mieux fait que la première fois. N'ayant pas eu le temps de répondre en premier d'autre s'en était chargé. Devant la petite mise au point du Lord-Empereur, Erandil ne savait plus trop quoi dire, on lui avait enlevé les mots de la bouche. Il prit une petite inspiration et pris la parole.

Comptez sur moi chère écervelée, pour ne pas vous oubliez, vous qui avez osez proclamez une victoire inexistante en publique.
Comptez sur moi pour que je vous traque.
Comptez sur moi pour que votre misérable guilde serve d'engrais à ces terres.
Comptez sur moi pour que vous ne trouviez aucun repos.

Il était maintenant temps de s'en aller, il rejoignit la dame Ayrwen et sortie en même temps qu'elle. Il ne jeta aucun regard en arrière car aucun ne méritait cette peine. Heureusement que la ridicule ne tue pas pensa-t-il.

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